Les dérives inquiétantes de l'influenceur Bassem Braïki sur les réseaux sociaux provoquent un tollé. Découvrez ses déclarations polémiques et les conséquences inattendues !
Bassem Braïki, l’influenceur musulman originaire de Lyon, est sur toutes les lèvres ces derniers temps. Avec ses déclarations fracassantes et souvent controversées, il semble bien décidé à se faire une place au cœur des polémiques. Mais à quel prix ? Au lieu de prôner la tolérance comme tant d’autres, Braïki a décidé de s’attaquer à des groupes déjà marginalisés. Ses récents discours anti-métissage et sa chasse aux « kehba » (comme il les appelle) révèlent un mépris troublant envers la diversité culturelle.
Dans une vidéo devenue virale, il insinue même que les homosexuels sont de véritables menaces pour la société, allant jusqu'à évoquer des actes de violence à leur encontre. Une incitation à la haine qui a soulevé un immense tollé sur les réseaux sociaux. En effet, la liberté d’expression n’excuse pas tout, et les réactions fusent face à ses propos d'une intolérance absurde. Des milliers d'internautes se mobilisent pour dénoncer cet état d'esprit rétrograde qui porte atteinte au respect et à l’égalité entre tous.
Les réactions à ses déclarations ne se sont pas fait attendre. Des personnalités publiques, des militants des droits humains et même des parlementaires ont exprimé leur indignation. Ils reprochent à Braïki non seulement sa rhétorique violente, mais aussi l’influence qu’il a sur ses nombreux abonnés. L'influenceur, avec ses milliers de followers, a la responsabilité de ses mots, et beaucoup craignent les conséquences de ses discours polarisateurs. À une époque où l’on prône de plus en plus la tolérance et l'acceptation, ses propos viennent à contre-courant de ce mouvement sociétal.
En somme, Bassem Braïki illustre comment les réseaux sociaux peuvent être à la fois un podium pour les voix de la diversité et un champ de bataille pour les discours de haine. S'il existe des personnes qui soutiennent ses idées, la majorité semble vouloir faire entendre une voix de raison face à cette vague de haine. En attendant, les débats autour de ses propos continuent de faire la une, prouvant une fois de plus que la société belge ne reste pas indifférente aux dérives de l'influence sociale.
En 2021, une enquête a révélé que près de 30% des jeunes en Belgique se sentent rejetés en raison de leur origine ou de leur sexualité. C'est un indicateur alarmant des tensions persistantes dans notre société. D'autre part, le phénomène des influenceurs polémiques n'est pas nouveau ; d'autres figures du web, de la politique et du divertissement ont également fait le buzz grâce à des propos jugés extrêmes, démontrant ainsi que la diffusion du discours de haine peut parfois appeler à un retour de bâton positif.
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