Encore de grosses perturbations sur le réseau des TEC à Charleroi ce matin. Les dépôts Genson, de Jumet et...
Encore de grosses perturbations sur le réseau des TEC à Charleroi ce matin. Une action qui n’est, jusqu’ici, pas couverte par les organisations syndicales. Une source anonyme assure même que la grève pourrait durer jusqu’à mercredi.
Deux mouvements de grève, pour des raisons différentes, impactent la circulation des bus à Charleroi et à Liège ce lundi, peut-on lire sur le site web du ...
Ce lundi, le réseau de transport en commun a été une nouvelle lourdement perturbé. Les dépôts de Genson, Jumet, Anderlues et Nalinnes sont restés bloqués.
Les dépôts de Genson, Jumet, Anderlues et Nalinnes sont restés bloqués. Ce lundi, le réseau de transport en commun a été une nouvelle lourdement perturbé. Les travailleurs du TEC ont même été plus loin en installant des barrages filtrants de part et d’autre du Boulevard Tirou en fin de matinée.
Les bus et métros de la région de Charleroi sont toujours fortement impactés par le blocage des chauffeurs du TEC. Un mouvement qui pourrait continuer ...
Les lignes de bus et de métro provenant de ces dépôts ne roulent pas ce lundi. Les bus et métro du dépôt de Jumet sont également impactés. Un mouvement qui s'est prolongé ce week-end, bloquant une partie du centre-ville autour de la gare du Sud, et continue à produire ses effets même ce lundi.
Le 20 octobre, pour dénoncer les prix de l'énergie, les chauffeurs du TEC ont initié un mouvement de protestation qui se prolonge depuis.
« Ce samedi matin, une assemblée de chauffeurs a voté pour la poursuite du mouvement. Des discussions sont en cours avec ceux-ci », indique le porte-parole du TEC. Les embarras de circulation se sont au final révélés importants car les chauffeurs bloquaient, à l’aide des bus, l’accès au centre-ville, notamment via Mont-sur-Marchienne.
Ne dites plus grève, mais action citoyenne. Peu importe finalement l'appellation, les effets sont identiques : ni bus, ni métro sur le réseau du TEC ...
Toutes les fins de mois, on est pris à la gorge. C’est pour mettre fin à cette spirale infernale que le Castellinois, père d’une adolescente de 17 ans, a décidé de passer à l’offensive en participant à cette action citoyenne. » « Nous vivons tous les mêmes difficultés. C’est en tout cas le message que les chauffeurs de bus ont fait passer au fil de leur « promenade » dans les artères de Charleroi. « Nous ne ciblons pas notre employeur, le TEC Charleroi », répètent les chauffeurs du TEC.