Encore de grosses perturbations sur le réseau des TEC à Charleroi ce matin. Les dépôts Genson, de Jumet et...
Encore de grosses perturbations sur le réseau des TEC à Charleroi ce matin. Une action qui n’est, jusqu’ici, pas couverte par les organisations syndicales. Une source anonyme assure même que la grève pourrait durer jusqu’à mercredi.
Deux mouvements de grève, pour des raisons différentes, impactent la circulation des bus à Charleroi et à Liège ce lundi, peut-on lire sur le site web du ...
Le 20 octobre, pour dénoncer les prix de l'énergie, les chauffeurs du TEC ont initié un mouvement de protestation qui se prolonge depuis.
« Ce samedi matin, une assemblée de chauffeurs a voté pour la poursuite du mouvement. Des discussions sont en cours avec ceux-ci », indique le porte-parole du TEC. Les embarras de circulation se sont au final révélés importants car les chauffeurs bloquaient, à l’aide des bus, l’accès au centre-ville, notamment via Mont-sur-Marchienne.
Christophe, chauffeur au TEC Charleroi depuis 5 ans, est plus déterminé que jamais à faire bouger les choses. « Aujourd'hui, on se bat non plus pour vivre, ...
C’est pour mettre fin à cette spirale infernale que le Castellinois, père d’une adolescente de 17 ans, a décidé de passer à l’offensive en participant à cette action citoyenne. On vit un changement de catégorie sociale : la classe moyenne est en train de basculer dans la pauvreté. Toutes les fins de mois, on est pris à la gorge.
Ainsi donc les chauffeurs du TEC Charleroi ont décidé, comme ça, à la fraîche, de prolonger la grève multisectorielle de vendredi pour réclamer plus de ...
La grève de vendredi dernier avait probablement tout son sens, d'ailleurs. Car à défaut de sens, la grève nuit au droit de grève. Agir de la sorte sans que personne ne comprenne réellement ce qui se passe, c'est scier la branche démocratique sur laquelle nous sommes tous assis.
Les bus et métro du TEC Charleroi sont à l'arrêt en réaction à la hausse du coût de la vie. Les quatre dépôts de la région ont suivi.
Alors que le mouvement d'humeur n'est pas à l'initiative des syndicats, à la CGSP on comprend la grève et on reste malgré tout aux côtés des travailleurs. "Mais on veut que ce soit tout le secteur, tout le secteur privé. Le mois prochain va être difficile, mais on espère que ça vaut le coût." Mais on invite tout le monde à se joindre à nous. "Non, nous sommes en arrêt parce que tout devient impayable, tout le monde en a marre mais personne ne fait rien." Pas pour le plaisir d'embêter le monde, mais pour marquer le coup.