Depuis la levée des restrictions "zéro Covid" en Chine, les rayons des pharmacies se vident et les salles des hôpitaux se remplissent, alors que les ...
Le gouvernement chinois exerce en outre un contrôle strict sur les médias du pays, avec des légions de censeurs en ligne chargés de supprimer les contenus jugés politiquement sensibles. Une méthodologie qui vise, selon des experts, à réduire le nombre de morts attribuées à la pandémie. Ces annonces ont été publiées dans un article rapidement censuré, alors que les statistiques officielles ne reflètent pas la vague de contaminations inédite dans le pays, rapporte l'AFP. Selon ces informateurs, le responsable a également déclaré que 37 millions de personnes, soit 2,6% de la population chinoise, avaient été infectées dans la seule journée de mardi. La fin du dépistage obligatoire rend également dans la réalité extrêmement difficile voire impossible d'estimer le nombre réel de cas. Les deux médias écrivent avoir été informés de ces données par des personnes impliquées dans les discussions sanitaires.
Un demi-million de personnes sont infectées par le coronavirus tous les jours dans la seule ville chinoise de Qingdao.
Le gouvernement chinois exerce un contrôle strict sur les médias du pays, avec des légions de censeurs en ligne chargés de supprimer les contenus jugés politiquement sensibles. Une méthodologie qui vise, selon des experts, à réduire le nombre de morts attribuées à la pandémie. Mais la fin du dépistage obligatoire rend extrêmement difficile voire impossible d’estimer le nombre de cas, tandis que les autorités ont changé de méthodologie pour recenser les infections.
Selon un responsable municipal de Qingdao, dans l'est du pays, environ 500.000 cas de contamination au coronavirus sont enregistrés par jour dans sa ville.
Les journalistes de l'AFP présents dans cette ville de 32 millions d'habitants ont vu des hôpitaux déborder de patients, pour la plupart âgés, porteurs du Le centre manufacturier de Dongguan, dans le sud du pays, a déclaré vendredi que la modélisation de l'épidémie indiquait jusqu'à 300.000 nouvelles infections par jour, ajoutant que le rythme s'accélérait de plus en plus. Le gouvernement de la province orientale de Jiangxi a rapporté vendredi dans un message sur les réseaux sociaux que 80% de sa population - soit environ 36 millions de personnes - serait infectée d'ici mars. Or dans la ville de Qingdao, dans l'est du pays, un organe de presse géré par le Parti communiste a cité vendredi 23 décembre le responsable municipal de la santé, selon lequel la ville portuaire enregistrait "entre 490.000 et 530.000" nouveaux cas par jour. Le gouvernement chinois exerce un contrôle strict sur les médias du pays, avec des légions de censeurs en ligne chargés de supprimer les contenus jugés politiquement sensibles. Mais la fin du dépistage obligatoire rend extrêmement difficile voire impossible d'estimer le nombre de cas, tandis que les autorités ont changé de méthodologie pour recenser les décès liés au Covid.
La Chine, qui fait face à une nouvelle flambée de cas de Covid-19 depuis qu'elle a abandonné sa politique "zéro Covid", voit son système hospitalier saturé.
"On ne peut pas rester ici, il n'y a pas de lit", témoigne une femme devant l'hôpital, qui ne sait pas où emmener son mari très affaibli par la fièvre. "Hier déjà, il manquait de médecins, ils sont débordés !" Depuis début décembre, près de 250 millions de malades ont été recensés.
Un demi-million de personnes sont infectées par le coronavirus tous les jours dans la seule ville chinoise de Qingdao.
Le gouvernement de la province orientale de Jiangxi a déclaré notamment vendredi dans un message sur les réseaux sociaux que 80% de sa population - soit environ 36 millions de personnes - serait infectée d'ici mars. Les services d’urgences des hôpitaux alors que les autorités ont abandonné la politique de dépistage massif de la population au début du mois. La Chine ne parvient toujours pas à faire battre en retraite le coronavirus qui a connu un fort regain ces dernières semaines.
Des patients au sein des urgences de l'hôpital de Bazhou dans le nord de la Chine, le 22 décembre 2022. AP.
Le centre manufacturier de Dongguan, dans le sud du pays, a déclaré vendredi 23 que la modélisation de l'épidémie indiquait jusqu'à 300 000 nouvelles infections par jour, ajoutant que le rythme s'accélérait de plus en plus. Certains responsables régionaux de la santé ont prévenu que le pire était à venir. Les autorités de Chongqing, mégalopole du centre frappée par une explosion de cas, ont lancé une campagne d'administration de vaccins inhalables. Si certains médias ont évoqué des pénuries de médicaments et des hôpitaux sous tension, les estimations du nombre réel de cas restent rares. Une méthodologie qui vise, selon des experts, à réduire le nombre de morts attribuées à la pandémie. Dans le Shandong, la province où se trouve Qingdao, les autorités n'ont officiellement enregistré que 31 nouveaux cas. L'Organisation mondiale de la santé s'est dite "très préoccupée" par cette situation. Il a ajouté que le taux d'infection devrait augmenter encore de 10% au cours du week-end. Depuis, les cas de Covid en Chine explosent et une grande partie des habitants sont livrés à eux-mêmes. Mais la fin du dépistage obligatoire rend extrêmement difficile, voire impossible, d'estimer le nombre de cas. Le pays a ainsi supprimé les quarantaines onéreuses et les restrictions de voyage à l'impact considérable sur l'économie chinoise. Tout cela contribue aussi à un apparent engorgement des crématoriums.
Un demi-million de personnes sont infectées quotidiennement par le Covid dans la seule ville chinoise de Qingdao qui compte 10 millions d'habitants, ...
Dans la mégalopole orientale de Shanghai, plus de 40.000 patients ont été traités pour des « fièvres », selon le Quotidien du peuple, un journal d'Etat. Un responsable de la santé à Hainan a déclaré vendredi que la province insulaire atteindrait « très bientôt » un pic d'infection. Certains signes indiquent que les infrastructures restent sous pression en ce début de week-end, tandis que certains responsables régionaux de la santé ont prévenu que le pire était à venir. Le gouvernement chinois exerce un contrôle strict sur les médias du pays, avec des légions de censeurs en ligne chargés de supprimer les contenus jugés politiquement sensibles. A travers tout le pays, les villes s'efforcent de faire face à la recrudescence des infections qui ont vidé les rayons des pharmacies et rempli les salles d'hôpital, tout en contribuant à un apparent engorgement des crématoriums. Une méthodologie qui vise, selon des experts, à réduire le nombre de morts attribuées à la pandémie.
Samedi, l'autorité sanitaire nationale chinoise a fait état de 4.128 infections symptomatiques quotidiennes, et d'aucun décès lié au COVID-19 pour un quatrième ...
À Wuhan, la ville où le COVID-19 est apparu il y a trois ans, les médias ont rapporté vendredi que la banque de sang locale ne disposait que de 4.000 unités, soit suffisamment pour tenir deux jours. La Chine fait face à un bond du variant Omicron depuis la levée des mesures strictes en vigueur qui ont entraîné une vague de soulèvements à travers le pays. Les autorités de Shanghaï ont exhorté les habitants à rester chez eux ce week-end, afin de contenir les infections durant le réveillon de Noël, alors que le coronavirus fait rage dans tout le pays après l'assouplissement des mesures de la politique "zéro COVID".
La commission nationale chinoise de la Santé, laquelle fait office de ministère, a annoncé dimanche qu'elle ne publierait plus les chiffres quotidiens des ...
Depuis la levée de la politique "zéro Covid", la Chine fait face à une vague de contaminations inédite, situation passée sous silence.
"C'était le meilleur et le plus gros bureau de fabrication de fausses statistiques du pays", estime un autre. "Finalement, ils se réveillent et réalisent qu'ils ne peuvent plus duper les gens" avec des chiffres sous-évalués, écrit un utilisateur du réseau social Weibo. Auparavant, des tests PCR quasi-obligatoires permettaient de suivre avec fiabilité la tendance épidémique.