150 emplois menacés, cellules de crise, et une pincée de résilience chez Emeis, l'ex-Orpea. Préparez-vous pour du suspense au sein des maisons de repos !
Le groupe Emeis, anciennement connu sous le nom d'Orpea, fait face à une tempête de bouleversements qui menace 150 emplois au sein de ses maisons de repos en Belgique. Lors d’un conseil d'entreprise extraordinaire, la direction a surpris tout le monde en annonçant des décisions lourdes, notamment la fermeture de deux résidences services et la vente de cinq maisons de repos. Les équipes se retrouvent, une fois de plus, en état d’alerte, se demandant quelles seront les prochaines étapes de cette saga inattendue.
C'est un peu comme une saison de télé-réalité, mais dans le secteur de la santé ! Les employés, qui dévouent leur temps à la prise en charge des résidents, doivent maintenant faire face à l'angoisse des licenciements, alors que les rumeurs de grèves commencent à émerger. Les centres de Kortemark et Pittem sont déjà sur la sellette, avec des discussions sur des fermetures potentielles qui pourraient bouleverser la vie de nombreuses personnes. Les questions fusent : que va-t-il advenir des résidents et du personnel ?
D’un point de vue plus léger, la situation d'Emeis pourrait presque donner matière à un roman dramatique à suspense. On pourrait imaginer des épisodes où le personnel, armé de bonne humeur et d’esprit d’équipe, organise des plans astucieux pour préserver leurs emplois, tout en veillant sur leurs résidents. Les enjeux sont de taille et les personnages, aussi attachants que charismatiques, apportent chacun leur pierre à l’édifice. Tout cela dans un contexte où chaque jour de travail devient une nouvelle aventure à vivre !
Pour ajouter une pincée d'épices à cette histoire, il est intéressant de noter qu'Orpea, qui a eu des récentes controverses, tente désormais de se réinventer sous le nom d'Emeis. Cette transformation ne se limite pas seulement à un changement de nom, mais soulève également des interrogations sur les pratiques internes et la manière dont le groupe gérera les répercussions de ces annonces. En outre, saviez-vous que le secteur des maisons de repos en Belgique fait face à une demande croissante avec l'augmentation de la population vieillissante ? Reste à voir comment Emeis se relèvera de cette tempête et quelle sera son impact sur le paysage des soins en Belgique !
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Bij de keten van woonzorgcentra Emeis - het vroegere Orpea - worden 150 banen geschrapt. Dat heeft de Franse uitbater bekendgemaakt.
Le groupe Emeis, ex-Orpea, veut fermer cinq maisons de repos dans le pays - ainsi que deux résidences services - et licencier 150 personnes.
Tijdens een buitengewone ondernemingsraad op dinsdag 19 november 2024 kondigde de groep Emeis (het vroegere Orpea) aan dat 150 banen geschrapt worden, ...
Tijdens een buitengewone ondernemingsraad heeft de groep Emeis, het vroegere Orpea, aangekondigd dat in ons land 150 banen geschrapt worden.
Rusthuisuitbater Emeis, het vroegere Orpea, wil opnieuw woonzorgcentra in ons land verkopen of sluiten en 150 medewerkers ontslaan. Het is al de tweede.
Tijdens een buitengewone ondernemingsraad heeft de groep Emeis (het vroegere Orpea) aangekondigd dat ze 150 banen wil schrappen in heel Vlaanderen. Ze wil…