Larissa et Melisa, deux réfugiées ukrainiennes, affirment avoir été exclues par le gérant du restaurant Le Cosy Montparnasse à cause de leur nationalité ce ...
Il s’en excuse, dit ne pas le penser et avoir agit sur le coup de l’énervement. Interrogé par BFM Paris Île-de-France, le gérant du Cosy Montparnasse reconnaît avoir dit "vive Poutine" après avoir reçu des menaces des deux clients. En ouvrant le menu, nous avons cherché le prix des boissons chaudes, et nous avons appelé la serveuse pour avoir des informations." "Je pensais qu’il n’était pas au courant de la façon dont les membres du personnel interagissent avec les clients dans le café", explique-t-elle. La mère et la fille, âgées de 50 et 18 ans, comptent chacune de leur dépense depuis leur arrivée en France, il y a trois mois. "Qu’un extrait car ma mère et moi étions sous le choc", précise-t-elle à BFMTV.com.
Larissa et Melisa, deux réfugiées ukrainiennes, affirment avoir été mises à la porte par le gérant du restaurant Le Cosy Montparnasse à cause de leur ...
Elles ont enregistré une vidéo accablant le restaurateur dans laquelle il prononce "viva Poutine". Le vice-président de l'union des Ukrainiens en France l'a ...
Il précise que les deux réfugiées sont restées une demi-heure dans le bistrot, demandant également à changer de place en raison du froid. Si le restaurant a reçu de nombreux avis négatifs en ligne par la suite, la version défendue par son gérant est bien différente du récit des deux réfugiées. Dans une vidéo partagée sur Twitter, on voit le gérant de l'établissement Le Cosy, à Monpanasse, répéter deux fois "Viva Poutine". Au cours de leurs interactions, le responsable aurait dit "qu’il soutenait Poutine et qu’il était juste de tuer le peuple ukrainien". Il pleuvait et nous avions très froid, alors nous avons décidé d’aller dans ce café Le Cosy Montparnasse pour y boire du thé" c'est en ouvrant le menu que "nous avons cherché le prix des boissons chaudes, et nous avons appelé la serveuse pour avoir des informations." Le vice-président de l'union des Ukrainiens en France l'a partagé sur Twitter.