Des « défaillances » dans la prise en charge : le gouvernement a annoncé lundi une enquête administrative pour comprendre comment les dix enfants d'une ...
« Il y a eu des informations préoccupantes qui ne remontent pas toutes à la justice », a-t-il relevé. Mais la famille était « connue » des services depuis un premier signalement en 2013, a indiqué la secrétaire d’État. Mais le qualificatif de « Maison de l’horreur », vu dans la presse, est pour lui « tout à fait exagéré ».
Un couple de Noyelles-Sous-Lens (Pas-de-Calais) sera jugé en janvier, soupçonné de violences et carences éducatives, après la découverte mardi par la police de ...
L’enquête administrative qu’elle a annoncée lundi doit permettre de « décrypter » pourquoi « les inspections des affaires sociales, de la justice et de l’Éducation nationale, aux côtés du département » ont « donné lieu à une réaction si tardive ». À l’issue d’une table ronde sur ce dossier en préfecture du Pas-de-Calais, Charlotte Caubel, a pointé du doigt lundi des « défaillances » dans la « coordination et l’échange d’information » entre les services. Un couple de Noyelles-Sous-Lens (Pas-de-Calais) sera jugé en janvier, soupçonné de violences et carences éducatives, après la découverte mardi par la police de deux de leurs dix enfants attachés à des chaises hautes, dans une situation « d’hygiène déplorable » a expliqué, dimanche, le parquet. La famille « n’était pas connue de la justice » jusqu’à ces derniers jours, a souligné le procureur. Les parents, un homme de 44 ans et une femme de 40 ans, sont soupçonnés de « soustraction par ascendant aux obligations légales » et de « violences sur mineur de 15 ans par ascendant », sans ITT (incapacité totale de travail). Le maire de la commune, Alain Roger, a été stupéfait par la découverte de cette affaire, « Pour nous, ça n’est pas une famille renfermée.
La découverte d'une fratrie de dix enfants vivant dans des conditions déplorables à Noyelles-sous-Lens dans le Pas-de-Calais a conduit à la mise en examen ...
La peine encourue pour les violences volontaires varie en fonction de l'âge du mineur, de la gravité des faits et du statut de l'auteur, comme l’explique le site du [Service public](https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F952#:~:text=La%20peine%20est%20de%2010,a%20autorit%C3%A9%20sur%20le%20mineur.). Il faut décloisonner et consolider la chaîne de signalement et d’accompagnement des enfants en danger. "Une ordonnance de placement a été délivrée pour chacun des mineurs". Le couple apparaît pourtant discret et sans histoire. Après la découverte, ils ont été placés en garde à vue et auraient reconnu les faits au cours des auditions, justifiant le ligotage comme moyen de protéger les enfants et de les empêcher de commettre des bêtises comme le rapporte La découverte d’une fratrie de dix enfants vivant dans des conditions déplorables à Noyelles-sous-Lens dans le Pas-de-Calais a conduit à la mise en examen des parents.
C'est un tout nouveau concept qui va ouvrir ses portes dans la rue de Nimy à Mons. Dans le bâtiment autrefois occupé par le bar geek Upgame, une maison de l' ...
Une semaine après la découverte d'une fratrie maltraitée dans une maison du Pas-de-Calais, le parquet de Béthune a diffusé quelques éléments de l'enquête.
La famille n'était pas connue de la Justice. "Ce n'était pas évident pour les parents". Après le lancement de l'enquête, les forces de l'ordre se rendent compte que les enfants de la famille ne vont que À l'inverse, une amie de la famille assure que les enfants "ne manquaient de rien". Pour ces faits, les deux parents encourent jusqu'à cinq ans de prison. Pour le plus jeune, les agents de police constatent que celui-ci est atteint de soucis d'élocutions et qu'il arrive péniblement à se mouvoir.
Dix enfants ont été retrouvés vivant dans des conditions épouvantables dans une maison à Noyelles-sous-Lens, dans le Pas-de-Calais, rapporte la presse ...
En France, la police vient de mettre fin au calvaire de 10 enfants à Lens, dans le Pas-de-Calais. Ils étaient maltraités par leurs propres parents depuis ...
Dans la localité de Noyelles-sous-Lens, personne ne se doutait de ce qui se passait. Une fois sur les lieux, les policiers n’ont pu que constater l’horreur dans laquelle les enfants vivaient. Certains médias français l’appellent la "maison de l’horreur".
C'est une scène d'horreur que les services de police ont découverte mardi 30 août, dans une maison de Noyelles-sous-Lens, dans le Pas-de-Calais.
- 8 - 10 - 6 - 5 - 2 - 4 - 1 Le couple risque donc des sanctions pénales mais aussi d’être privé de leur autorité parentale, ou encore de verser une indemnisation aux victimes. [D’après le code pénal](https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043540664/), lorsque la victime est âgée de 15 ans ou moins, les violences physiques commises par ses parents sont punies jusqu’à "10 ans de prison et 150 000€ d’amende lorsqu’elles ont entrainé des blessures graves" et "5 ans de prison et 75 000€ d’amende lorsqu’elles ont entrainé des blessures moins graves". Comme le rappelle Ces faits sont punis par la loi : Depuis, chacun des enfants mineurs a été placé de manière temporaire.
À Noyelles-sous-Lens, dans le Pas-de-Calais, un couple a été arrêté pour violence sur mineurs. Une fratrie de dix enfants était maltraitée par leurs parents ...
[maison](https://www.europe1.fr/societe/des-equipes-mobiles-pour-aider-les-soignants-a-detecter-la-maltraitance-infantile-4040273), tout est propre et correct. [nombreux sévices](https://www.europe1.fr/societe/la-maltraitance-des-enfants-un-fleau-encore-plus-preoccupant-pendant-le-confinement-3961310), comme des fessées. Les enfants courraient par terre, ils avaient à manger", affirment-elles. Le parquet a été averti le 30 août par un signalement de l'Aide sociale à l'enfance (ASE), a indiqué à l'AFP le procureur de la république de Béthune, Thierry Dran, confirmant une information de la Voix du Nord. Deux enfants dormaient attachés sur des chaises hautes, dans un "état d'hygiène déplorable", selon Thierry Dran. En début de semaine, à Noyelles-sous-Lens dans le Pas-de-Calais, un couple a été arrêté pour violence sur mineurs et manquement à l'hygiène le plus élémentaire sur leurs enfants.
Une fratrie de dix enfants a été découverte vivant dans des conditions indignes dans une maison près de Lens. Les parents ont été laissés libres et ...
En fonction des conclusions des experts, la qualification des faits peut évoluer. "On va essayer d'observer leur développement psycho-moteur", ajoute-t-elle, précisant "qu'un enfant qui a été ligoté, qui n'a pas marché, a par exemple les pieds très ronds comme un nouveau-né". Si les parents étaient mis en examen pour crimes, ils n'auraient en effet pas été laissés libres dans l'attente de leur jugement. Présentés au tribunal judiciaire de Béthune, ils ont reconnu les faits et ont été placés sous contrôle judiciaire. C'est l'enquête qui va le dire", explique-t-il. Les parents ont pour l'instant été laissés libres et placés sous contrôle judiciaire.
L'aîné de la fratrie de dix, découverte dans le Pas-de-Calais, s'était rendu à la gendarmerie pour dénoncer les agissements de ses parents.
C’est un signalement aux services sociaux qui a déclenché l’enquête menant à cette visite et à l’interpellation du père, âgé de 44 ans, et de la mère, âgée de 40 ans, pour “violences sur mineurs par ascendant et de soustraction aux obligations légales”. Une justification reprise par la belle-sœur du père des enfants, interrogée par BFMTV. Le jeune homme, âgé de 24 ans, avait été mis à la porte par son père après une violente dispute entre les deux. Sur place, les forces de l’ordre ont découvert les conditions d’hygiène déplorable dans lesquelles vivaient les [enfants](https://www.aufeminin.com/news-societe/bebe-abandonne-dans-une-voiture-le-pere-se-presente-au-commissariat-pour-recuperer-le-vehicule-s4047320.html) d’une fratrie de dix. Et si une équipe de police s’est rendue sur les lieux, c’est en réponse à une plainte déposée par l’aîné de la famille. Un jeune homme âgé de 24 ans.
C'est un véritable cauchemar qu'ont vécu les policiers en pénétrant dans un logement de Noyelles-sous-Lens dans le département du Pas-de-Calais. Lorsqu'ils sont ...
Ça donne la chair de poule d’entendre le sort réservé à des enfants… Lorsqu'ils sont entrés le mardi 30 août à 9 h 30, ils ont découvert deux enfants de 2 et 5 ans qui dormaient ligotés sur des chaises hautes. Ils n’avaient pas le droit de sortir du logement.
Un couple a été arrêté dans le Pas-de-Calais pour des maltraitances après que ses dix enfants ont été découverts par la police suite à un signalement du ...
«Ce qui est reproché, c'est surtout le manque d'hygiène total, et des carences éducatives graves et le fait de ne pas s'être occupé de façon normale de ses enfants», a déclaré le procureur. «On les croise régulièrement, les enfants sont scolarisés en maternelle et en primaire et on voit la maman les conduire à l'école. Le site ajoute que tous auraient été victimes de fessées, auraient été ligotés et privés de liberté, au cours de leur vie. [La Voix du Nord](https://www.lavoixdunord.fr/1223262/article/2022-09-02/noyelles-sous-lens-enfants-ligotes-sans-hygiene-des-parents-maltraitants) » a révélé que dix frères et sœurs âgés de 4 mois à 24 ans ont tous été les victimes des maltraitances de leurs parents. A l’intérieur du domicile se trouvaient deux enfants de 2 et 5 ans, «attachés à des chaises hautes, pour ne pas qu'ils bougent». [RTL](https://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/enfants-maltraites-dans-le-pas-de-calais-la-belle-soeur-nie-les-maltraitances-7900181873) , ils avaient le corps couvert d’excréments, ce qu’a démenti le procureur, qui a précisé ne pas avoir trouvé «de traces de sévices graves qui auraient provoqué des cicatrices» sur les enfants.
Les parents ont immédiatement été placés sous contrôle judiciaire et ont interdiction de revoir leurs enfants.
Pour de tels faits, ils risquent deux ans de prison et près de 30.000 euros d'amende. Ça donne la chair de poule d'entendre le sort réservé à des enfants", confie-t-il à La Voix du Nord. La mère de famille n'avait pas d'emploi, et le père travaillait lui en noir dans la mécanique auto.
Les policiers sont sous le choc après la découverte d'une maison de l'horreur où une fratrie subissait la maltraitance extrême de ses parents.
Les enfants étaient polis, ils disaient tout le temps bonjour. « On a été un peu choqué, on ne pensait pas que ça pouvait se dérouler à Noyelles. L’enquête sera menée par la brigade des mineurs « auprès du voisinage, de l’école », explique l’avocate Florence Rouas sur le plateau de BFMTV. « Je ne savais pas, ils avaient l’air bien, explique une voisine, encore sous le choc, au micro de BFMTV. Cette photo prise à Cannes qui enflamme la Toile](https://www.mariefrance.fr/actualite/xavier-dupont-de-ligonnes-retrouve-cette-photo-prise-a-cannes-enflamme-toile-648398.html) Des scènes d’horreur à peine imaginable.
L'horreur a été découverte dans une maison du Pas-de-Calais (nord de la France) la semaine dernière. Une fratrie de dix enfants, à Noyelles-sous-Lens, ...
Donc elle ne pouvait pas s’occuper de tous les enfants en même temps. « Il y avait beaucoup de bruit dans la maison. Les parents, âgés de 44 ans et 40 ans, ont été placés en garde à vue pour violences sur mineurs par ascendant et de soustraction aux obligations légales. Le couple explique avoir ligoté les enfants « pour empêcher de commettre des bêtises ». Preuve de son retard de motricité, l’enfant de 2 ans a les pieds larges. Les policiers du Pas-de-Calais ont découvert l’insoutenable dans une maison de Noyelles-sous-Lens (Pas-de-Calais).
C'est l'un des fils du couple qui a dénoncé les faits à la police. Dans une maison de Noyelles-Sous-Lens, en France, des parents élevaient leurs enfants dans ...
La fille de ce témoin était dans la classe d'un des fils de la famille. "Les parents, on les croise souvent... Elle me disait 'maman ce n'est pas normal'." Pour une riveraine, cette description donnée par les médias locaux est exagérée. Une fois sur les lieux, les policiers n’ont pu que constater l’horreur dans laquelle les enfants vivaient. Dans une maison de Noyelles-Sous-Lens, en France, des parents élevaient leurs enfants dans des conditions désastreuses.
Malgré la scolarisation de plusieurs enfants de la fratrie et des signalements faits à l'encontre des parents, la situation a duré.
Deux seuls enfants mineurs étaient attachés sur les chaises lorsque les fonctionnaires de police sont arrivés". On n'a pas de traces de coups sur les enfants. Cette famille défavorisée de Noyelles-sous-Lens n'était pourtant pas connue des services de police et de justice.
Charlotte Caubel a fait le point sur l'affaire de maltraitance découverte fin août près de Lens. Les deux parents seront jugés en janvier.
« On ne s’est pas rendu compte de la récurrence, et de la difficulté qui allait en s’accroissant », a poursuivi la secrétaire d’État. « On a affaire à des manquements certains, à un manque d’hygiène et des carences éducatives mais il n’y a pas de traces de coups », a indiqué ce lundi le procureur de la République. Objectif : améliorer la coordination et l’échange d’informations entre les différents acteurs de la protection de l’enfance. Il faut décloisonner et consolider la chaîne de signalement… « Le couple mettait peut-être en ordre sa maison avec bonne volonté ou consciemment pour cacher sa réalité », a souligné la ministre qui pointe aussi le fait que « tous les services les ont accompagnés mais chacun dans son silo ». C’est après une alerte faite au mois d’août par l’aîné de la famille que les parents — deux quadragénaires — ont été interpellés.