Aussi appelé baleine blanche ou dauphin blanc, le béluga est habitué à vivre dans les eaux froides, notamment de l'Arctique. Il évolue, depuis plusieurs jours, ...
La présidente de l'association de défense des océans Sea Shepherd, Lamya Essemlali, a déclaré à l'AFP qu'une de ses équipes allait se rendre sur place munie de drones pour repérer le béluga plus facilement et que "l’urgence est déjà de le nourrir pour éviter qu’il ne subisse le même sort que l'orque retrouvée morte de faim" dans le même fleuve fin mai. De fait, le communiqué de la préfecture assure que "l'association Sea Shepherd France a proposé (...) de mettre en place des tentatives de sauvetage et de nourrissage" et que "le préfet de l’Eure (...) a décidé d’accompagner et de sécuriser ces actions, dans le respect de l’animal et de ses besoins". Le béluga, une espèce protégée, se trouve "actuellement entre le barrage de Poses et celui de Saint-Pierre-la-Garenne", à environ 70 km au nord-ouest de Paris. Il est demandé à la population de ne pas tenter de l'approcher ou d'entrer en contact avec lui. Le béluga repéré mardi matin dans la Seine est "amaigri", a indiqué jeudi soir la préfecture de l'Eure dans un communiqué.Les autorités et les associations de défense des animaux sont préoccupées par son état de santé, jugé "préoccupant".Le cétacé, vivant habituellement dans les eaux froides, se trouve au nord-ouest de Paris.
Le béluga observé dans la Seine serait en mauvaise posture. Son état de santé inquiète les spécialistes. Une première tentative de sauvetage a échoué jeudi.
Le béluga "semble présenter des altérations cutanées et être amaigri." Il sera sans doute nécessaire de l'aider à se nourrir et à repartir vers la mer. Aperçu dans la Seine le 2 août, l'animal est mal-en-point.
De fait, le communiqué de la préfecture assure que "l'association Sea Shepherd France a proposé (...) de mettre en place des tentatives de sauvetage et de ...
De fait, le communiqué de la préfecture assure que "l'association Sea Shepherd France a proposé (...) de mettre en place des tentatives de sauvetage et de nourrissage" et que "le préfet de l’Eure (...) a décidé d’accompagner et de sécuriser ces actions, dans le respect de l’animal et de ses besoins". "Le milieu n’est pas très accueillant pour le béluga, la Seine est très polluée et les cétacés sont extrêmement sensibles au bruit, or la Seine est très bruyante avec sa navigation très importante", a ajouté Mme Essemlali. Le béluga repéré mardi matin dans la Seine et localisé jeudi à proximité d'une écluse, à environ 70 km de Paris, est "amaigri" et son état de santé est "préoccupant", a annoncé la préfecture de l'Eure (France).
L'association Sea Shepherd est sur le terrain pour assurer le sauvetage de l'animal, situé à 60 kilomètres de Paris.
L’animal se trouve dans un habitat qui n’est pas bon : « Le milieu n’est pas très accueillant pour le béluga, la Seine est très polluée et les cétacés sont extrêmement sensibles au bruit, or la Seine est très bruyante avec sa navigation très importante », explique Lamya Essemlali. Elle ajoute : « Quelques semaines après l’orque, c’est totalement ubuesque de retrouver un béluga ici. Depuis le mardi 2 août, un béluga a été repéré dans la Seine. De la même façon que l’orque observée quelques semaines auparavant, le béluga n’est pas dans son habitat naturel.
Selon les premières observations du béluga qui évolue actuellement dans la Seine, l'animal serait "amaigri" et son état de santé est "préoccupant".
Il sera sans doute nécessaire de l'aider à se nourrir et à repartir vers la mer. Beluga dans la Seine : L'urgence est de le retrouver, notre bateau et nos drones seront sur site ce soir. Contacté par l'AFP, Gérard Mauger, vice-président du GEEC, a décrit un "animal bien tonique, qui passe très peu de temps en surface et effectue de longues apnées", signe que sa capacité pulmonaire "reste bonne" mais un comportement qui complique la tâche des sauveteurs, la préfecture indiquant que le cétacé "fuit les embarcations et ne se laisse pas guider dans la direction de l’embouchure de la Seine".
L'objectif des équipes mobilisées pour sauver l'animal est d'empêcher le cétacé de continuer sa remontée du fleuve et le conduire vers l'embouchure afin ...
"Il faut mettre en place un barrage sonore pour le bloquer", poursuit Lamya Essemlali. Après l'orque, le béluga. Un nouveau cétacé a été repéré dans la Seine mardi matin, après plusieurs signalements. Quelques semaines après l'orque, c'est totalement ubuesque de retrouver un béluga ici. "L'association Sea Shepherd France a proposé (...) de mettre en place des tentatives de sauvetage et de nourrissage" et que "le préfet de l'Eure (...) a décidé d'accompagner et de sécuriser ces actions, dans le respect de l'animal et de ses besoins", détaille la préfecture de l'Eure. "Le milieu n'est pas très accueillant pour le béluga, la Seine est très polluée et les cétacés sont extrêmement sensibles au bruit, or la Seine est très bruyante avec sa navigation très importante", abonde Lamya Essemlali de Sea Sheperd. "Qu'est-ce qu'il se passe?
La préfecture et les pompiers de l'Eure ainsi que les associations de protection des animaux font tout pour que le béluga repéré dans la Seine ne connaisse ...
Aidez-nous à l'aider en respectant ces consignes, l'intérêt de l'animal prévaut sur la curiosité. Merci pour lui." Elle consiste dans un premier temps à empêcher le cétacé de continuer sa remontée du fleuve. Une première opération de sauvetage a été lancée jeudi soir.
Quelques mois après le décès d'une orque, un nouveau cétacé s'est égaré dans le fleuve.
Il fait de très courtes apparitions en surface, suivies de longues apnées" , a indiqué M. Mauger. " Même en tentant de l’approcher avec beaucoup de précautions, c’est difficile. Il fait beaucoup de changements de direction" , a poursuivi le responsable associatif. Le béluga repéré mardi matin dans la Seine a été de nouveau observé vendredi en milieu de journée mais l’animal se révèle " très fuyant ", a indiqué à l’AFP Gérard Mauger, vice-président du Groupe d’Etude des Cétacés du Cotentin (GEEC). " Il a le même comportement qu’hier, on a le sentiment qu’il est très fuyant.
Une orque, il y a quelques semaines et maintenant, un béluga. Il se passe vraiment des choses étranges dans la Seine. Et alors que les opérations de ...
Après une évaluation minutieuse, la préfecture de l'Eure évoque un « état de santé préoccupant ». L'animal présente « des altérations cutanées et être amaigri ». L'urgence semble donc de réussir à nourrir le béluga égaré. Pour lui éviter le triste sort de l'orque, elle aussi perdue dans la Seine début juin. Car malgré tout, le béluga semble rester tonique. Elle était morte d'inanition - après, tout de même, avoir pris une balle dans la tête... Et ils survivent même temporairement dans des eaux douces. Selon les spécialistes, il peut arriver que des individus isolés s'égarent dans des eaux plus chaudes. Le béluga, c'est un cétacé - une espèce protégée -, une sorte de baleine, qui vit normalement dans les eaux froides de l' océan Arctique et dans l'estuaire du Saint-Laurent (Canada). Normalement. Parce qu'il se trouve qu'en ce début de semaine, un béluga a été observé, nageant dans la Seine. Des opérations coordonnées par la préfecture du département de l'Eure sont en cours pour tenter de le sauver.
Il a le même comportement qu'hier, on a le sentiment qu'il est très fuyant. Il fait de très courtes apparitions en surface, suivies de longues apnées", a.
L’urgence est de le nourrir avec des poissons morts, des harengs congelés probablement, pour éviter qu’il ne s’épuise », a déclaré à l’AFP la présidente de Sea Shepherd, Lamya Essemlali. Il fait de très courtes apparitions en surface, suivies de longues apnées », a indiqué Gérard Mauger, vice-président du Groupe d’Etude des Cétacés du Cotentin (GEEC). « Même en tentant de l’approcher avec beaucoup de précautions, c’est difficile. La nécropsie -un examen post-mortem réalisé sur un animal- avait confirmé la « mauvaise condition physique » de l’orque, une femelle « immature » de plus de quatre mètres et de 1.100 kg et avait permis de découvrir une balle logée à la base du crâne du mammifère.
L'état de santé de l'animal marin vivant habituellement dans les eaux froides est en cours d'évaluation.
La préfecture demande à la population de ne pas se déplacer sur le site ni tenter d’approcher le béluga afin de « ne pas stresser l’animal pendant la phase de collecte d’information ». Elle rappelle que les services de l’Etat « sont mobilisés pour la préservation de la faune sauvage et poursuivent leur surveillance continue de la population ». Le travail d’identification a été mené conjointement par les services de l’Office français de la biodiversité (OFB) et de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP). « Une évaluation de son état de santé est en cours afin de prendre les mesures adaptées pour optimiser ses chances de survie », ajoute le communiqué, qui précise qu’« il arrive à des individus isolés d’errer dans des eaux plus méridionales », qui peuvent « survivre temporairement en eau douce ». Un animal marin a été repéré mardi dans la Seine, a annoncé mercredi 3 août la préfecture de l’Eure. D’après l’étude des premiers clichés, « l’animal serait un béluga […] une espèce protégée de cétacé vivant habituellement dans les eaux arctiques, subarctiques et dans l’estuaire du Saint-Laurent, au Québec », détaille la préfecture dans un communiqué, sans préciser dans quel secteur de la Seine l’animal a été vu, pas plus que la taille de l’individu qui a l’âge adulte mesure environ cinq mètres.
Naviguant habituellement dans les eaux de l'océan Arctique, le mammifère a élu domicile dans l'Eure. Un cétacé repéré depuis plusieurs jours dans la Seine, ...
Brigade fluviale et SNSM sont désormais sur le pont pour tenter de localiser l'animal. Un cétacé repéré depuis plusieurs jours dans la Seine, et qui n'a normalement rien à y faire, a été identifié comme étant un dauphin béluga par l'Office français de la biodiversité. Ce mammifère marin blanc vit habituellement dans les zones glacées de l'océan Arctique ou dans l'estuaire du Saint-Laurent (Québec). On ne sait pas encore comment ni quand cet individu s'est retrouvé dans la Seine, à hauteur de la ville de Val-de-Reuil (Eure). Il se trouverait selon la préfecture dans une "zone de faible profondeur", et les services de l'Etat demandent donc de ne pas l'approcher pour ne pas le perturber plus que cela.
Après une orque et une baleine, c'est un béluga qui aurait été observé dans la Seine. Cet animal vit normalement dans les eaux...
D'après l'étude des premiers clichés, "l’animal serait un béluga", "une espèce protégée de cétacé vivant habituellement dans les eaux arctiques, subarctiques et dans l’estuaire du Saint-Laurent au Québec", indique la préfecture dans un communiqué, sans préciser dans quel secteur de la Seine l'animal a été vu, pas plus que la taille de l'individu. Le travail d’identification a été mené conjointement par les services de l’Office Français de la Biodiversité et de la Direction Départementale de la Protection des Populations. Un animal marin, qui serait un béluga, une espèce protégée de cétacé vivant habituellement dans les eaux froides, pouvant atteindre 4 mètres à l'âge adulte, a été repéré mardi dans la Seine, a annoncé mercredi la préfecture de l'Eure.
Un nouveau cétacé a été repéré dans la Seine mardi, après une orque en juin. Il s'agirait d'un béluga, habitué aux eaux glaciales, qui aurait remonté le ...
En revanche c’est une première dans la Seine», complète Jérôme Spitz, chercheur au CNRS et co-directeur de l’Observatoire pour la conservation de la mégafaune marine (Pelagis). Selon ses informations, le béluga dans la Seine aurait actuellement réussi à remonter 200 kilomètres de ce fleuve aux nombreuses boucles. En revanche, il peut vivre sans s’alimenter pendant quelque temps ou trouver des poissons à manger dans le fleuve», explique Jérôme Spitz de Pelagis. Sea Shepherd envisage de tenter une opération de «drive», pour reconduire l’animal vers la mer avec des bateaux et des ondes sonores. Mardi, un plaisancier a lancé l’alerte en apercevant un «animal aquatique inhabituel» dans l’Eure, en Normandie. Le cétacé avait déjà pas mal remonté le fleuve depuis la Manche puisqu’il se situait après Rouen, à 80 kilomètres de l’embouchure. Il nageait dans une «zone de faible profondeur», selon un communiqué de la préfecture. Le lendemain, quelques kilomètres plus loin, la silhouette blanche a aussi été aperçue. Un bateau de la Société nationale des sauveteurs en mer (SNSM) a réussi à suivre l’animal pendant trois heures avant de perdre sa trace. L’ONG Sea Shepherd, en lien avec la préfecture, a aussi dépêché des équipes sur place. En fin d’après-midi jeudi, la préfecture de l’Eure a annoncé que «d’après l’étude des premiers clichés, l’animal serait un bélouga», une espèce protégée aussi appelée baleine blanche.
[VIDÉO] ▶️ L'association Sea Shepherd se mobilise pour retrouver l'animal égaré dans la Seine, identifié comme un béluga. Repéré par la préfecture de ...
La préfecture indique encore qu'une "évaluation de son état de santé était en cours afin de prendre les mesures adaptées pour optimiser ses chances de survie". Elle demande à la population de ne pas se déplacer sur le site ni tenter d'approcher le béluga. Le but ? "Ne pas stresser l’animal pendant la phase de collecte d’information." Des consignes également relayées par Sea Sheperd, qui demande au public de "garder ses distances" avec le cétacé. "L'intérêt de l'animal prévaut sur la curiosité", prévient l'association sur Twitter. Objectif : retrouver le cétacé pour "l'aider à se nourrir et à repartir vers la mer". L'association Sea Shepherd France est sur le pont, ce jeudi, pour retrouver le beluga égaré dans la Seine. L'organisme annonce mobiliser son bateau et des drones pour venir en aide le spécimen repéré mardi par la préfecture de l'Eure. "Il arrive à des individus isolés d’errer dans des eaux plus méridionales", avait noté la préfecture, précisant que ceux-ci peuvent "survivre temporairement en eau douce". L'association Sea Shepherd se mobilise pour retrouver l'animal égaré dans la Seine, identifié comme un béluga.Repéré par la préfecture de l'Eure mardi, le cétacé peut "survivre temporairement en eau douce".
L'animal marin a été vu près de Vernon, dans l'Eure. Il est actuellement suivi par les autorités.
Jeudi 4 août, un animal inhabituel a été aperçu dans la Seine. Un béluga nage actuellement dans les eaux du fleuve. Sa présence a de quoi surprendre puisque ...
Les promeneurs ont été plutôt surpris quand ils ont cru voir un dauphin nager dans la Seine. Finalement, ce n’en était pas un. Sa présence a de quoi surprendre puisque ce cétacé vit à proximité de l’Arctique. Quentin Bral donne plus d’informations sur cet intrus marin. Jeudi 4 août, un animal inhabituel a été aperçu dans la Seine. Un béluga nage actuellement dans les eaux du fleuve.
Le cétacé qui se promène dans la Seine depuis dimanche et intrigue le monde scientifique a parcouru une trentaine de kilomètres en 24 heures Le béluga ...
Le béluga, une espèce protégée de cétacé vivant habituellement dans les eaux froides, a été localisé « à plus d’une trentaine de kilomètres de sa localisation d’hier (mercredi, NDLR), à proximité d’une écluse », a précisé la préfecture. L’animal marin se trouve « aux environs de Vernon », à environ 70 km au nord-ouest de la capitale. Les services de l’État, sapeurs-pompiers, SNSM, Office Français de la Biodiversité (OFB), Groupe d’Étude des Cétacés du Cotentin (GEEC) et le laboratoire Pelagis ont été mobilisés toute la journée pour évaluer l’état sanitaire « préoccupant » de l’animal qui « semble présenter des altérations cutanées et être amaigri », a précisé la préfecture. Le béluga repéré mardi dans la Seine a été localisé jeudi à proximité d’une écluse, à environ 70 km de Paris, où les autorités vont tenter de le maintenir, a annoncé la préfecture de l’Eure. Les premières observations montrent que l’animal est « amaigri » et que son état de santé est « préoccupant ».
L'animal marin se trouve "aux environs de Vernon", à environ 70 km au nord-ouest de la capitale, a précisé la préfecture. "Afin de faire les observations ...
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Le cétacé a été repéré dans la Seine mardi matin. Son état de santé est actuellement « préoccupant ».
Son état de santé est actuellement « préoccupant ». Le cétacé a été repéré dans la Seine mardi matin. Un béluga repéré dans la Seine: «L’urgence est de le nourrir»