Les propositions de la mission d'information du Sénat sur la sécurité de la chasse doivent être dévoilées au mois de septembre. Elles ne satisfont pas pour ...
Autre victoire de l’association : la Cour des comptes a retenu sa proposition d’enquête sur les "dizaines de millions d’euros" d’argent public destiné aux fédérations de chasseurs et de l’usage qu’elles en font. Ces propositions doivent être révélées dans environ deux mois, au mois de septembre 2022, mais selon Public Sénat, les principales demandes de l’association Un jour un chasseur, comme l’interdiction des armes de chasse les plus puissantes, devraient rester lettre morte. Elles ne satisfont pas pour l’instant l’association "Un jour un chasseur", créée après la mort du jeune Aveyronnais tué dans un accident de chasse.
À propos d'arbres, une balade fort sympathique vous attend du côté de Vabre cette fois-ci. Si le site abrite un important complexe sportif, un vaste espace de ...
Si le site abrite un important complexe sportif, un vaste espace de jeux pour les enfants, il possède également un remarquable arboretum (9). Abritant près de 120 arbres et plus de 100 arbustes remarquables, dont 80 % des ligneux. Il s’agit de celle de l’artiste peintre Enée Bouloc (8). Elle est là, sous les arbres, faisant face à la ville. En remontant vers le centre-ville, l’ancien haras qui jouxte les lieux abrite également quelques beaux trésors (6). Dont la chartreuse, fondée en 1511, et ce marronnier plusieurs fois centenaire qui vous accueille majestueusement. Et juste au-dessus, sans doute un des plus beaux trésors de la ville, mais interdit aux Ruthénois : les jardins de l’Évêché (4). Propriété du conseil départemental, il est fermé aux habitants. Des bancs disposés ci et là permettent ainsi de faire une belle pause ! Le trafic automobile sur la RN88 en contrebas ne parvient pas à gêner la quiétude des lieux.
Quatre jeunes sportifs menant également des études supérieures ont été mis à l'honneur, dimanche 17 juillet, à Rodez.
Elle porte le nom d'un ancien membre de l'équipe basée à Chambéry, né à Rodez, et qui est décédé en 2016, à l'âge de 20 ans, alors qu'il était promis à un bel avenir dans le peloton professionnel. Habituellement révélé en marge d'une étape du Tour à proximité de Chambéry, le palmarès du prix a cette fois été annoncé en Aveyron, afin de rendre hommage à Etienne Fabre. Sa famille a d'ailleurs été invitée pour l'occasion. Tour de France : le prix Etienne-Fabre a été remis à Rodez, devant la famille de l'ancien espoir du cyclisme
Cette balade n'existe pas (encore), mais vous pouvez l'essayer : le cœur de la cité de Rodez nez en l'air. Des mille et une gargouilles qui ornent les façades ...
Il s’agit de celle de l’artiste peintre Enée Bouloc. Elle est là, sous les arbres, faisant face à la ville. En remontant vers le centre-ville, l’ancien haras qui jouxte les lieux abrite également quelques beaux trésors. Dont la chartreuse, fondée en 1511, et ce marronnier plusieurs fois centenaire qui vous accueille majestueusement. Si c’est le cas, empruntez le sentier qui grimpe jusqu’au hameau de Banocres. Tout en haut, derrière un portail, vous trouverez une stèle isolée, abandonnée ou presque. Et juste au-dessus, sans doute un des plus beaux trésors de la ville, mais interdit aux Ruthénois : les jardins de l’Évêché. Propriété du conseil départemental, il est fermé aux habitants. Ainsi que la petite chapelle Notre-Dame de Pitié. Une chapelle commencée par les Chartreux au début du XVIe siècle, qui domine les champs de la Boriette. Le trafic automobile sur la RN88 en contrebas ne parvient pas à gêner la quiétude des lieux.
Une nouvelle fois le mardi 14 juin, les forains installés à Rodez, Bourran plus exactement, ont fait preuve de générosité en invitant les enfants et ...
Pierre Pradié (à droite) lors du vernissage, qui échange notamment avec l'artiste René Caussanel, et en présence de son ami Pierre-Marie Blanquet.
Jusqu'à cette exposition à La Menuiserie où, pour la première fois peut-être, et parce que le regard de Jeanne Ferrieu l'y mène : il se considère un peu comme collectionneur. Comme Pierre Pradié s'est plu à l'écouter sur sa perception des œuvres. "Rodez a de la chance d'avoir une personne comme Jeanne Ferrieu. Elle cultive la culture à Rodez, en y ancrant des racines très profondes", glisse-t-il. Puis l'on sent bien que l'émotion a guidé les choix de PIerre Pradié. Comme pour ces tableaux de Philippe Hortala et Jean Hélion, ou cet autoportrait de Dufour. Ou encore cette peintre de l'aubrac par Vincent Bioulès. "C'est avec lui que je suis entré dans le milieu de l'art contemporain. Cette exposition à la Menuiserie est aussi le fruit d'une rencontre et d'une déambulation dans le monde des arts, entre Jeanne Ferrieu, l'hôte de cet espace d'exposition exceptionnel au cœur de Rodez, et Pierre Pradié, un " Aveyronnais de Paris", qui se définit plus comme un amateur d'art qu'un collectionneur. "Et l'on a déplacé nos conversations à La Menuiserie", sourit celui qui a fait son chemin professionnel avec une robe d'avocat. Et dont la résidence sur le causse est un petit pôle d'art à lui tout seul. On y retrouve Manet, Moignard, Desgrandchamps, Dufour, Mayaux, Caussanel, Zefrino (que Pierre Pradié a rencontré pour la première fois à La Menuiserie), Djamel Tath, Michel Cure, etc.
Chercheur en philosophie du droit, doctorant et enseignant à l'Itam de Mexico, ce trentenaire nourrit sa progression par une itinérance studieuse et ...
Ouf ! Il y gagne le concours de professeur associé, ce qu’il est aujourd’hui, lié par contrat, enseignant notamment la méthodologie de la dissertation juridique, en espagnol cela va de soi. Et Rodez dans tout ça ? "C’est ma maison pour toujours, même si elle ne me manque pas excessivement. "Disons que j’ai bénéficié d’un bon alignement des planètes. Je ne me serais jamais projeté au Mexique, cela n’a jamais été un objectif. L’univers académique de la bibliothèque en toile de fond nous invite à chercher dans ce visage solaire orné de splendides bacchantes l’identité d’un anthropologue anglais du XIXe siècle. Fausse route. "J’échoue lamentablement à l’examen d’entrée ! Mon deuxième choix, c’est le droit. La fibre politique l’habite : ce sera Sciences-Po qu’il voudra intégrer.
Sodexo et la grande boucle... tout une histoire. Une histoire qui, depuis plus 30 ans maintenant, allie sport et gastronomie. Avec plus de 3 000 repas par ...
À J-3, on réceptionne la marchandise, J-2 on fabrique, J-1 on véhicule et H-12 on délivre sur les différents villages que nous avons en gestion ! Prouesse logistique donc ! Une logistique qui doit être millimétrée puisque nous sommes en itinérance. Ce n'est donc pas comme un restaurant classique ! Nous devons avoir des approvisionnements à H-12, ce qui nous permet, en cas de difficultés, d'avoir un temps de réaction possible. Nous avons également un programme à 50 kilomètres de la ligne d'arrivée qui, lui, accueille des partenaires et les invités des partenaires locaux. La mission principale est d'accueillir l'ensemble des invités et hospitalités du Tour de France. Sur le village départ, ce matin à Rodez [le dimanche 17 juillet. Nous allons les accompagner tout au long de la course à travers des prestations qu'ils pourront déguster en voiture ou sur le bord de la route. Avec plus de 3 000 repas par jour, c'est "une réelle prouesse logistique". Entretien avec Laurent Hetet, responsable événementiel de Sodexie Live.