Le PTB demande à ce que l'ex-ministre de la Mobilité, Pascal Smet, soit entendu en urgence, en lien avec le dossier « Uber Files ». Le socialiste bruxellois ...
« Nous voulions éviter des grèves qui auraient paralysé Bruxelles, nous voulions éviter des déclarations qui auraient encore accru la polarisation. Bruxelles est considérée comme stratégique à leurs yeux, et il semble que la relation avec l’ex-ministre de la Mobilité socialiste Pascal Smet (Vooruit) était essentielle pour eux », a souligné la cheffe de groupe du PTB à la Chambre, Françoise De Smedt. « Des relations « confidentielles », des projets d’accord et de loi transmise en avant-première, des communiqués de presse concertés, avec le cabinet du ministre qui aurait été jusqu’à corriger un communiqué de la multinationale… Selon les communistes, M. Smet, aujourd’hui secrétaire d’État à l’Urbanisme, doit répondre des faits relatés dans la presse. Une dizaine de contacts ont eu lieu entre Uber et le cabinet du ministre, d’après les mails consultés par les trois médias. Uber aurait reçu les grandes lignes du projet de réforme avant qu’il ne soit rendu public. Dans ce cadre, il lui revenait d’élaborer un cadre légal pour les nouveaux services de transport, dont la plateforme Uber.
Le président de Vooruit Conner Rousseau n'a "aucun problème" à ce qu'une commission d'enquête soit instaurée au...
Pascal Smet, de son côté, assure avoir toujours été très clair dans ses contacts avec Uber, dont il se servait "pour nous aider à faire passer notre programme" au sein de la plateforme concurrente des sociétés de taxis. "Je pense qu'il y a d'autres problèmes en ce moment à Bruxelles, mais si l'on juge ça prioritaire, alors enquêtons", a commenté Conner Rousseau. Le chef des socialistes flamands ne voit "aucun problème" dans les rapports entre des lobbyistes de la multinationale américaine et Pascal Smet (Vooruit). Ces liens ont été pointés du doigt par "Le Soir", "De Tijd" et "Knack" dans le cadre des "Uber Files", une fuite de documents confidentiels auprès du quotidien britannique The Guardian, qui ont été analysés par un consortium international de journalistes d'investigation.
L'enquête Uber Files, menée notamment par le journal Le Soir, a épinglé les liens étroits que le Secrétaire d'État Pascal Smet entretenait avec les ...
À la question de savoir si ses rapports personnels avec Mark McGann, ont-ils pu aider Uber dans ses efforts de lobbying, Pascal Smet a répondu au Soir : "C’est difficile à dire. Une dizaine de contacts ont eu lieu entre Uber et le cabinet du ministre, d’après les mails consultés par les trois médias. Uber aurait reçu les grandes lignes du projet de réforme avant qu’il ne soit rendu public. Dans ce cadre, il lui revenait d’élaborer un cadre légal pour les nouveaux services de transport, dont la plateforme Uber. Le quotidien a mis la main sur des échanges démontrant une proximité entre un lobbyiste d’Uber, Marc MacGann, et le socialiste flamand, à base de rencontres, d’échanges très fréquents, de partage d’informations, relation affective…
Ils montrent que la société avait noué des relations de proximité avec l'ancien ministre socialiste bruxellois de la Mobilité Pascal Smet (aujourd'hui ...
Selon les révélations des "Uber Files", le lobbyiste voyait en Pascal Smet "un allié" de la multinationale.
Il est cité pour avoir entretenu des contacts étroits avec Uber. Le libéral est décrit par un lobbyiste d'Uber comme le "meilleur allié politique en Belgique". Les files dévoilent que l'Ucclois a transmis une copie de son interprétation parlementaire à la société californienne, a organisé une pétition pour "forcer le débat parlementaire" et a facilité les contacts entre Uber et le cabinet de Charles Michel (MR), alors Premier ministre. Il faut de la transparence mais aussi dans les relations entre le cabinet Vervoort et les taxis. "Tout le monde savait pour les liens entre Smet et Uber. Cela ne change rien", observe un député socialiste. Au Soir, il assure qu'il connaissait "personnellement auparavant" le lobbyiste en chef d'Uber. "Je peux aisément dissocier les relations personnelles des relations professionnelles." J'ai reçu des menaces, des excréments dans ma boîte aux lettres". Il ajoute n'avoir "aucun souvenir" des faits datant de 2012-2017. "Quant à M. Smet, que la majorité se débrouille avec lui. Parce que se baser sur des comptes rendus de réunions unilatérales de lobbyistes…" Ce dernier, qui n'est autre que le lanceur d'alerte par qui l'affaire a démarré, a vu à l'époque en Pascal Smet un "allié". Uber aurait également été informé du fait que les contrôles qui seraient menés sur ses chauffeurs ne porteraient que sur des questions d'assurance et de sécurité. Quant au partage d'informations et de communiqués, il s'agirait ici d'une méthode pour éviter une "polarisation excessive dans la couverture médiatique". Cette fois, ce sont les relations entre le secrétaire d’État bruxellois, Pascal Smet (One.Brussels/Vooruit) et un lobbyiste d’Uber sous la précédente législature, qui sont exhumées. Une dizaine de contacts ont eu lieu entre Uber et le cabinet du ministre, d'après les mails consultés par les trois médias. Uber aurait reçu les grandes lignes du projet de réforme avant qu'il ne soit rendu public.
Een meerderheid in het Brussels Parlement eist de oprichting van een parlementaire onderzoekscommissie na de onthullingen van de wel zeer nauwe “en ...
De PVDA wil deze week nog een extra vergadering van de commissie Binnenlandse Zaken van het Brussels Parlement om Pascal Smet (one.brussels-Vooruit) te ...
PVDA, PS, Ecolo, Groen, N-VA en Vlaams Belang vragen met aandrang een onderzoekscommissie in het Brusselse parlement naar de rol van Pascal Smet in...
Er rijzen vragen bij de rol van Pascal Smet, die als minister van Mobiliteit een taxiplan lanceerde om Uber legaal te laten opereren.
Voorpagina's van De Tijd en Le Soir, met daarbij de focus op Brussels minister Pascal Smet, in verband met de 'Uber Files'. Dat is een.
(Belga) Le président de Vooruit Conner Rousseau n'a aucun problème à ce qu'une commission d'enquête soit instaurée au parlement bruxellois sur les ...
"Je ne vois vraiment aucun problème", a commenté Conner Rousseau. "Pascal Smet a déjà été interrogé au parlement bruxellois et il a toujours été transparent et ouvert, il le restera d'ailleurs. Je pense qu'il est droit dans ses bottes", a ajouté M. Rousseau, en rappelant que Pascal Smet avait instauré "des règles claires" pour Uber. (Belga) "Je pense qu'il y a d'autres problèmes en ce moment à Bruxelles, mais si l'on juge ça prioritaire, alors enquêtons", a commenté Conner Rousseau. Le chef des socialistes flamands ne voit "aucun problème" dans les rapports entre des lobbyistes de la multinationale américaine et Pascal Smet (Vooruit). Ces liens ont été pointés du doigt par "Le Soir", "De Tijd" et "Knack" dans le cadre des "Uber Files", une fuite de documents confidentiels auprès du quotidien britannique The Guardian, qui ont été analysés par un consortium international de journalistes d'investigation. Pascal Smet, de son côté, assure avoir toujours été très clair dans ses contacts avec Uber, dont il se servait "pour nous aider à faire passer notre programme" au sein de la plateforme concurrente des sociétés de taxis. (Belga) Le président de Vooruit Conner Rousseau n'a "aucun problème" à ce qu'une commission d'enquête soit instaurée au parlement bruxellois sur les Uber Files, a-t-il indiqué mercredi sur les ondes de la VRT (De Ochtend). Il défend l'action de Pascal Smet quand ce dernier était ministre bruxellois de la Mobilité.
Pascal Smet (One.Brussels-vooruit) is in het oog van de storm terechtgekomen na de onthullingen van de Uber Files. Daaruit blijkt dat lobbyisten van Uber ...
Une commission d'enquête au Parlement bruxellois? "Aucun problème", assure le président des socialistes flamands.
"Je ne vois vraiment aucun problème", a commenté Conner Rousseau. "Pascal Smet a déjà été interrogé au parlement bruxellois et il a toujours été transparent et ouvert, il le restera d'ailleurs. Je pense qu'il est droit dans ses bottes", a ajouté M. Rousseau, en rappelant que Pascal Smet avait instauré "des règles claires" pour Uber. "Je pense qu'il y a d'autres problèmes en ce moment à Bruxelles, mais si l'on juge ça prioritaire, alors enquêtons", a commenté Conner Rousseau. Le chef des socialistes flamands ne voit "aucun problème" dans les rapports entre des lobbyistes de la multinationale américaine et Pascal Smet (Vooruit). Ces liens ont été pointés du doigt par "Le Soir", "De Tijd" et "Knack" dans le cadre des "Uber Files", une fuite de documents confidentiels auprès du quotidien britannique The Guardian, qui ont été analysés par un consortium international de journalistes d'investigation. Uber Files : "Je pense que Pascal Smet est droit dans ses bottes", défend Conner Rousseau
Le président de Vooruit Conner Rousseau n'a « aucun problème » à ce qu'une commission d'enquête soit instaurée au parlement bruxellois sur les Uber Files, ...
« Je ne vois vraiment aucun problème », a commenté Conner Rousseau. « Pascal Smet a déjà été interrogé au parlement bruxellois et il a toujours été transparent et ouvert, il le restera d’ailleurs. Je pense qu’il est droit dans ses bottes », a ajouté M. Rousseau, en rappelant que Pascal Smet avait instauré « des règles claires » pour Uber. « Je pense qu’il y a d’autres problèmes en ce moment à Bruxelles, mais si l’on juge ça prioritaire, alors enquêtons », a commenté Conner Rousseau. Le chef des socialistes flamands ne voit « aucun problème » dans les rapports entre des lobbyistes de la multinationale américaine et Pascal Smet (Vooruit). Ces liens ont été pointés du doigt par « Le Soir », « De Tijd » et « Knack » dans le cadre des « Uber Files », une fuite de documents confidentiels auprès du quotidien britannique The Guardian, qui ont été analysés par un consortium international de journalistes d’investigation. Uber Files: «Je pense que Pascal Smet est droit dans ses bottes»
Pascal Smet zal dan toch niet voor het parlement verschijnen vrijdag. Hij is immers niet meer bevoegd voor 'personenvervoer'. Als er een onderzoekscommissie ...
Dat is in dit geval Rudi Vervoort (PS), die de bevoegheid personenvervoer overnam van Smet deze legislatuur. De PS van Vervoort toonde zich net erg kritisch tegenover Uber de voorbije jaren. Hij is vandaag immers niet meer bevoegd voor het dossier.
Le quotidien Le Soir révèle que le nom de Pascal Smet, ancien ministre bruxellois de la Mobilité et actuel secrétaire d'État bruxellois à l'Urbanisme, ...
Mark MacGann, pour sa part, demande des contacts à Boris Dilliès pour poursuivre ses manœuvres au niveau politique et médiatique. “Merci. Franchement Boris, il faut la reprendre cette ville, c’est pas possible de la laisser entre les mains de ces nains de jardin”, indique notamment un message de Mark MacGann. “Suis 100 % d’accord et j’y travaille”, répond le bourgmestre ucclois. Face à ces révélations, le PTB a demandé mardi l’audition en urgence, encore cette semaine, de Pascal Smet. “Des relations “confidentielles”, des projets d’accord et de loi transmis en avant-première, des communiqués de presse concertés, avec le cabinet du ministre qui aurait été jusqu’à corriger un communiqué de la multinationale… Bruxelles est considérée comme stratégique à leurs yeux, et il semble que la relation avec l’ex-ministre de la Mobilité socialiste Pascal Smet était essentielle pour eux”, a souligné la cheffe de groupe du PTB à la Chambre, Françoise De Smedt. Le Soir ajoute qu’en 2015, Pascal Smet a lui-même contacté Mark MacGann pour l’informer de la présentation du nouveau plan taxi le lendemain, tout en demandant à Uber de ne pas réagir trop positivement dans sa communication à la presse. Ce mardi, le journal Le Soir a révélé de nouvelles informations sur les liens étroits entre deux membres de la classe politique bruxelloise et Uber, via notamment Mark MacGann, ancien lobbyiste en chef d’Uber et aujourd’hui à l’origine des fuites des “Uber Files”. Je suppose que le secteur des taxis en était également conscient”, répond Pascal Smet par rapport à cette révélation.