Partez pour Les Cyclades avec la nouvelle comédie de Marc Fitoussi (Pauline Détective, Dix pour cent...). Laure Calamy et Olivia Côte nous embarquent pour ...
Le film séduit aussi dans sa façon d'emprunter aux codes du "buddy movie" (film de potes, souvent fondé sur un duo). "C'est le rôle pour lequel j'ai eu le plus de composition dans toute ma carrière d'actrice. [Sideways](/film/fichefilm_gen_cfilm=53496.html) d’Alexander Payne, à cause du duo dissonant formé par Paul Giamatti et Thomas Haden Church et [On a volé la cuisse de Jupiter](/film/fichefilm_gen_cfilm=43181.html) de Philippe de Broca parce que je n’aurais peut-être pas tourné ce film en Grèce sans ce film que j’adorais voir et revoir quand j’étais enfant. Au moment de refaire le casting, Marc Fitoussi a mis du temps à trouver l'actrice jouant le personnage de Blandine. Ce choix de film situe tout de suite ces deux filles". J’ai voulu revisionner [Dangereuse sous tous rapports](/film/fichefilm_gen_cfilm=31672.html) de Jonathan Demme, avec Melanie Griffith et Jeff Daniels, à cause de leur duo mal assorti. "Quand il s'agit de sororité, parfois on voit des gens qui sont déjà en accord dans leurs choix de vie. "Quelque temps avant de me lancer dans l’écriture, il se trouve que j’ai fait un séjour dans les Cyclades, explique Marc Fitoussi. "Je voulais parler de sororité, mais entre des personnages qui ne se ressemblent pas". Une comédie chaleureuse et solaire à l'image des paysages filmés, et de ses interprètes. De rebondissements en rebondissements, elles vont se retrouver à partir en vacances ensemble et sillonner plusieurs îles grecques. Alors que leurs chemins se croisent de nouveau, elles décident de faire ensemble le voyage dont elles ont toujours rêvé.
L'actrice de 47 ans partage l'affiche du dernier film de Marc Fitoussi, en salles ce mercredi, avec Olivia Côte. Laure Calamy y incarne le personnage de ...
[Antoinette dans les Cévennes](https://www.telerama.fr/cinema/films/antoinette-dans-les-cevennes,n6655944.php) ou [Annie Colère](https://www.telerama.fr/cinema/annie-colere-le-combat-feministe-au-centre-d-un-film-bouleversant-7013222.php), à 47 ans, [Laure Calamy](https://www.telerama.fr/cinema/laure-calamy-ma-peur-de-la-mort-correspond-surtout-a-une-urgence-de-vivre-6883324.php), désormais actrice prisée du cinéma français, continue d’élargir le spectre de ses personnages féministes. [Lire aussi : Laure Calamy : “Ma peur de la mort correspond surtout à une urgence de vivre”](/cinema/laure-calamy-ma-peur-de-la-mort-correspond-surtout-a-une-urgence-de-vivre-6883324.php)13 minutes read Laure Calamy y incarne le personnage de Magalie, une femme exubérante, spectaculaire, inépuisable...
Vous aimez Laure Calamy ? Vous adorerez ce buddy movie de Marc Fitoussi, taillé sur mesure pour son duo d'actrices.
Concocté avec soin, professionnalisme et talent, il est ce qu’on peut trouver de plus stylé dans la comédie française : de bon ton, sans vulgarité, intelligente, parfois hilarante. Et puis sur leur chemin, elles vont trouver un havre de paix chez une vieille amie de Magalie, “Bijou” (Kristin Scott Thomas), baba bobo anglo-saxonne qui mène une vie de liberté absolue dans une superbe propriété avec piscine avec son compagnon, un riche peintre grec. [Les Apparences](https://www.lesinrocks.com/cinema/les-apparences-jeux-de-troubles-entre-karine-viard-et-benjamin-biolay-181171-18-09-2020/) (2019) pour Karine Viard, Copacabana (2010)et La Ritournelle (2014) pour [ Isabelle Huppert](https://www.lesinrocks.com/arts-et-scenes/isabelle-huppert-sublime-une-cerisaie-resolument-tournee-vers-lavenir-422837-05-01-2022/), etc.
La pétulante Laure Calamy est en tandem avec la douce Olivia Côte pour une comédie sur l'amitié et la joie de vivre signée Marc Fitoussi Elles forment un de ...
Elle est de son époque en somme, et les garçons adorent ça. Et c’est exactement à quoi tend ce film imparfait quoique charmant où le drame court en souterrain : donner de la joie coûte que coûte. Les rencontres fortuites d’un côté et le lent travail de cicatrisation de l’autre. Une de ces figures qui agace, fascine et emporte tour à tour. Leur tempérament est au diapason : Blandine (Olivia Côte) s’avère aussi prudente et mélancolique que Magalie (Laure Calamy) se montre audacieuse et emplie de joie. Elles forment un de ces duos que les comédies affectionnent. Comme quoi, on peut en vouloir à son mari et ne pas rester fâchée avec tous les hommes. Le récit se garde pour autant de solution toute faite. Leur tempérament est au diapason : Blandine (Olivia Côte) s’avère aussi prudente et mélancolique que Magalie (Laure Calamy)se montre audacieuse et emplie de joie. Elle est restée cette gamine pétillante qui, de bévue en culot, obtient ce qu’elle veut. Adolescentes, elles étaient inséparables, mais la vie les a séparées. Blandine a tendance à tout voir en noir quand Magalie, elle, se régale des imprévus les plus pénibles.
Face à la solaire Laure Calamy dans «les Cyclades», en salles ce mercredi, Olivia Côte décroche à 48 ans son premier rôle principal, de femme dépressive qui ...
Des fans l’arrêtent surtout dans la rue pour « Vous les femmes », la pastille comique de Téva, 377 épisodes entre 2007 et 2016, où elle a incarné à peu près tous les rôles féminins possibles et même impossibles, avec sa meilleure amie [Judith Siboni,](https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/la-liste-de-nos-envies-judith-siboni-quelle-femme-03-04-2021-2IE2YJAR55BW3PW5BLIQG7SZAE.php?ts=1673281665577) qui a succombé à un cancer en mars 2021, à 46 ans. [Se connecter](https://authentication.leparisien.fr/connexion/?source=lp_sso_paywall&redirect_url=https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/cinema/olivia-cote-enfin-premier-role-dans-les-cyclades-jai-passe-mon-enfance-a-mentendre-dire-que-jetais-vilaine-10-01-2023-62HHYD5GOVABNCMNCEZMFRL5HA.php) On connaît tous son visage, son humour et depuis longtemps, de films en séries télé comme
Laure Calamy, Olivia Côte et Kristin Scott Thomas embarquent pour un road-movie rocambolesque à travers les îles grecques. Après la comédie dramatique ...
Un charmant hommage à la féminité et à la sororité. Sur un coup de tête, les deux femmes décident de remédier à cet oubli et se lancent dans l’aventure. Larguée et ronchon, elle va peu à peu, au contact des autres femmes et au fil de ce voyage inattendu, renaître et rayonner. Magalie (Laure Calamy) et Blandine (Olivia Côte), qui étaient les meilleures amies du monde quand elles étaient adolescentes, se retrouvent trente ans après avoir quitté les bancs de l’école. Après la comédie dramatique désenchantée Maman a tort, sortie en 2016, Marc Fitoussi revient avec Les Cyclades, une farce beaucoup plus ensoleillée et optimiste portée par un trio de choc : Laure Calamy, Olivia Côte et Kristin Scott Thomas. Magalie (Laure Calamy) et Blandine (Olivia Côte), qui étaient les meilleures amies...
Laure Calamy et Olivia Côte forment un duo détonant dans Les Cyclades, une comédie irrésistible. Kristin Scott Thomas fait aussi partie de l'aventure de ce ...
Rencontre avec la comédienne Laure Calamy et la réalisatrice Blandine Lenoir pour le film 'Annie Colère' qui sort en...
Après le film américain "Call Jane" sorti cet automne, "Annie Colère" explore le même sujet, mais dans le contexte français du début des années 70. Au sein du mouvement, de jeunes médecins utilisent une nouvelle méthode, moins dangereuse et moins douloureuse, l’avortement par aspiration. La France en 1974, avant l’adoption de la loi Veil dépénalisant l’avortement.
Avec “Annie Colère”, la comédienne retrouve la réalisatrice Blandine Lenoir et retrace un parcours pour lequel elle s'est inspirée de sa propre mère.
C’est l’un des visages féminins emblématiques du cinéma français. Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité En un peu plus de deux ans, Laure Calamy a déployé une large palette de profils féminins sur grand écran, après avoir triomphé sur le petit avec...
L'actrice a dit « oui » à Blandine Lenoir pour raconter le combat des femmes pour le droit à l'avortement. C'était vital au début des années 70.
- Elle a donc écrit le personnage central de Annie Colère, film sur le combat des femmes pour l’avortement au début des années 70, en pensant à elle. L’actrice a dit « oui » à Blandine Lenoir pour raconter le combat des femmes pour le droit à l’avortement.
Je suis une citoyenne, une artiste, un esprit, une volonté. Je ne suis plus simplement mère, épouse, ou fille, revendique Laure Calamy dans "Annie Colère" ...
Dans Annie Colère, Blandine Lenoir revient sur l'action du Mlac qui, en pratiquant des avortements illégaux à la vue de tous en France au mitan des années ...
J’appartiens à une génération qui est née avec le droit à la sécurité sociale, à la contraception, aux congés payés, des choses que l’on croyait acquises, et c’est pour ça que la lutte a cessé. Du coup, je suis partie d’une ouvrière qui rejoignait le Mlac et découvrait la force du collectif, et une capacité qu’elle ne se connaissait pas, parce que de même qu’elle est portée par les autres, elle en porte d’autres également.” C’était une intervention médicale, qui est devenue une intervention sociale, puisqu’on en profitait pour éduquer les femmes sur leur corps, la sexualité, la contraception, on prenait complètement en compte qui elles étaient.” C’est-à-dire qu’arrêter une grossesse non-désirée, c’est un soulagement, pour la femme, pour le couple, pour la famille. Mais si Giscard d’Estaing lui a demandé de la porter, c’est parce qu’il y a eu une mobilisation civile très forte. Et une action que la cinéaste évoque par le biais d’une fiction documentée, suivant le parcours d’Annie (l’incontournable Laure Calamy), une mère tombée enceinte accidentellement, qui va trouver dans le mouvement une structure d’accueil, d’écoute et d’entraide.
'Annie Colère' suit les femmes du MLAC (Mouvement pour la Liberté de l'Avortement et de la Contraception), qui ont conduit à la loi Veil en France en 1975.
« Ce qui est génial, c’est que quand je me balade et que je suis un peu down, il y a toujours quelqu’un qui sort de nulle part et qui me dit : ‘Je vous adore’ ! C’est-à-dire qu’à partir du moment où on parle et où on explique ce qu’on va vous faire, le risque de traumatisme disparaît presque. On la retrouve dans ‘Annie Colère’, une chronique solaire sur l’éveil politique d’une femme contrainte de se faire avorter illégalement en 1974.
Annie Colère raconte le combat collectif pour la liberté de l'avortement à travers le parcours d'une femme qui s'engage.
L’avortement reste un iceberg qui permet de comprendre les différentes injonctions qui continuent de toucher les femmes, leur sexualité et l’obligation de procréation.” En creux de l’acte d’avortement (que le film montre six fois, “plus que dans toute l’histoire du cinéma!”, dixit la réalisatrice), le film dénonce la mainmise patriarcale sur le corps féminin et distille avec tendresse la joie d’une libération collective pour un “événement” qui continue de toucher une femme sur trois. Pour dépeindre à la fois le parcours d’Annie, mère de famille qui s’émancipe à travers la lutte pour l’avortement dans la France du début des années 1970, et une fresque politique sur l’aventure du MLAC, la réalisatrice Blandine Lenoir s’est basée sur la thèse d’une chercheuse (Lucile Ruault, Le spéculum, la canule et le miroir) qui décrit comment à l’époque, des non-médecins du MLAC ont pratiqué des avortements hors de la sphère médicale, à travers la méthode par aspiration. On y suit donc Annie (Laure Calamy) s’initiant peu à peu aux gestes médicaux que le film montre avec un regard social et bienveillant.
Rencontre avec la comédienne Laure Calamy et la réalisatrice Blandine Lenoir pour le film 'Annie Colère' qui sort en...
Après le film américain "Call Jane" sorti cet automne, "Annie Colère" explore le même sujet, mais dans le contexte français du début des années 70. Au sein du mouvement, de jeunes médecins utilisent une nouvelle méthode, moins dangereuse et moins douloureuse, l’avortement par aspiration. La France en 1974, avant l’adoption de la loi Veil dépénalisant l’avortement.