Beluga

Vers 4 heures du matin, après six heures d'efforts, le cétacé de près de 800 kg a été soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge, ...

Selon la préfecture, « elle augure selon les vétérinaires un mauvais pronostic vital ». Aux alentours de 4 heures du matin, le cétacé de près de 800 kilos a été soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge. Les berges de la Seine « ne sont pas accessibles aux véhicules » à cet endroit et « tout doit être transporté à la main », a expliqué Mme Brasseur. Pour la spécialiste, « la priorité est de le remettre dans l’eau de mer ». » L’opération, « particulièrement complexe », s’est poursuivie durant toute la nuit. « Le moment où le béluga a été sorti de l’eau dans le filet », vers 4 heures du matin, « a été extrêmement intense et stressant parce qu’il a été surpris, il a bougé. C’était assez stupéfiant », a témoigné la sous-préfète, présente tout au long de l’opération. « Au moment où nous nous parlons, c’est un animal qui résiste et est vivant », a-t-elle ajouté, estimant que « l’opération, quelle que soit la suite, est une réussite ».

Le béluga se nourrissait toujours «très peu» et son état de santé était «stationnaire», selon la sous-préfète. La présence exceptionnelle de l'animal marin dans ...

« J’ai pitié pour ce pauvre animal », s’est lamenté Annie, 74 ans, venue voir le cétacé égaré dans l’écluse de son enfance, où elle venait se promener avant que le site devienne une zone industrielle fermée au public. Il sera ensuite relâché en mer, avec on l’espère, les meilleures chances de survie », ajoute Sea Shepherd. « On aura fait le maximum et le mieux possible », a estimé devant les journalistes la secrétaire générale de la préfecture de l’Eure, Isabelle Dorliat-Pouzet. Mardi, le béluga se nourrissait toujours « très peu » et son état de santé était « stationnaire », a précisé Mme Dorliat-Pouzet. «On aura fait le maximum et le mieux possible», avait estimé en fin d’après-midi devant les journalistes la secrétaire générale de la préfecture de l’Eure, Isabelle Dorliat-Pouzet. Le béluga se nourrissait toujours «très peu» et son état de santé était «stationnaire», selon la sous-préfète.

Les 24 plongeurs engagés et les sauveteurs manipulant les cordages autour de l'écluse de Saint-Pierre-la-Garenne ont dû s'y reprendre à plusieurs fois, entre ...

Pendant de longues minutes d’incertitude, l’imposant cétacé s’est retrouvé suspendu en l’air, agitant son corps blanc long de quatre mer, luisant au-dessus des têtes de ses sauveteurs, à la fois concentrés et fascinés. Il s’agit, selon ces experts, du second béluga connu en France après qu’un pêcheur de l’estuaire de la Loire en avait remonté un dans ses filets en 1948. « Aujourd’hui est un grand jour pour ce béluga et pour toutes les personnes impliquées dans son sauvetage «, a indiqué Sea Shepherd, l’ONG de défense des océans sur son site internet.

L'extraction du béluga égaré depuis une semaine dans la Seine a débuté mardi soir, selon la préfecture de l'Eure, qui pilote cette opération ...

Il s'agit, selon ces experts, du second béluga connu en France après qu'un pêcheur de l'estuaire de la Loire en avait remonté un dans ses filets en 1948. Il devrait ensuite être emmené en haute mer pour y être relâché "assez loin des côtes" et "laisser la nature reprendre "ses droits", a estimé Mme Dorliat-Pouzet. Le béluga, animal évoluant en eaux froides, dont la présence dans la Seine est exceptionnelle, doit ensuite être placé dans un camion réfrigéré qui le transportera hors d'eau, "sur de la paille ou un autre élément de confort", à destination du littoral à environ 160 km, avait précisé la secrétaire générale de la préfecture de l'Eure, Isabelle Dorliat-Pouzet, avant le début de la délicate opération.

Six heures pour sortir de l'eau le béluga: l'opération périlleuse pour tenter de ramener à la mer le cétacé d'environ 800 kg, jusqu'alors retenu dans une ...

Six heures pour sortir de l'eau le béluga : l'opération périlleuse pour tenter de ramener à la mer.

"Aujourd’hui est un grand jour pour ce béluga et pour toutes les personnes impliquées dans son sauvetage", a indiqué Sea Shepherd, l'ONG de défense des océans sur son site internet. Il devrait ensuite être emmené en haute mer pour y être relâché "assez loin des côtes" et "laisser la nature reprendre "ses droits", a estimé Mme Dorliat-Pouzet. Le cétacé, dont l'état de santé a été jugé "alarmant", a fini par être soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge, où il a été immédiatement pris en charge par une dizaine de vétérinaires vêtus de combinaisons blanches.

Six heures pour sortir de l'eau le béluga : l'opération périlleuse pour tenter de ramener à la mer le cétacé...

Selon l’observatoire Pelagis, spécialiste des mammifères marins, le béluga a une distribution arctique et subarctique. "Aujourd’hui est un grand jour pour ce béluga et pour toutes les personnes impliquées dans son sauvetage", a indiqué Sea Shepherd, l’ONG de défense des océans sur son site internet. Environnement Pendant de longues minutes d’incertitude, l’imposant cétacé s’est retrouvé suspendu en l’air, agitant son corps blanc long de quatre mètres, luisant au-dessus des têtes de ses sauveteurs, à la fois concentrés et fascinés. Les 24 plongeurs engagés et les sauveteurs manipulant les cordages autour de l’écluse de Saint-Pierre-la-Garenne ont dû s’y reprendre à plusieurs fois pour attirer l’animal dans les filets et la structure capable de le soulever hors de l’eau, ont constaté des journalistes de l’AFP. Environnement

L'opération destinée au sauvetage du mammifère a eu lieu durant la nuit. L'animal doit être acheminé vers Ouistreham, en Normandie, pour être soigné avant ...

Le cétacé a fini par être soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge, où il a été immédiatement pris en charge par une dizaine de vétérinaires vêtus de combinaisons blanches. L’opération destinée au sauvetage du mammifère a eu lieu durant la nuit. L’animal doit être acheminé vers Ouistreham, en Normandie, pour être soigné avant d’être rendu à la mer.

En dépit d'un mauvais pronostic vital, l'animal est actuellement en route pour Ouistreham. Six heures pour sortir ...

C'était "plus long qu'imaginé", mais "c'est un animal sauvage et c'était une technique nouvelle, donc il a fallu aller pas à pas", a-t-elle rappelé, saluant le travail collectif des quelque 60 personnes - plongeurs, pompiers, gendarmes, zoologues, vétérinaires, ... - impliquées dans l'opération qui avait débuté mardi soir vers 22h. Pendant de longues minutes d'incertitude, l'imposant animal marin s'est retrouvé suspendu en l'air, agitant son corps blanc, luisant au-dessus des têtes de ses sauveteurs, à la fois concentrés et fascinés. "Le moment où le béluga a été sorti de l’eau dans le filet", vers 4h00 du matin, "a été extrêmement intense et stressant parce qu’il a été surpris, il a bougé. C’était assez stupéfiant", a témoigné la sous-préfète d'Evreux Isabelle Dorliat-Pouzet, présente tout au long de l'opération. Désormais, le transport vers la mer du béluga reste soumis aux examens de santé réalisés juste après son extraction.

Les 24 plongeurs engagés et les sauveteurs manipulant les cordages autour de l'écluse ont dû s'y reprendre à plusieurs fois, entre 22h et 4h du matin, pour ...

La nouvelle a été communiquée par la préfecture mercredi en fin de matinée. Lors de son transport vers Ouistreham, le béluga est mort.

« C’est la mort dans l’âme que nous annonçons que le béluga n’a pas survécu à la translocation qui était risquée, mais indispensable pour donner une chance à un animal autrement condamné. Suite à la dégradation de son état, les vétérinaires ont pris la décision de l’euthanasier », peut-on lire sur le même réseau social. « On a pu constater que l’animal était en anoxie (une diminution de la quantité d’oxygène, NDLR), donc ventilé insuffisamment, et donc la souffrance était évidente pour cet animal », a-t-elle poursuivi. Mais « malgré les moyens techniques et logistiques mis en œuvre, l’état du cétacé s’est malheureusement dégradé lors du voyage », a ajouté la préfecture. « L’expertise vétérinaire a révélé la situation de grande faiblesse, et d’activité respiratoire défaillante du béluga. La décision a donc été prise collégialement, avec les vétérinaires, de l’euthanasier ».

Le béluga égaré dans la Seine depuis une semaine a dû être euthanasié mercredi après son arrivée en camion à Ouistreham (Calvados), où les experts ...

« Le béluga est arrivé à 10 h 30 au service d'inspection vétérinaire et phytosanitaire aux frontières (Sivep), situé à Ouistreham, pour réaliser une expertise ...

Aux alentours de 4 heures du matin, le cétacé de près de 800 kilos avait été soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge. « Le béluga est arrivé à 10 h 30 au service d’inspection vétérinaire et phytosanitaire aux frontières (Sivep), situé à Ouistreham, pour réaliser une expertise vétérinaire et sanitaire avant d’envisager son potentiel transfert dans l’écluse de Ouistreham », a écrit la préfecture du Calvados dans un communiqué. « Malgré les moyens techniques et logistiques mis en œuvre, l’état du cétacé s’est malheureusement dégradé lors du voyage. Le béluga qui avait été découvert il y a plus d’une semaine dans la Seine a dû être euthanasié mercredi 10 août après son arrivée en camion à Ouistreham (Calvados), a annoncé la préfecture du département normand.

La tentative de sauvetage du beluga, égaré depuis plus d'une semaine dans la Seine, à 75 km de Paris, a échoué.

L’animal a dû être euthanasié lors de son transfert d’une écluse de l’Eure au port de Ouistreham (Calvados), a annoncé la préfecture du département normand. " Il se pourrait qu’il décède maintenant, pendant la manipulation, pendant le trajet ou au point B ", prévenait Isabelle Brasseur, du Marineland d’Antibes. Elle a malheureusement vu juste. " Malgré une opération inédite de sauvetage du béluga, nous avons la tristesse de vous annoncer le décès du cétacé ", a annoncé la préfecture du Calvados sur Twitter.

Le béluga qui se trouvait dans la Seine est décédé alors qu'il était transporté dans un camion réfrigéré vers le littoral.

"En cours du voyage, les vétérinaires ont constaté une dégradation de son état, notamment de ses activités respiratoires. "Malgré les moyens techniques et logistiques mis en oeuvre, l'état du cétacé s'est malheureusement dégradé lors du voyage. Le cétacé, dont l'état de santé a été jugé "alarmant", avait fini par être soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge, où il a été immédiatement pris en charge par une dizaine de vétérinaires vêtus de combinaisons blanches. "C'est la mort dans l'âme que nous annonçons que le béluga n'a pas survécu à la translocation qui était risquée, mais indispensable pour donner une chance à un animal autrement condamné. Suite à la dégradation de son état, les vétérinaires ont pris la décision de l'euthanasier", peut-on lire sur twitter. Le béluga égaré dans la Seine depuis une semaine a dû être euthanasié mercredi après son arrivée en camion à Ouistreham (Calvados), où les experts espéraient pouvoir le soigner avant de le relâcher en mer. Le béluga de la Seine a été euthanasié lors de son transport vers le littoral

Ce cétacé d'environ 800 kg évolue habituellement dans les eaux froides du Canada ou de Norvège.

La vétérinaire du Sdis Florence Ollivet-Courtois a expliqué que les chances de survie de cet animal étaient minimes. Au moins 200 personnes s’étaient attroupées le long des grillages autour de l’écluse, proche du centre-ville, dans l’espoir de voir le cétacé de 800 kg, qui évolue habituellement dans les eaux froides du Canada ou de Norvège. Mort du béluga après son sauvetage dans la Seine: la vétérinaire explique les raisons de l’euthanasie

Le béluga qui se trouvait dans la Seine est décédé alors qu'il était transporté dans un camion réfrigéré vers le littoral.

"En cours du voyage, les vétérinaires ont constaté une dégradation de son état, notamment de ses activités respiratoires. "Malgré les moyens techniques et logistiques mis en oeuvre, l'état du cétacé s'est malheureusement dégradé lors du voyage. Le cétacé, dont l'état de santé a été jugé "alarmant", avait fini par être soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge, où il a été immédiatement pris en charge par une dizaine de vétérinaires vêtus de combinaisons blanches. "C'est la mort dans l'âme que nous annonçons que le béluga n'a pas survécu à la translocation qui était risquée, mais indispensable pour donner une chance à un animal autrement condamné. Suite à la dégradation de son état, les vétérinaires ont pris la décision de l'euthanasier", peut-on lire sur twitter. Le béluga égaré dans la Seine depuis une semaine a dû être euthanasié mercredi après son arrivée en camion à Ouistreham (Calvados), où les experts espéraient pouvoir le soigner avant de le relâcher en mer. Le béluga de la Seine a été euthanasié lors de son transport vers le littoral

Le béluga, qui avait été découvert il y a plus d'une semaine dans la Seine, a dû être euthanasié lors de son transfert d'une écluse de l'Eure au port de ...

«En cours du voyage, les vétérinaires ont constaté une dégradation de son état, notamment de ses activités respiratoires. «C’est la mort dans l’âme que nous annonçons que le béluga n’a pas survécu à la translocation qui était risquée, mais indispensable pour donner une chance à un animal autrement condamné. Suite à la dégradation de son état, les vétérinaires ont pris la décision de l’euthanasier», peut-on lire sur twitter. «Malgré les moyens techniques et logistiques mis en oeuvre, l’état du cétacé s’est malheureusement dégradé lors du voyage.

Le cétacé de 800 kg s'était égaré dans la Seine depuis plusieurs jours. Une opération hors norme avait été mise sur pied dans la nuit de mardi à mercredi ...

Une opération hors norme avait été mise sur pied dans la nuit de mardi à mercredi pour l’extraire de la Seine et le ramener à la mer. Nous avons donc décidé qu’il n’était pas pertinent de le relâcher et qu’il fallait procéder à son euthanasie » précise la vétérinaire. Le cétacé de 800 kg s’était égaré dans la Seine depuis plusieurs jours.

L'intervention, qui s'est déroulée mardi 9 août, n'a pas permis de sauver le cétacé coincé depuis plus d'une semaine dans la Seine. L'envergure des moyens ...

En mai, une orque avait déjà tenté de remonter la Seine pendant plusieurs jours avant de mourir, tandis qu’en 2018, un béluga était resté trois mois dans l’estuaire de la Tamise, en Angleterre, avant de disparaître. « Il semble en effet y avoir une hausse de ces cas d’animaux hors secteurs », observe Stéphane Lair, directeur du Centre québécois sur la santé des animaux sauvages. Le scientifique estime que ce phénomène pourrait simplement provenir d’une « augmentation des populations, comme on l’a vu avec les baleines à bosse ». La deuxième raison avancée par l’expert est que « les lieux d’habitation sont de plus en plus dégradés, ces comportements migratoires suggèrent des problématiques dans l’accès aux ressources ». Le 2 août, la présence du béluga est signalée par une vidéo prise à Vatteport, dans l’Eure. L’animal se rapproche alors dangereusement de Paris avant d’être bloqué dans l’écluse. Sa présence dans les eaux douces et chaudes de la Seine entrave chaque jour un peu plus les chances de survie de l’animal, habitué aux eaux froides de l’océan Arctique. D’autant que les vitamines administrées pour lui ouvrir l’appétit ne produisent alors que peu d’effets. L’état de ce cétacé de 800 kilogrammes est jugé préoccupant par les vétérinaires, même s’il « nageait avec vigueur », nuance Antoine Derieux, directeur de l’Office français de la biodiversité de Normandie. L’option d’euthanasier le béluga est écartée et il est décidé de mener une opération de sauvetage, en vain.

Chaque jour, nous sommes responsables de la mort de centaines de cétacés et autres animaux marins et terrestres. Si les personnes s'apitoyant sur le sort de ce ...

Et n’oublions pas une autre hypothèse : ce béluga était peut-être simplement à la recherche de nourriture, parce que nos chalutiers géants ont dépeuplé les mers et continuent à ravager des zones, où un certain nombre de ces animaux vont mourir. De nombreux clans sont présents dans l’estuaire du Saint-Laurent, au Canada, ou encore au nord du Groenland. Ils s’aventurent très rarement plus au Sud, le long des côtes américaines, et encore moins ici, le long des côtes françaises ou dans la Seine. C’était tout à fait anormal. Les sonars des sous-marins, et surtout ceux des chasseurs de sous-marins, sont extrêmement puissants et perturbants pour tous les cétacés. Toutes les 30 secondes, ils sont harcelés par une sorte d’alarme, équivalente à celle d’une maison, juste à côté de leurs oreilles. Oui. Dans les régions polaires, sous la glace, l’eau est extrêmement froide et salée, ce qui la rend lourde. Elle coule donc vers le fond marin, ce qui induit tout un mouvement des eaux de surface vers le Nord pour compenser ce manque. La récente prééruption d’un volcan en Islande a potentiellement induit en erreur ce béluga qui passait dans les environs. Si les personnes s’apitoyant sur le sort de ce béluga renonçaient à manger du Nutella, elles épargneraient la vie de dizaines d’orangs-outans à qui l’on détruit les forêts pour cultiver l’huile de palme. Le mystère de son intrusion dans la Seine reste entier. Par ailleurs, il peut y avoir eu des exercices militaires dont nous ignorons la teneur, dans la région canadienne ou la région arctique. Les animaux migrateurs, dont le béluga, se servent beaucoup de leur sens du magnétisme pour s’orienter. Or, depuis une décennie, le pôle Nord magnétique migre de 50 kilomètres vers l’Est chaque année. Un déplacement très rapide, lié au mouvement interne du magma. Sans parler des moyens qui ont été déployés pour tenter de sauver l’animal. On a mobilisé le ban et l’arrière-ban, pendant qu’à nos portes, en Méditerranée, des centaines de nos frères humains se noient. Je ne dis pas que le sort de ce béluga n’était pas important, mais il est complètement disproportionné. Depuis cinquante ans, les associations essaient d’attirer l’attention sur les dégâts considérables que nous provoquons dans les écosystèmes. Chaque jour, nous sommes responsables de la mort de centaines de cétacés et autres animaux marins et terrestres.

"C'est parce que son état s'est dégradé durant le voyage que l'on a décidé de procéder à une euthanasie", a déclaré au micro de TF1, Florence Ollivet-Courtois, ...

Des moyens hors normes ont en effet été déployés pour sortir le béluga de l'écluse où il était bloqué depuis vendredi dernier. Le béluga a été transporté en camion, mais l'animal n'a pas survécu au trajet qui devait le ramener à la mer. "C'est triste, dommage", "Et puis tous ces moyens qui ont été mis en œuvre pour rien, c'est vraiment triste", se sont confiés certains.