Gisteren hing Mick Jagger nog vrij onopgemerkt de toerist uit in Brussel, vandaag troepten fans samen aan het hotel waar The Rolling Stones logeren om een glimp ...
Daarna vertrokken de Stones via de garage van het hotel in geblindeerde wagens naar het Koning Boudewijnstadion waar ze vanavond optreden. Bij eerdere passages kozen ze voor de wei van Werchter of een concertzaal. Honderden fans van The Rolling Stones hebben zich vanmiddag verzameld bij Hotel Amigo in Brussel waar de groep logeert.
Er werd al veel geschreven over The Rolling Stones nog voor de band goed en wel voet aan wal had gezet in eigen land. De tickets voor de show waren de.
De man lijkt nog energie te hebben voor tientallen jaren, maar of de rest van de band mee zal willen, blijft nog maar de vraag. Het werd duidelijk dat de hits van de band voor alle leeftijden zijn, al was het stadion toch vooral gevuld met een ietwat ouder publiek dat zijn favoriete band nog eens aan het werk wilde zien. Jagger stelde de band trouwens voor met enkele Belgische anekdotes (de blazers waren de Romelu Lukaku en Kevin De Bruyne van de band, en de band had in de middag stoemp gegeten met een Duvel in café Le Coq), kortom de frontman weet waarover hij spreekt. Hij sprak het publiek zelfs perfect in de twee landstalen aan, waardoor je eigenlijk enkel maar sympathie voor de man kon krijgen. En dat werkt, waardoor ze bewijzen dat ze het schrijven van aanstekelijke songs zelfs in hun late zeventigjaren niet verleerd zijn. De band helpt elkaar duidelijk bij de iets moeilijkere momenten en dat maakt het allemaal zo mooi. Vooral die laatste heeft het wat lastig, want je merkt dat hij het hele concert nogal statisch op het podium staat en bij momenten moeite heeft om de juiste gitaarsounds te produceren. De 78-jarige Mick Jagger leek een jonkie van achttien te zijn (die dan nog een of andere toverdrank had gedronken die hem eeuwig jong houdt) bomvol energie, en zo trekt hij de show van The Rolling Stones dan ook naar een hoger niveau. Nu was er dus nog eens een stadionshow in België en je zag dat de (nog net) zeventigers er nog steeds zin in hadden. De Stones waren hun drummer duidelijk nog niet vergeten en niet veel later vertelde Mick Jagger ook dat hij de show in Brussel graag aan hem wilde opdragen. Toen was dat nog in Vorst Nationaal en daarna moest je telkens naar Werchter om de rockers te zien. De ticketprijzen voor de show in Brussel waren het hoogst van de hele tour en dat zorgde er ook voor dat hun show in het Koning Boudewijnstadion een van de weinigen was die niet uitverkocht raakte.
De mare dat een schare bijna tachtigjarigen die zich vorige eeuw geleden naar een lied van Muddy Waters The Rolling Stones noemden op hun nieuwe Eu...
C'est alors que Mick Jagger, Keith Richards, Brian Jones, Bill Wyman et Charlie Watts descendent de leur avion à Zaventem. Ils sont accueillis par des fans en ...
Cette année-là, la firme de disques Decca organise une journée de promotion pour les Stones dans notre capitale. 56 années après leur premier concert officiel à Bruxelles, les Rolling Stones se sont produits au stade Roi Baudoin, pour la plus rock des "Satisfaction" d’environ 48.000 fans. Cette histoire d’amour entre les Rolling Stones et les Belges commence en réalité en octobre 1964.
Les Rolling Stones ont donc fêté leurs soixante ans au stade Roi Baudouin ce lundi soir. Arrivés à Bruxelles la veille, ils sont descendus à l'hôtel Amigo, ...
De passage au stade Roi Baudouin pour la tournée célébrant leur 60e anniversaire, les Rolling Stones ont livré une performance mémorable qui a ravi les fans ...
Soixante ans après leurs débuts et huit ans après leur dernier concert en Belgique, le légendaire groupe de rock britannique The Rolling Stones ...
Après ce vibrant hommage, la musique a repris sa place, avec une ouverture de concert sur "Street Fighting Man". "Ca va Bruxelles?", a ensuite demandé Mick Jagger. L'illustre chanteur de 78 ans, qui reste infatigable sur scène, n'a pas manqué de faire quelques clins d'oeil à la Belgique, s'adressant au public tantôt en néerlandais tantôt en français et faisant des références aux Diables, aux pralines et au stoemp. Sur cette tournée, le regretté musicien est remplacé par Steve Jordan, tout comme l'automne dernier lors de la tournée "No Filter Tour". Soixante ans après leurs débuts et huit ans après leur dernier concert en Belgique, le légendaire groupe de rock britannique The Rolling Stones s'est produit lundi soir au stade roi Baudouin, qui était presque à guichets fermés. "C'est bon d'être de retour", a confié le leader Mick Jagger.
The Rolling Stones kunnen het nog! En dat kwamen ze op hun Sixty Tour in het Koning Boudewijnstadion in Brussel met overtuiging en bravoure bewijzen.
Mick, Keith et Ronnie étaient de passage au stade Roi Baudouin pour faire leurs adieux, forcément émouvants, au public belge, lundi soir.
Wood semble plus en forme, pour une fois, et une vigoureuse choriste vient donner de la voix sur "Gimme Shelter", mais passe plus de temps à s'agiter. N'est pas Merry Clayton qui veut. "Et il semblerait que quelqu'un ait volé les vêtements des Stones que portait le Manneken-Pis". Les plus âgés retrouvent de vieux amis, le goût d'une époque folle où leur avenir restait à écrire. Les plus jeunes célèbrent la transmission familiale, les pères et mères qui passaient Sticky Fingersou Let It Bleed à fond dans la bagnole. Calme, métronomique, souvent placide, Charlie incarnait la force tranquille entre les pitreries égocentriques de Richards et Jagger, qui ont valu en leur temps de solides dépressions aux génies qu'étaient Brian Jones et Mick Taylor. L'hommage est fort, touchant, le public n'a pratiquement jamais entendu le son de sa voix mais regrette l'homme et sa présence magnétique. Ce qui donne généralement un public de VIP et sponsors aux premiers rangs, quelques privilégiés aux seconds, et une masse de fans juste derrière. Aussi incroyable que cela puisse paraître, le stade n'était donc pas "complet", ce lundi soir, et plusieurs badauds tentaient encore de revendre des places devant les barrières. Quelques petits malins ont dû faire une bonne affaire. Le pauvre rockeur islandais fait ce qu'il peut, mais semble aussi seul que sur un volcan de son île natale avec son blues parfaitement calibré pour la bande FM. Pas facile d'ouvrir pour une légende, le cadeau est empoisonné, la performance poliment saluée.
Les Stones ont fêté leurs soixante ans de carrière lundi au stade Roi Baudouin. Un concert impeccable de bout en bout. Un petit miracle.
Quand ce dernier revient, c’est pour une deuxième partie de concert en apothéose. L’heure des tubes : Miss You, funky à souhait, Midnight Rambler, blues et poisseux, le diamant noir Paint It Black, Start Me Up et son riff tout droit sorti de l’école du rock, Gimme Shelter avec des images de l’Ukraine dévastée et, pour terminer, un Jumpin’ Jack Flash toujours aussi percutant. Ce qui laisse de l’espace dans la fosse pour circuler facilement, respirer ou simplement voir ce qui se trame sur scène. Qu’on se rassure, il est suffisamment rempli pour que le concert batte son plein. Et bien, le rock a encore de beaux restes, merci pour lui ! Toutes les chansons passent la rampe du temps haut la main, des pépites des tout débuts 19th Nervous Breakdown et Out of Time aux hymnes You Can’t Always Get What You Want repris par la foule et Honky Tonk Women. Bluesy, crasseux, formidablement entraînants. Le fait est là : ça joue ! A ses côtés, " le Magritte des Marolles ", comme son chanteur le présentera, Ronnie Wood, cheveux teints, classe anglaise tout droit sorti de Carnaby Street, sautillant sur sa guitare. On n’y croit pas une seule seconde, quand Mick Jagger chante (I can’t get no) Satisfaction ! Les Stones viennent de passer deux heures à jouer tout sourire, s’amusant comme des gamins dans une cour de récré. Nous aussi, d’ailleurs, on a la banane. Quand il bouge, c’est-à-dire tout le temps, il donne l’impression que le temps n’a pas d’emprise sur lui.