Dans le rôle de Walt Kowalski, un vétéran de la guerre de Corée, bougon, raciste, misanthrope, Clint Eastwood, réalisateur et acteur, s'offre à lui-même ...
Avec les témoignages de nombreuses stars qui y participèrent et de son organisateur Harvey Goldsmith. Il met en scène un enfant de Beyrouth, que ses parents n’ont même pas déclaré et qui est obligé de mendier à leur profit toute la journée. Au point qu’il finit par se révolter et leur intenter... Dans le rôle de Walt Kowalski, un vétéran de la guerre de Corée, bougon, raciste, misanthrope, Clint Eastwood, réalisateur et acteur, s’offre à lui-même l’un de ses plus beaux rôties, une histoire incroyablement forte et émouvante, d’un homme aigri mais qui peu à peu se prend d’affection pour une famille asiatique de son quartier malmenée par les mafias locales.
Clint Eastwood en vieux bougon raciste finit par prendre sous son aile la famille d'un jeune Asiatique.
Empruntant la voiture de Starsky et la voix du Batman de Tim Burton pour incarner un vétéran de la guerre de Corée au caractère sorti d'un de ses westerns de ...
Quand Papy Clint fait de la résistance à réaction. Empruntant la voiture de Starsky et la voix du Batman de Tim Burton pour incarner un vétéran de la guerre de Corée au caractère sorti d’un de ses westerns de jeunesse, Clint Eastwood nous livre un film de justicier à l’ancienne, qui l’inscrit définitivement comme le dernier Mohican du classicisme américain. La retraite à 67 ans : un truc de gaucho. Quand Papy Clint fait de la résistance à réaction. Empruntant la voiture de Starsky et la voix du Batman de Tim Burton pour incarner un vétéran de la guerre de Corée au caractère sorti d’un de ses westerns de jeunesse, Clint Eastwood nous livre un film de justicier à l’ancienne, qui l’inscrit définitivement comme le dernier Mohican du classicisme américain. La retraite à 67 ans : un truc de gaucho. Ou comment Clint se pose en dernier rempart à un gang qui gangrène son quartier…