La pression monte pour Bart De Wever alors qu'il vise une nouvelle coalition avant vendredi – allez-vous être surpris par le dénouement ?
La Belgique est en émoi alors que Bart De Wever, le formateur et leader de la N-VA, s'engage à livrer un meilleur et dernier projet de gouvernement. En dépit des multiples obstacles qui se dressent sur son chemin, notamment un week-end difficile marqué par des tensions avec la coalition Arizona, De Wever a fixé la barre haut. Le suspense est palpable alors que tous les regards se tournent vers le 31 janvier, date à laquelle il se rendra chez le roi. Une pression accrue est en jeu, puisqu'il refuse de céder face aux appels à un prolongement des négociations.
Chaque jour apporte son lot de rebondissements : alors qu'il espérait un compromis rapide, la résistance des partis de gauche, dont le Vooruit et le CD&V, complique la situation. De Wever semble même jouer un jeu d'équilibre en tentant de rassembler les différents acteurs sous un même toit. Mais attention, il doit agir avec prudence car les attentes du public et des acteurs politiques sont énormes. Les discussions sont censées se poursuivre mercredi et jeudi, mais la menace d'un ultimatum flotte dans l'air.
"Il veut nous mettre au pied du mur", fulmine un membre du Vooruit à l'annonce de la suspension des pourparlers. Plusieurs sources rapportent que De Wever pourrait pousser les négociations à leur paroxysme pour faire avancer la situation, mais cela risque également de provoquer une escalade. Disons qu’à ce stade, les enjeux rendent le tout aussi captivant qu’un match de foot en prolongation !
Les électeurs attendent avec impatience une issue positive : De Wever se lance dans une ultime course pour annoncer un nouvel accord gouvernemental au roi. La pression se fait sentir également sur la question des réformes de l’index et la protection du pouvoir d'achat, objets de controverses au sein de la coalition. Ne vous y méprenez pas, même si l’aspect sérieux de la situation prévaut, il y a toujours place pour un peu d’humour – par exemple, est-ce que De Wever jongle aussi bien avec les chiffres qu’avec les manigances politiques ? Toujours est-il qu’il devra réagir vite.
Pour ajouter un peu de contexte à cette épopée, saviez-vous que Bart De Wever a déjà eu des échanges mémorables avec le roi en 2019 lors d'une précédente tentative de formation de gouvernement ? Et, petit clin d'œil à l’histoire, le terme "D-day" évoqué pour cette occasion pourrait très bien être le titre d’un film dramatique sur les aventures politiques belges ! Qui en connaît encore le dénouement ? Tout cela ne fait qu'ajouter du piment à notre petit monde politique plutôt mouvementé.
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