Son image ayant déjà été écornée par ses relations houleuses avec von der Leyen, les critiques envers Charles Michel en tant que président du Conseil ne ...
Non seulement Michel, mais aussi la Belgique, boxe au-dessus de sa catégorie sur la scène européenne avec le mandat actuel. « C’est de la politique fiction. Une question particulièrement sensible pour Michel à l’approche des élections européennes de l’année prochaine. Et même trop belle pour Steven Van Hecke, professeur de politique européenne à la KULeuven dans « Il accordait plus d’importance à son profil international qu’aux relations au sein de son gouvernement. Ce qui a été un élément clé de l’éclatement de son gouvernement. [Politico](https://www.politico.eu/article/how-charles-michel-lost-the-room-mette-frederiksen-european-council-migration-economy-french-president-emmanuel-macron-joe-biden-former-belgian-prime-minister/) nuance tout de même. Et depuis peu elle se ferait aussi de moins en moins discrète même parmis les dirigeants. La goutte de (presque) trop a pour beaucoup été la visite de Zelensky en février. On reproche aussi à Charles Michel la façon confuse dont il gère les sommets. La présidence du Conseil européen de Charles Michel ne fait pas toujours l’unanimité. Son image ayant déjà été écornée par ses relations houleuses avec von der Leyen, les critiques envers Charles Michel en tant que président du Conseil ne cessent de croître.
D'après le média spécialisé Politico, le président du Conseil européen Charles Michel ne serait plus en odeur de sainteté au sein de la sphère européenne.