The Fabelmans plonge dans les origines du cinéma de Spielberg, avec Michelle Williams dans le rôle de la mère. Fascinant.
La caméra comme vengeance, comme lettre d’amour ou comme fabrique d’un regard sur l’Amérique, c’est tout cela que nous donne à voir Steven Spielberg dans ce film-testament où l’enfance reste la matrice de ce qui nous constitue. C’est avec elle que le jeune Sammy partage le secret de l’adultère - la culpabilité qui en résulte devenant plus tard la matière des films de Spielberg autour de l’abandon (d’E.T. C’est l’une des scènes originelles, structurantes et disons fondatrices que Steven Spielberg rejoue dans The Fabelmans, autobiographie de la jeunesse du futur roi de Hollywood.
Le cinéaste revient en salle ce 22 février avec le film le plus intime de sa carrière, racontant son enfance. Plus qu'un biopic masqué, un voyage trouble et ...
Si vous parcourez un peu sa filmographie, de « Rencontres du 3e type » à « Ready Player One » en passant par « La guerre des mondes », « Empire du Soleil », « Jurassic Park », vous vous apercevrez vite que dans la plupart de ses films, les couples d’adultes sont démissionnaires, en crise, séparés, toutes des situations laissant les enfants en souffrance, livrés à eux-mêmes, obligés de se prendre en main. On suit le bambin découvrant, fasciné, son premier film en salle, l’enfant s’essayant à ses premiers trucages ingénieux, l’ado malingre jouissant du pouvoir donné par la caméra, comme de diriger pour un film d’école l’élève qui le martyrise, soudain tout obéissant. Et nous, de notre côté, et ne peut que vous conseiller d’aller le voir au cinéma si vous voulez vivre un moment magique comme l’auteur de « ET l’extra-terrestre » en a le secret. Une déflagration, qui faillit le faire renoncer à encore tourner, et qui va semer le trouble dans la vie familiale. « The Fabelmans » raconte en effet son enfance de façon à peine fantasmée et nous montre comment le divorce de ses parents à influencer sa perception du cinéma, révélateur des vérités enfouies. Plus qu’un biopic masqué, un voyage trouble et magique au coeur de son imaginaire.
Le réalisateur d'E.T., des Aventuriers de l'Arche Perdue, de Forrest Gump, de Jurassic Park et de tant d'autres succès explore cette fois son enfance et son ...
C’est seulement après la disparition de ceux-ci qu’il s’est autorisé à les faire revivre sur écran même si, dans le formidable Arrête-moi si tu peux, le destin du jeune escroc joué par Leonardo DiCaprio était entièrement déterminé par sa relation avec sa mère (Nathalie Baye) et son père (Christopher Walken). Après des dizaines de films portant, à des degrés divers, les traces de son enfance, Steven Spielberg s’est décidé à lever le voile sur cette période de sa vie. Le réalisateur d’E.T., des Aventuriers de l’Arche Perdue, de Forrest Gump, de Jurassic Park et de tant d’autres succès explore cette fois son enfance et son rapport avec ses parents.
Steven Spielberg a sorti son dernier film ce mercredi 22 février 2023. Dans "The Fabelmans", le réalisateur se plonge dans ses souvenirs d'enfance, ...
Réalisé par Steven Spielberg, le film s'inspire de la jeunesse du cinéaste. Avec sa caméra, le jeune homme commence à créer ses propres films chez lui et rêve de devenir réalisateur. Sur l'agrégateur de critiques Allociné, la note moyenne de la presse est de 4,9/5 pour 27 sites de presse recensés, une note rarement atteinte par les films. Du côté du public, c'est également un succès : le long-métrage a reçu 83% de critiques positives des spectateurs sur plus de 1000 avis vérifiés. Cependant, The Fabelmans, qui a d'ailleurs reçu le Golden Globe du meilleur film dramatique et celui de la meilleure réalisation, a été un échec au box-office américain : du 25 novembre 2022 au 2 janvier 2023, le film a cumulé seulement 12,1 millions de dollars de recettes. La presse française est dithyrambique au sujet de The Fabelmans. L'épidémie mondiale de coronavirus a également été un catalyseur créatif pour le réalisateur : "Tandis que la situation sanitaire empirait, je me demandais ce que je souhaiterais laisser derrière moi et à quelle problématique centrale je voulais absolument m'attaquer", peut-on lire sur Allociné. Cinéaste de la métaphore visuelle, servi par la superbe bande-originale de John Williams, Spielberg use ici de son talent inégalé de conteur pour nous confronter à notre propre rapport au cinéma. Pour la première fois, il se raconte : The Fabelmans est LA [sortie cinéma](https://www.linternaute.com/cinema/sortie-semaine/) de ce mercredi 22 février 2023. Le nom de cette famille, qui évoque directement l'univers de la fable, est ainsi évocateur du propos du film. Paul Dano (The Batman, Little Miss Sunshine) et Michelle Williams (Dawson, Blue Valentine), incarnent ici les parents Fabelmans et se révèlent touchants de sincérité. [Steven Spielberg](https://www.linternaute.fr/cinema/biographie/1773056-steven-spielberg-biographie-courte-dates-citations/) a façonné l'imaginaire de nombreux cinéphiles.
Steven Spielberg s'essaye à l'autobiographie. Le résultat est à la fois un portrait familial bouleversant et une ode à la lumière.
On en revient à Platon et à la beauté de ses illusions, qui ont tout autant de valeur que la vérité. Il est magnifique de voir Spielberg dépeindre frontalement le divorce de ses parents (qui résonne dans une bonne partie de sa filmographie), mais The Fabelmans est avant tout une chronique, qui s’attarde sur les saynètes d’une jeunesse cabossée, ponctuée de vexations, de regards tendres et d’actes d’amour maladroits. Il y a une évidence dans le cinéma de Spielberg, une virtuosité du cadrage et du découpage typique d’un artiste qui pense par l’image, comme s’il s’agissait de sa langue maternelle.
La sortie d'un film de Steven Spielberg c'est toujours un événement. Un peu plus d'un an après son "Westside story", il revient cette fois avec un film très ...
"The Fabelmans", c’est avant tout une formidable déclaration d’amour au cinéma et à ses parents, à sa mère en particulier, jouée par Michele Williams, qu’il ne juge jamais et qui à la fin lui demande pardon. Mais il y a aussi beaucoup d’humour dans son film, notamment dans le personnage de sa première fiancée catholique, archi croyante et qui veut le faire prier à tout bout de champ ! , à des films historiques et bien sûr à ses grands films d’aventures familiaux que sont les "Jurassic Park" ou "Les Aventuriers de l’Arche perdue".
Après « West Side Story » en 2021, le réalisateur à succès Steven Spielberg revient au cinéma, ce mercredi 22 février, avec « The Fabelmans ».
Le spectateur se sent ainsi presque gêné de pénétrer dans l’intimité de ce foyer américain des années 1950. Une histoire intime, qui raconte la jeunesse de ce jeune garçon juif qui s’épanouit en filmant sa vie et celle des autres. Il passe alors son temps à filmer sa famille, encouragé par sa mère Mitzi (Michelle Williams) mais incompris par son père Burt (Paul Dano), scientifique accompli.
CRITIQUE / AVIS FILM - Notre avis sur "The Fabelmans", le nouveau film de Steven Spielberg grandement inspiré de sa jeunesse.
l'extra-terrestre](https://www.cineserie.com/movies/1574087/) peut donner l'impression que le cinéaste n'a rien perdu de sa supposée âme d'enfant, la tristesse s'est rarement autant fait sentir dans l'une de ses œuvres depuis [La Guerre des mondes](https://www.cineserie.com/movies/170827/) et [Munich](https://www.cineserie.com/movies/176068/). Dans la foulée, ses parents Mitzi ( [Michelle Williams](https://www.cineserie.com/persons/225/)) et Burt ( [Paul Dano](https://www.cineserie.com/persons/144368/)) lui offrent un circuit miniature, ce qui permet au jeune garçon de reproduire la fameuse séquence, et donc de s'essayer à la réalisation. [22 février 2023](https://www.cineserie.com/schedule/week/2023-02-22/). [Retrouvez ici toutes nos bandes-annonces.](https://www.cineserie.com/videos/) C'est ce que laisse penser un dernier mouvement de caméra, avec lequel il s'offre une ultime touche de légèreté et refuse la fatalité comme il l'a toujours fait, avec une maîtrise hallucinante. Ce sont ces questionnements, qui n'ont probablement cessé de le tourmenter au cours de ses cinquante ans de carrière, que Steven Spielberg met en avant dans ce nouveau grand long-métrage. Un personnage qui, associé à son père Burt et à Mitzi, synthétise le rapport à l'art, capable d'écraser mais pouvant également être considéré comme quelque chose de futile ou d'inatteignable. Lorsqu'il réalise un projet pour sa classe de lycée, il comprend le pouvoir de manipulation des images, réussissant à rendre beau, attirant et presque sympathique un adolescent qui aime s'en prendre à lui. La vocation de Sammy est certes source de joie, mais elle est également révélatrice de secrets douloureux et lui réclame de nombreux sacrifices. La comédienne est une nouvelle fois fabuleuse, notamment au cours d'une dispute poignante avec son fils qui résume à merveille la complexité de leur relation. [Steven Spielberg](https://www.cineserie.com/persons/12572/) débute dans le New Jersey, en janvier 1952. Mais face au tragique accident de train de [Sous le plus grand chapiteau du monde](https://www.cineserie.com/movies/1647307/), la fascination l'emporte sur la peur.
... © Storyteller Distribution Co. / The Fabelmans : Paul Dano, Mateo Zoryon Francis-DeFord et Michelle Williams. il y a 15 minutes• Temps de lecture 3 min.
; à quoi sert l'art en général et le cinéma en particulier ? Il y a aussi la mère qui tente d'élever ses enfants comme il faut, elle qui sent que plus ne rien ne va dans son monde et que la folie pointe le bout de son nez. Bien au-delà d'être un pur récit autobiographique, il y a dans cette histoire, une première déclaration d'amour au cinéma avec quelques réflexions : ça veut dire quoi réaliser un film ?
À travers son histoire familiale, le réalisateur américain ausculte les ressorts de son art et de sa psyché.
Il faudra le temps du film pour que n’advienne, sous les images, la vérité intime de ce moment, une vérité déchirante pour celui qui filme, celui qui montre, celui qui regarde. On a vraiment cette impression que The Fabelmans boucle un système avec un film qui à la fois additionne et creuse le cinéma de Spielberg. C’est un peu ce que le film fait au cinéma de Spielberg, il le déchire et regarde ce qu’il y a en dessous. DeMille qui convoque avec elle les tout débuts du cinéma et un autre train arrivant en gare de La Ciotat -, mais aussi à la filmographie de Spielberg lui-même. Le film, co-écrit avec le scénariste et dramaturge Tony Kushner, ouvre sur la première sortie de Sammy au cinéma en 1952. Il partage ceci dit avec le film de Chazelle une ambition de référencement - certes plus subtile - à l’histoire du cinéma en général - avec cette citation première de Sous le plus grand chapiteau du monde de Cecil B.
Pourquoi Steven Spielberg a-t-il baptisé son nouveau film "The Fabelmans" et pas "The Spielbergs" ? La réponse est logique et tient notamment au caractère ...
Et voilà comment The Fabelmans a été choisi, et la raison pour laquelle Steven Spielberg n'utilise pas son vrai nom dans un film largement inspiré de sa jeunesse. Et parce qu'il s'agit d'un film autobiographique pour Steven, mais que ce n'est pas une autobiographie ou un documentaire, il y a aussi un élément fictionnel. Et pour faire passer ce message aux spectateurs, Spielberg et son co-auteur ont choisi un nom fictionnel qui n'est pas
Hij regisseerde 'Jaws', 'E.T.', maar ook 'Saving private Ryan' en 'Schindler's list'. Stuk voor stuk cinemaerfgoed. Met 'The Fabelmans', het verhaal van een ...
Met ‘The Fabelmans’, het verhaal van een jeugdtrauma dat tegelijk een liefdesbrief aan de cinema is, levert Steven Spielberg zijn meest persoonlijke film af. Steven Spielbergs autobiografische ‘The Fabelmans’ onthult hoe persoonlijk zelfs Jaws en E.T. Hij regisseerde ‘Jaws’, ‘E.T.’, maar ook ‘Saving private Ryan’ en ‘Schindler’s list’.
Na het overlijden van zijn moeder in 2017 begon hij met zijn vaste scenarist Tony Kushner (Munich, Lincoln, West Side Story) aan het scenario dat uitmondde in ...
Sammy reconstrueert het fragment met zijn speelgoedtreintjes en dankzij een camera die zijn moeder (Michelle Williams) hem geeft, kan hij de crash opnieuw en opnieuw beleven. Sammy Fabelman (de gefictionaliseerde versie van de jonge Spielberg) krijgt zijn cinemadoop met The Greatest Show on Earth, de spektakelfilm van Cecil B. De film schiet uit de startblokken zoals je dat kunt verwachten van een filmregisseur die zijn eigen verhaal vertelt: aan de ingang van een bioscoop.
Steven Spielberg heeft een nieuwe film uitgebracht. Dat is op zich altijd al de moeite waard, maar deze film gaat nog eens over Spielberg zelf én hij is ...
76 jaar is Steven Spielberg ondertussen, maar aan rustig uitbollen denkt hij nog lang niet. Tijdens de Berlinale ontving de regisseur van 'The Fabelmans' de ...
REVUE DE PRESSE - Le dernier long-métrage de Steven Spielberg, dans lequel il se raconte, fait l'unanimité auprès de la plupart des critiques.
[dans les colonnes de Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/the-fabelmans-la-confection-intime-de-steven-spielberg-20230221_JA3O3UNMX5HNXGQL7OVF7AK75I/) . [le réalisateur John Ford](https://www.lefigaro.fr/cinema/2016/04/10/03002-20160410ARTFIG00101-john-ford-les-raisons-d-un-chef-d-oeuvre.php) que «quelque chose passe et se transmet», affirme Mathieu Macheret. [Spielberg se raconte](https://www.lefigaro.fr/culture/steven-spielberg-cette-fois-je-ne-me-cache-pas-derriere-des-extraterrestres-ni-des-dinosaures-20230221). «Impossible de ne pas avoir le cœur serré devant une telle mise à nu», avoue [La Voix du Nord](https://www.lavoixdunord.fr/1294222/article/2023-02-21/fabelmans-ou-l-apprend-que-la-vie-de-steven-spielberg-est-un-magnifique-scenario) . Le film retrace le parcours du jeune Sammy (Gabriel LaBelle), de ses 6 à ses 16 ans. «Quel film!», «inoubliable», «magistral et bouleversant»... «C'est en filmant qu'il se met dans la poche une des petites frappes antisémites qui le harcèlent au lycée. «Mais je n'ai jamais eu le courage d'affronter cette histoire complètement», a-t-il confié à la cérémonie des Golden Globes, alors qu'on lui remettait [le prix du meilleur film](https://www.lefigaro.fr/cinema/en-quete-de-redemption-les-golden-globes-honorent-steven-spielberg-20230111) pour The Fabelmans, mi-janvier. Son histoire, il l'a déjà évoquée, «par partie et par parcelles tout au long de sa carrière», avec [E.T., l'extraterrestre](http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/ce-soir-tele/e-t-steven-spielberg-et-son-double-sur-le-divan-de-france-5-20230217) , A.I. Avec The Fabelmans, le réalisateur confirme «son statut de gardien du temple du cinéma américain», écrit Olivier Lamm Cela créera des larmes et de l'incompréhension, conduira à un divorce d'une tristesse muette. Ses parents insistent et l'emmènent voir Sous le plus grand chapiteau du monde, de Cecil B.
Au lendemain de la sortie du dernier film de Steven Spielberg dans les salles françaises, la moyenne des notes données par la presse française au film a été ...
C’est également un événement au sein de la filmographie du roi de l’entertainment : détrônant E.T., l’extra-terrestre (situé au 114e rang avec une note de 4,8/5), The Fabelmans devient son film le mieux placé dans la liste, sans compter Duel, son film de 1971 à la note parfaite de 5/5, estimée sur la base d’une seule critique… 2005 et la sortie de [Million Dollar Baby](https://www.lesinrocks.com/cinema/million-dollar-baby-32546-01-01-2005/), réalisé par Clint Eastwood. [The Fabelmans](https://www.lesinrocks.com/cinema/pourquoi-le-sublime-the-fabelmans-est-le-film-le-plus-intime-de-steven-spielberg-539585-20-02-2023/).
Comment ne pas s'intéresser à un nouveau Spielberg ? The Fabelmans, c'est la sortie ciné de la semaine ! Le film propose un regard très personnel sur ...
mais The Fabelmans nous donne un petit aperçu du passé qui a façonné l’un des plus grands réalisateurs de la planète et nous livre, dans le même temps, une sublime leçon de cinéma. Son explication de la différence entre oser placer sa tête dans la gueule d’un lion et le fait de savoir l’empêcher de la fermer est digne d’un dialogue d’Audiard… Quoi qu’il arrive, l’héritage de Spielberg perdurera et le mot FIN ne sera pas de mise dans ce genre d’histoire… En dirigeant les acteurs d’un film de guerre amateur, il découvre que la manipulation des émotions peut permettre d’atteindre le cœur de la vérité. Mais, dans le portrait affectueux et implacable de cet écosystème familial, c’est la mère, une Michelle Williams terriblement inspirée, qui l’emporte. Au fil des années, Sammy, à force de pointer sa caméra sur ses parents et ses sœurs, est devenu le documentariste de l’histoire familiale !
Depuis près de 50 ans, leurs deux noms sont indissociables et forment un tandem magique, une complicité mimétique, une alchimie rare, mondialement reconnue.
Un John Williams très inspiré encore une fois qui délaisse ses motifs musicaux habituels pour composer une musique pensée comme un symbole de l'espoir et un hommage à la tradition musicale juive. Et parmi ce dernier thème, un sous-genre occupe une place prépondérante en l’occurrence la période des années 40 et de la Seconde Guerre mondiale qui sert de cadre chronologique à des films comme 1941, L’Empire du soleil, Il faut sauver le soldat Ryan ou encore La Liste de Schindler en 1993, couronné par sept Oscars dont celui de meilleur réalisateur pour Steven Spielberg et de la meilleure musique pour John Williams. l’extra-terrestre rencontre un succès immédiat, dépassant Star Wars : Un nouvel espoir pour devenir le film le plus rentable de tous les temps. Cette fois, George Lucas coécrit le scénario et produit ce premier volet des Aventuriers de l’arche perdue qui en comptera cinq en 2023 avec la sortie d’un nouvel opus attendu en principe cet été. A ce jour, John Williams a écrit depuis 1974 la musique de presque tous les films de Steven Spielberg à l'exception de quatre : La Couleur pourpre, Le Pont des espions, Ready Player One et West Side story. Et comme à l’accoutumée, John Williams signe le score du film, un score très enveloppant.
Les salles françaises affichent de nombreux films à destination des familles et du grand public (Alibi.com 2, Astérix et Obélix, Ant-Man et la Guêpe : ...
[Jet Lag](https://www.lesinrocks.com/cinema/jet-lag-le-confinement-reve-de-zheng-lu-xinyuan-535938-20-02-2023/), le second film de la talentueuse réalisatrice chinoise Zheng Lu Xinyuan. En 2021, elle séduisait déjà 1 288 spectateur·rices avec [The Cloud in Her Room](https://www.lefilmfrancais.com/film/57805/the-cloud-in-her-room), dont 121 entrées réalisées dès le premier jour. Le Pont des espions et Pentagon Papers réunissaient respectivement 33 587 et 54 204 spectateur·rices pour leur premier jour en salle, soit une fourchette dans laquelle se situe [The Fabelmans](https://www.lesinrocks.com/cinema/pourquoi-le-sublime-the-fabelmans-est-le-film-le-plus-intime-de-steven-spielberg-539585-20-02-2023/), avec ses 40 880 tickets vendus sur son premier jour d’exploitation. Le film peut tout de même espérer sur un bouche-à-oreille favorable, alimenté par les 825 entrées réalisées en avant-premières, pour franchir la barre des 2000 entrées. [unanimement conquise](https://www.lesinrocks.com/cinema/the-fabelmans-de-steven-spielberg-recoit-un-accueil-dithyrambique-de-la-presse-francaise-540634-23-02-2023/) par le retour de [Steven Spielberg](https://www.lesinrocks.com/cinema/steven-spielberg-itineraire-d-un-cineaste-en-quete-de-famille-538669-22-02-2023/), l’attrait du public pour The Fabelmans était pour le moins incertain. Parmi les sorties de la semaine, “The Fabelmans” s’inscrit clairement en tête des nouveautés avec un démarrage réussi.