Arte diffuse Roy Orbison: pur rock, portrait de l'interprète de Oh Pretty Woman, avec les souvenirs de ceux qui l'ont connu.
Arte dépeint la trajectoire d’un artiste un temps plus populaire que les Beatles mais assez malchanceux. Son aura est telle que le magazine Rolling Stone lui a décerné la treizième place dans son classement des cent plus grands chanteurs de tous les temps. C’est le monstre sacré de la musique des années 1960.
Ce vendredi 5 août, dès 22h35, Arte diffuse le documentaire musical inédit Roy Orbison : pur rock. Le programme revient notamment sur les deux drames de la ...
"Roy était doté d'une incroyable force tranquille, qui lui permettait de traverser les hauts et les bas de la vie". Les tourtereaux convolent en justes noces avant de créer une famille recomposée : "Roy Culton Jr est né en 1970, puis Alex en 1974. Mais si la vie de Roy Orbison a été jonchée de succès, qui lui vaudront pas moins de six Grammy Awards, elle a aussi été marquée par des drames familiaux. Ce vendredi 5 août, dès 22h35, Arte diffuse le documentaire musical inédit Roy Orbison : pur rock.
Quand on entend Pretty Woman, on pense directement à Julia Roberts qui fait du shopping en mode conte de fées pour travailleuse du sexe. Voire à la scène.
Son utilisation dans Blue Velvet. Sa participation aux Traveling Wilburys. Et les nombreux drames de sa vie. Voire à la scène parodique des Nuls dans la Cité de la peur… Pas nécessairement à Roy Orbison. C’est que le Texan reste l’une des rock stars les plus humbles et influentes de l’histoire. «Quand j’étais dans les Sex Pistols, je gardais mes goûts musicaux secrets, avoue Steve Jones. Il y avait un tas de groupes que j’aimais, mais j’aurais sans doute été pendu si je l’avais crié sur tous les toits.
Roy Orbison, qu'on surnomma « Big O » chez les Anglo-Saxons et le « Caruso du rock » en francophonie, fut un chanteur et compositeur hors du commun. Carrément ...
Discret et mélancolique, le chanteur texan a autant inspiré David Lynch que Bruce Springsteen. Sur Arte, un documentaire revient sur les vies de cette ...
Un Mr. Magoo au visage d’enfant malade, qui va porter la mélancolie à son plus haut point de raffinement avec des chansons comme Crying, Crawling Back, In Dreams ou House Without Windows. Se produisant dans les honky-to… «Un lamento, comme des pleurs qu’on retient.» C’est avec ces mots que Robin Gibb des Bee Gees décrit, dans un documentaire diffusé cette semaine sur Arte, la voix de Roy Orbison. C’est sans doute une des deux phrases les plus justes jamais prononcées sur ce personnage hors monde, figure spectrale qu’une grande majorité du public situe toujours de manière floue – un contemporain d’Elvis, à la banane lustrée et aux larges lunettes noires, connu pour la scie Pretty Woman. Il faut dire qu’Orbison a toujours fait figure d’anomalie, y compris dans le monde naissant du rock, où il contrastait brutalement avec ses traits mous, ses yeux de taupe qui tressaillent derrière des lunettes à grosse monture et son sourire figé, toujours à la limite de la niaiserie.