La réalisatrice américaine livre une adaptation guère réussie du roman d'Ira Levin, « Les Femmes de Stepford ».
C’est ce roman-là que vient réactualiser Don’t Worry Darling, énième preuve que les fifties sont, au cinéma, moins une époque révolue qu’un véritable terrain de jeu dont on ne finira jamais d’explorer la beauté vénéneuse. Pour résumer : derrière la carte postale de la femme au foyer épanouie et aux petits soins, se cache, le plus souvent, un cauchemar ensoleillé. On doit à l’écrivain Ira Levin (1929-2007) d’avoir largement contribué au genre avec deux de ses romans : Rosemary’s Baby,
Le film sur lequel Olivia Wilde et Harry Styles sont tombés amoureux sort aujourd'hui, précédé par des tensions réelles entre les acteurs et les ragots du ...
» Faisant aussi allusion aux mauvaises relations entre Shia et Florence Pugh, elle a justifié son éviction en disant : « Ma responsabilité envers la production et les acteurs est de les protéger. Sur le tournage du film de guerre « Fury », avec Brad Pitt, il avait décidé de ne pas se laver, comme les soldats coincés dans leur char. Elle a trouvé « Don’t worry Darling » sur la « Black list » de Hollywood, recensant les meilleurs scénarios qui n’ont pas trouvé de producteurs. Olivia Wilde avait fait monter la sauce avec une bande-annonce enfiévrée, montrant Harry Styles la tête entre les jambes de Florence Pugh en train de lui faire du bien, et en lançant que son film ne s’adressait pas aux hommes mais aux femmes. Mais finalement, le film a surtout été rattrapé par les rumeurs de mésentente et les ragots d’Internet ! Avec « Don’t Worry Darling », sa réalisatrice, Olivia Wilde, qu’on avait découverte en 2007 dans la série « Dr House », voulait mettre en scène un brûlot féministe inspiré par l’ère Trump ainsi que nous plonger dans la psyché et les fantasmes féminins.
Comme tous les mercredis, Nicolas Buytaers nous emmène au cinéma et nous livre ses coups de cœur de la semaine.
"Les enfants des autres" nous dresse le portrait subtil de cette belle-mère, cette belle-mère attentionnée, aimante qui remet même en question son envie d’avoir des enfants. Une société qui se cache dans le désert et qui cache davantage de choses à ses hôtes… À l’image d’Alice qui gratte le vernis de sa vie si parfaite, Olivia égratigne les apparences, les faux-semblants et nous persuade que même quand tout semble bien aller, il faut se poser des questions, ne pas subir et lutter. Rachel est une professeure de 40 ans et aime sa vie comme elle est : sans enfant mais avec ses élèves, ses cours, sa famille, ses sorties. Et elle commence à poser des questions, à gratter le vernis de cette vie si parfaite imaginée par la société qui emploie Jack. Ils sont beaux, ils habitent une belle maison, Jack est bien vu dans son job de rêve, Alice s’occupe de tout le reste à la maison quand il n’est pas là, tout en suivant ses cours de danse et de natation.
Florence Pugh et Harry Styles réunis dans un thriller psychologique soigné signé Olivia Wilde.
Même si elle se rattache à son amour pour Jack (Harry Styles), elle doute de plus en plus des intentions du projet Victory, mené d'une main de fer par le mystérieux Franck (Chris Pine), gourou de cette étrange secte. Nous plongeant dans un épisode de Mad Men ou des Desperate Housewives, Olivia Wilde fait joyeusement voler en éclat le rêve américain et plus précisément sa dimension patriarcale. Leurs épouses, aux robes et aux déshabillés soignés, passent leur journée à faire du shopping, à ranger la maison et à préparer à dîner à leur mari, dont elles attendent le retour un cocktail à la main…
Trois ans après Booksmart, corrosif teenmovie féministe, l'actrice américaine Olivia Wilde (Dr House, Tron…) poursuit son dérouillage en règle du rêve ...
Tandis qu’Alice découvre le secret du gourou de la communauté (Chris Pine) et dessille son regard sur les structures patriarcales en place, le film prend un virage narratif qui repose plus sur des effets de spectaculaire que sur le fond, rehaussé par des personnages féminins classieux dont on eût voulu qu’ils constituent le cœur du film. Trois ans après Booksmart, corrosif teenmovie féministe, l’actrice américaine Olivia Wilde (Dr House, Tron…) poursuit son dérouillage en règle du rêve américain, porté ici par deux nouvelles icônes: la prodigieuse Florence Pugh (Midsommar…) et le chanteur Harry Styles. Ils interprètent Alice et Jack, un jeune couple vivant dans le Victory Project, une résidence de luxe qui repose sur la fétichisation de l’American way of life des années 1950 (avec épouses modèles qui attendent leur mari toute la journée).
Projeté en clôture du Festival du film américain de Deauville, Don't Worry Darling s'ajoute à la longue liste des thrillers psychologiques chics mais ...
Le début d'une remise en question pour Alice et la quête d'une vérité qu'on lui a caché depuis trop longtemps. Si l'on s'amuse à regarder du côté des [Oscars](https://www.gqmagazine.fr/pop-culture/article/oscars-2022-les-5-moments-forts-a-retenir-hormis-la-gifle-de-will-smith), sur les dix dernières années, une large majorité des longs-métrages à avoir reçu la statuette suprême du Meilleur film sont des drames. Des productions élégantes à bien des égards, par la richesse des décors, le charme lisse des images, et portées par des célébrités incontestables. Autant d'ingrédients qui permettront certainement au film de faire parler de lui et de s'assurer un box-office au minimum correct. Après le succès critique de Booksmart, l'Américaine de 38 ans a souhaité délaisser le terrain de la comédie adolescente pour celui du thriller psychologique, tendance [Truman Show](https://www.gqmagazine.fr/pop-culture/article/j-en-ai-assez-fait-je-n-en-peux-plus-jim-carrey-pense-serieusement-arreter-sa-carriere-d-acteur) qui tourne très mal. [Don't Worry Darling](https://www.gqmagazine.fr/pop-culture/article/harry-styles-est-un-manipulateur-misogyne-dans-le-film-dont-worry-darling), le second long-métrage d'Olivia Wilde en tant que réalisatrice, aime un peu trop répéter.
DON'T WORRY DARLING FILM. Don't Worry Darling est sorti au cinéma ce 21 septembre 2022. Il avait agité les réseaux sociaux lors de sa présentation au ...
La séquence embrase Twitter et chacun y va de son commentaire, entre ceux qui sont persuadés que Styles a craché sur Pine, et d'autres qui expliquent que l'attitude de Chris Pine est liée à ses lunettes de soleil. Elle cherche à savoir ce qui se passe dans la ville et ce que trame son mari et les autres hommes au siège avec ce fameux "développement de matériaux progressifs"... Arrivée à la Mostra de Venise, l'actrice de 26 ans a salué l'ensemble de l'équipe du film sur le tapis rouge, à l'exception d'Olivia Wilde et d'Harry Styles. Lors de la projection de Don't Worry Darling à la Mostra de Venise, début septembre 2022, une vidéo de l'équipe circule dans laquelle on peut voir Harry Styles arrivé dans la salle, puis se penchant sur Chris Pine avant de s'asseoir. Elle s'est rendue à la Mostra de Venise uniquement pour le tapis rouge et la présentation officielle du film, évitant les interviews et les conférences de presse. Pour "protéger" Florence Pugh, la réalisatrice décide de le renvoyer et de le faire remplacer par Harry Styles. Si la question embrase internet, et particulièrement les fans de l'ex-membre des One Direction, la question aurait mis mal à l'aise les équipes du film, dont Florence Pugh. Il semblerait également que l'ancien mari de la réalisatrice, Jason Sudeikis, et leurs enfants, se rendaient parfois sur le tournage du film… Si elle s'implique vraiment, avec son esprit et son cœur, et si vous pouvez faire la paix – je respecte ton point de vue, et le sien – il reste de l'espoir ? Le point culminant a été atteint lors de la Mostra de Venise 2022, où des captations vidéos ont pu laisser croire qu'Harry Styles avait craché sur sa co-star, [Chris Pine](https://www.linternaute.fr/cinema/biographie/1774232-chris-pine-biographie-courte-dates-citations/) ! [thriller](https://www.linternaute.fr/cinema/pratique/2326476-thriller-les-meilleurs-films-a-voir/), entre tensions en coulisses, informations contradictoires au sujet de l'acteur principal ou encore Florence Pugh qui refuse d'assurer la promotion du long-métrage. Réalisé par Olivia Wilde, ce thriller plonge les téléspectateurs dans la communauté de Victory, où les femmes sont réduites à œuvrer pour le bonheur de leur foyer pendant que leurs maris travaillent au siège de l'entreprise de la ville.
Don't Worry Darling, la ressortie d'Avatar, Les enfants des autres... quelles sont les sorties cinéma de la semaine du 21 septembre 2022 ?
[Ninjababy](https://www.ecranlarge.com/films/1445996-ninjababy), le nouveau long-métrage réalisé par [Yngvild Sve Flikke](https://www.ecranlarge.com/personnalite/1445992-yngvild-sve-flikke), est un petit bonbon doux et joyeux. Ninjababy n'est pas un film théorique, il déploie une douceur qui vire à l'amertume avec une jolie sincérité et sensibilité. C’est décidé : l'adoption est la seule solution. Quand elle découvre qu’elle est enceinte de 6 mois suite à un coup d’un soir, c’est la cata ! C'est l'histoire d'un traumatisme qui paralyse le présent et d'une fracture générationnelle entre un père qui continue de survivre et un fils qui lui reproche de vivre dans un passé qui lui échappe. De quoi ça parle : À l'aube des années 60, Michel et son frère Charly vivent une enfance paisible dans leur famille juive. Ou plutôt un survivant en particulier, qui donne une voix aux autres rescapés et initie le devoir de mémoire. [Rebecca Zlotowski](https://www.ecranlarge.com/personnalite/750194-rebecca-zlotowski) est une superbe cinéaste française dont on parle trop rarement et son Les enfants des autres, qui repose énormément sur sa propre vie, mérite justement de la mettre un peu plus en lumière. Car Les enfants des autres est extrêmement dense, son récit étant capable d'aborder d'innombrables sujets (la crainte de la ménopause, l'instinct maternel, la sororité...) sans jamais se perdre en chemin, sans jamais oublier de raconter essentiellement le parcours de son héroïne, sa libération des "prérequis" de la société. De quoi ça parle : Rachel est une professeur de français, célibataire et sans enfant. Olivia Wilde confirme la puissance de sa mise en scène, capable en quelques secondes de doter son récit d'une atmosphère extrêmement anxiogène, de dynamiter une course contre la montre et d'offrir de grandes scènes de tension en quelques regards, gestes ou dialogues. quelles sont les sorties cinéma de la semaine du 21 septembre 2022 ?
Découvrez la critique du film Don't Worry Darling de Olivia Wilde - Elle était connue comme actrice du côté Tron : L'Héritage, Rush, Her ou encore la série ...
Absolument fantastique de bout en bout, l'actrice incarne toute la fragilité, toute la force, toute la beauté et tout l'héroïsme de cette Alice au pays des merveilleuses horreurs, tombée malgré elle dans le puits des hommes. Dans les derniers moments, c'est le songe éveillé d'un bras qui enlace, comme dans un dernier geste d'amour dont il faut s'émanciper pour vaincre le dernier boss du niveau, qui rattache la folie furieuse de la conclusion à la simplicité horrifique de l'histoire. À mesure que le film accuse des sorties de route et perd le nord, un astre reste haut dans le ciel : Florence Pugh, pour guider le film. La faute à un scénario qui a bien du mal à se sortir de ce rendez-vous obligatoire, Don't Worry Darling est pris à son propre piège. Dans le très beau Booksmart, la réalisatrice avait démontré un sens certain de la mise en scène, un soin tout particulier apporté aux corps et aux décors, en plus d'un désir de créer des bulles hors du temps (la scène de la piscine sur Slip Away de Perfume Genius). Les scènes se suivent alors pour décliner la même idée : le glissement de terrain qui emporte l'héroïne et son petit monde. C'est particulièrement évident avec quelques-unes des images les plus folles du film, où Alice est littéralement étouffée par la vie domestique, avec une baie vitrée et du film plastique. La transformation de Harry Styles en geek de Foir'Fouille est légèrement risible, et les scènes sont si chargées de sens et justifications qu'elles semblent encore plus artificielles que les pelouses de Victory. L'apparition de Dita Von Teese en luxueuse marchandise de boys club, et le choix de Harry Styles (pour remplacer Shia LaBeouf) dans la peau du faux fantasme ultime, rajoutent des couches de malice. Cette Victory plantée au milieu du désert est une douce folie qui déborde d'étrangetés, et c'est un personnage à part entière de l'histoire. Personne ne s'en cache, et tout le monde en joue, du cliché solaire de l'american dream des années 50 à une citation d'Orange mécanique pleinement assumée. les noms vont pleuvoir pour décrire et décrypter Don't Worry Darling, et au passage briser le sortilège du film avec d'énormes indices.
« Don't Worry Darling » sort dans les salles obscures ce mercredi 21 septembre. Entre casting étoilé et scénario captivant, le film d'Olivia Wilde mérite le ...
Prenez une très grosse cuillère de « The Truman Show » (1998)- sans doute la référence la plus frappante (et la plus géniale) -, une pincée de « Matrix » (1999), quelques grammes de « The Stepford Wives » (1975), un soupçon des « Noces Rebelles » (2008) et vous obtiendrez « Don’t Worry Darling ». Certes, les prouesses scéniques de la Britannique de 26 ans ne sont plus à prouver depuis ses rôles dans « The Young Lady » (2016), « Midsommar » (2019), « Les Filles du Docteur March » (2019), ou encore « Black Widow » (2021). Quant à la banlieue impeccable où se déroule l'action, elle nous rappelle celle de Tampa Bay dans « Edward aux mains d’argent ». [polémiques diverses et variées](https://www.elle.fr/Loisirs/Cinema/News/Don-t-Worry-Darling-Shia-LaBeouf-a-t-il-vraiment-ete-vire-du-film-d-Olivia-Wilde-4046331), « Don’t Worry Darling » sort au cinéma ce 21 septembre. Elle est femme au foyer, passe ses journées à astiquer la maison, à préparer le repas et à attendre patiemment son époux, un verre à la main. Une sorte d’épisode XXL de « Black Mirror », au casting étoilé, que l’on s’empresse d’aller voir en salles.
Nu de stofwolken veroorzaakt door allerlei tabloidgekonkel (regisseur en actrice Olivia Wilde kreeg tijdens de opnamen een relatie met popster en ...
Florence Pugh trekt de kar in de warrige maatschappijkritiek vermomd als thriller vermomd als fifties-romance Don't Worry Darling.
'Don't Worry Darling' van Olivia Wilde is nu al de meest besproken film van het jaar. Niet omdat de prent zo goed is, of omdat de hoofdrolspelers zo ...
Een wanhopige huisvrouw in de jaren vijftig ontdekt dat niets is wat het lijkt in deze fascinerende mindfuck.
Wilde speelt met het vastgeroeste beeld van de Amerikaanse middenklasse in de jaren vijftig compleet met de bijbehorende rolverdeling. Dan is er ook nog de weldoener van het project die barst van de charme en charisma maar ondertussen alles onder controle wil houden. Het tweede regieproject van Olivia Wilde - hier ook te zien in een bijrol - had behoorlijk wat voeten in de aarde. Het begint allemaal nadat Alice een merkwaardige observatie in de woestijn doet en op onderzoek uitgaat. De Amerikaanse droom in een notendop, maar we weten allemaal de wrange keerzijde. Haast niets iconischer dan de buitenwijk van een Amerikaanse stad in de jaren vijftig.
Het begon twee jaar geleden al toen de film net in productie was en Hollywoodacteur Shia LaBeouf opeens niet meer meedeed. Nee, zei LaBeouf, ik ben niet ...
Spuugde Harry Styles nou wel of niet op Chris Pine tijdens de première van de film in Venetië?
[Harry Styles](https://www.filmtotaal.nl/persoon/161469)nou wel of niet op [Chris Pine](https://www.filmtotaal.nl/persoon/71958)tijdens de première van hun film [Don't Worry Darling](https://www.filmtotaal.nl/film/34638)op het filmfestival van Venetië? [@CBS]at 11:35/10:35c. Na de première van Don't Worry Darling ging namelijk een filmpje rond op social media waarin het net leek of Styles spuugde op Pine. Zij reageerde deze week in The Late Show van presentator Stephen Colbert voor het eerst op het vermeende spuugincident. "Ik denk dat dit een goed voorbeeld daarvan is". Regisseur [Olivia Wilde](https://www.filmtotaal.nl/persoon/98541)komt nu eindelijk met het antwoord.
Recensies van alle nieuwe films in de bioscoop. Met deze week o.a een psychologische thriller met Florence Pugh en Harry Styles, de re-release van Avatar en ...
The Guardian (★★) AD (★★) Maar wanneer er in hun idyllische leven barsten beginnen te verschijnen die suggereren dat er achter de aantrekkelijke façade iets sinisters schuilgaat, is Alice genoodzaakt zich af te vragen wat ze eigenlijk in Victory doen en waarom ze daar zijn.
A lire sur AlloCiné : Au cœur du thriller "Don't Worry Darling", actuellement en salles, il y a une mystérieuse mélodie fredonnée par Florence Pugh.
Quand on l'applique aux différents moments du film, je pense que ça apporte quelque chose de différent à chaque fois. "Je voulais quelque chose qui soit à la fois doux et sinistre, qui soit complètement dépendant du contexte", déclare Harry Styles, également pour Variety. "Je lui ai répondu que je ne savais pas, que j'allais me renseigner auprès de différentes personnes pour l'écrire.