Close film

2022 - 10 - 31

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Image courtesy of "Brabant Cultureel"

'Close' aangrijpende film over intieme vriendschap tussen twee jongens (Brabant Cultureel)

Onze redacteuren doen verslag vanuit de filmzaal: de Belgische film 'Close' en de Braziliaanse film 'Fogaréu'. Door Emmanuel Naaijkens en Carina van der Wal. De zeventien films op Cinecitta International Filmfestival vallen op een na allemaal in de ...

De film is ook te zien in Eindhoven (Natlab) en Breda (Chassé). De openingsscène van de film Fogaréu toont de geboorte van een kind. Tussen de autoriteiten van de stad (waar haar oom burgemeester is) en de Goyas speelt een strijd om water en de handel in cocaïne. De magiër van Goias houdt Fernanda in de gaten. Fernanda geeft haar deel van haar erfenis weg aan de Chief. Fernanda maakt ook tot misnoegen van haar oom contact met de inheemse Indianenstam door een bezoek aan hun vrouwelijke Chief. Daarna groeit de afstand tussen de twee jongens en neemt het verhaal een dramatische wending. De Belgische film Close is van een andere orde. De film is ook Belgische inzending voor de Academy Awards (Oscars). Geen gemakkelijk onderwerp, maar Dhondt is erin geslaagd om er een overtuigende en ontroerende film van te maken. De zeventien films op Cinecitta International Filmfestival vallen op een na allemaal in de categorie arthouse. Onze redacteuren doen verslag vanuit de filmzaal: de Belgische film ‘Close’ en de Braziliaanse film ‘Fogaréu’.

“Harka”, “Amsterdam”, “Close”... Les films de la semaine - Les Inrocks (Les Inrocks)

Partager · Harka de Lotfy Nathan · Amsterdam de David O. Russell · Close de Lukas Dhont · Vous n'aurez pas ma haine de Kilian Riedhof · Le Serment de Pamfir de ...

La présence dans les deux films d’Ayako Wakao, l’actrice de prédilection de Masumura, n’est pas pour rien dans leur indéniable grandeur. Pourtant, il finit par succomber à sa logique d’évitement quand il fait revenir dans des flash-backs subliminaux à l’image trop léchée le fantôme de la mère, cet impossible hors-champ qui donnait tout son poids à cette tristesse non consumée. Là où le film ne semble pas totalement accomplir sa tâche et laisse un goût amer en bouche, c’est la façon dont il expulse hâtivement deux personnages féminins (la mère et la femme de Pamfir) vers la fin du récit, les condamnant inexorablement par leur absence à l’image. Le film se distingue également par une puissante utilisation des différentes cultures folkloriques slaves jusqu’à atteindre son sommet : une impressionnante traque au cœur d’une fête folklorique où les déguisements de paille et les masques s’agitent au milieu des fumigènes et du feu d’artifice. Et inversement proportionnelle à l’horreur du drame et à la douleur que vivent les personnages, cette joliesse finit par tenir le film à distance de son sujet, de l’émotion et finalement des spectateur·trices. À mi-chemin entre le conte et le thriller, Harka est aussi un film qui s’écoute par la voix d’une petite sœur, invoquant l’ombre de son frère.

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