Ces dernières années, le FC Barcelone et le Real Madrid ont dépensé des fortunes. Mais dans certains cas, certaines opérations n'avaient pas uniq (.
meme chose avec les joueurs d'amérqiue du sud qui appartiennent à des agents et/ou clubs ces choses la existe depuis tres tres longtemps et le plus celebre est a l'origine de la rivalité entre le real et le barca (di stefano)] Ce qui n’a pas échappé à un jeune supporter du Real Madrid, qui a écrit une lettre à la direction merengue pour lui vanter les qualités du joueur et les convaincre de le recruter. Et nul doute que du côté du Barça comme du Real Madrid, et comme dans la majorité des clubs dans le monde, il y a plein d’opérations où on pourrait aussi trouver quelques zones d’ombre en creusant un peu… Il s’agissait là de pots de vins et de blanchiment d’argent (20 millions d’euros) dans le cadre d’obtention de droits d’image des matchs de la sélection brésilienne ». Sans surprise, le joueur n’avait pas le niveau et n’a pas fait long feu en Catalogne, quittant le club après six mois, sans avoir disputé la moindre minute avec le Barça B en troisième division espagnole. Ainsi, le Real Madrid n’hésite pas à recruter des joueurs issus d’un pays pour faciliter les relations et le contact avec les autorités gouvernementales de la nation en question. Le milieu de terrain n’aura jamais joué à Barcelone et avait été prêté à Valladolid dès son arrivée, ne jouant que 3 matchs en Liga… Du côté de Barcelone, il y a un paquet d’opérations un peu troubles. Ce qui aura, logiquement, des répercussions positives pour le club de la capitale espagnole. Chez les grosses écuries, on sait qu’on regarde beaucoup le côté marketing, et que certains joueurs populaires peuvent aussi générer des sources de revenus supplémentaires en plus du simple aspect sportif, via la vente de produits dérivés ou certains accords commerciaux. Lors d’un match de Libertadores face à River Plate, le jeune attaquant colombien a détruit le club argentin, avec un doublé à la clé. Du côté du Real Madrid par exemple, l’arrivée de James Rodriguez, brillant lors du Mondial 2014, a permis à ACS, groupe de Florentino Pérez, de décrocher un chantier et son exploitation dans une opération estimée à 820 millions d’euros en Colombie.