Didier Deschamps devrait opérer cinq changements dans son onze de départ pour affronter le Danemark ce dimanche soir en Ligue des nations (20h45).
[>> Danemark-France: les infos en direct](/football/equipe-de-france/en-direct-equipe-de-france-toutes-les-infos-du-mercredi-21-septembre-2022_LN-202209210336.html) Dans un schéma en 3-4-1-2, le capitaine Raphaël Varane sera épaulé par Benoît Badiashile et William Saliba ou Dayot Upamecano, en balance pour la dernière place dans la défense à trois. [succès convaincant de l'équipe de France face à l’Autriche](/football/equipe-de-france/en-direct-france-autriche-suivez-l-avant-dernier-match-des-bleus-avant-le-mondial-2022_LS-202209220311.html) (2-0), jeudi soir au Stade de France, Didier Deschamps, confronté à de nombreuses blessures, devrait procéder à de nombreux changements pour affronter le Danemark, ce dimanche soir à Copenhague pour le compte de la 6e et dernière journée de Ligue des nations.
L'équipe de France est maintenue dans l'élite de la Ligue des nations, voilà pour l'aspect positif du soir. Mais à deux mois de la Coupe du monde, les Bleus ...
Remplacé à la mi-temps par Youssouf Fofana (4,5/10), entreprenant et présent à l'impact. Il n'a pas souhaité changer de système à la mi-temps malgré les difficultés de sa défense. Remplacé à la mi-temps par Jonathan Clauss (4,5/10), qui a apporté offensivement. Il a raté son début de deuxième période (56e) avant de passer tout proche de relancer le match sur trois frappes bien sorties par Schmeichel (66e, 67e, 70e). Deux frappes cadrées mais trop axiales (15e, 70e), un coup-franc dangereux bien sorti par Schmeichel (52e). Mais à deux mois de la Coupe du monde, les Bleus ont sombré, dimanche 25 septembre,
LIGUE DES NATIONS – Dayot Upamecano n'en finit plus de souffrir en Bleu. Ce dimanche, au Danemark, il s'est encore noyé.
Il a bien démarré avec des remises intelligentes pour Pavard ou Mbappé avant de disparaître progressivement du paysage. Les vingt premières minutes et les combinaisons avec Mbappé (14e, 67e) ou Giroud (17e) ont rappelé ses plus belles heures. Comme les autres, Fofana a perdu trop de duels. Trop court et trop neutre en attaque, souvent en retard derrière, il a manqué de repères. Hormis dix minutes assez juste ponctuées par une frappe flottante, le pauvre Madrilène a vécu un enfer à Copenhague. Il a beaucoup moins rayonné que face à l'Autriche même s'il a commis moins d'erreurs que ses infortunés compères du soir en défense. Le Marseillais a tout de suite amené de la profondeur. Cinq minutes en forme de naufrage. Tous ses choix de relance transpiraient la fébrilité et ses interventions ont manqué de tranchant. - En bref… On le dit, on le répète : il n'est pas un piston et sa première période est venue le rappeler. Mais son jeu au pied défaillant a contribué à asphyxier les Bleus.