Le documentaire Steve McQueen: the Man & Le Mans, sur la légende du cinéma et passionné de sport automobile, ajoute un peu plus de mystère à l'icône.
Avec une leçon terrible à la clé: même les légendes de cinéma risquent de tout perdre en poursuivant leurs rêves. Compétiteur-né dans ses rôles comme dans la vie, Steve McQueen s’est mis en tête de réaliser “le film automobile ultime” avec Le Mans. Comme Dean Martin, Steve McQueen a usé ses jeans dans une famille modeste mais avec un authentique destin à la Dickens: il n’a jamais connu son père, et sa mère, prostituée, l’abandonne dans la ferme de son grand-oncle.
En 1970, Steve McQueen arrive en France avec une idée en tête : tourner «le film ultime de course automobile», une oeuvre qu'il désire baptiser «Le Mans».
Dynamiquement bercée par deux vieux standards de Sam Cooke et une super BO de Jerry Goldsmith, cette comédie d’action inspirée par « Le voyage fantastique » de 1966 – l’un des meilleurs films de science-fiction de l’Histoire