Ook in daar waart het spook van de inflatie,of stijgende prijzen. Om dat te bekampen, laat de Amerikaanse centrale bank sinds begin dit jaar de rente eindelijk ...
1 euro is weer bijna evenveel waard als 1 dollar. Dat is makkelijk om te rekenen. “Als je weet dat we onze olie en andere grondstoffen in dollar betalen, is deze hoogste dollarstand sinds 20 jaar geen goed nieuws”, zegt Erik Joly van ABN AMRO. “Er was al inflatie en nu importeren we die nog eens ook.”
La monnaie unique est victime des craintes qui pèsent sur la croissance de la zone euro.
Selon Bloomberg, qui a mis au point un modèle de prédiction basé sur les options, il y a 60% de chance que la parité soit atteinte d’ici à la fin de l’année, alors que les prévisions n’étaient que de 46% lundi. Dans une note publiée mardi matin, Western Union soulignait que la barrière de 1,0350 pour 1 euro constituait un «test majeur», parce qu’il représentait un «seuil plancher depuis les années 2002» et relancerait les débats sur un retour de la parité entre les deux monnaies. D’abord parce que les inquiétudes sur la zone euro sont plus importantes, alors que l’inflation a touché un nouveau plus haut (+8,6% en juin) et que la guerre en Ukraine risque d’avoir des conséquences économiques plus marquées pour la région, notamment en raison de la flambée des prix du gaz, qui augmentaient encore mardi.
A 1,0237 dollar, l'euro (-1,6 %) a chuté à son plus bas niveau depuis fin 2002. Il perd 9,5 % cette année. Les hedge funds ont repris leurs ventes d'euros ...
Son analyste, Jordan Rochester, estime que l'industrie européenne a besoin d'un euro plus faible pour redonner de la compétitivité à ses exportateurs, mise à mal par l'envolée des coûts de l'énergie. Les prix du gaz en Europe sont sept fois supérieurs à leur cours aux Etats-Unis. A 1,0237 dollar, l'euro (-1,6 %) a chuté à son plus bas niveau depuis fin 2002. Il perd 9,5 % cette année. Les hedge funds ont repris leurs ventes d'euros le mois dernier.
Na maanden van waardestijgingen is de Russische roebel gekelderd op de beurs in Moskou. Tegenover de Amerikaanse dollar en de euro verloor de Russische munt ...
Stel, je gaat op reis naar de VS en je moet je hotelkamers cash betalen. Die kosten bijvoorbeeld 1.000 dollar. Je wil die dollars thuis al kopen. Vandaag moet ...
1 euro is weer bijna evenveel waard als 1 dollar. Dat is makkelijk om te rekenen. “Als je weet dat we onze olie en andere grondstoffen in dollar betalen, is deze hoogste dollarstand sinds 20 jaar geen goed nieuws”, zegt Erik Joly van ABN AMRO. “Er was al inflatie en nu importeren we die nog eens ook.”
La crise des subprimes coupe l'appétit des investisseurs pour le billet vert, qui voit son prix dégringoler en 2007. Alors que la banque centrale américaine ( ...
L'euro est alors proche de la parité face au billet vert, à 1,0341 dollar en janvier 2017. Alors que la banque centrale américaine (Fed) inonde le marché de liquidités pour renflouer Wall Street, l'euro atteint un plus haut historique en juillet 2008, à 1,6038 dollar. En février 2018, la devise unique remonte à 1,2555 dollar. L'euro commence enfin à être utilisé par les habitants de onze pays au 1er janvier. Avant l'invasion russe de l'Ukraine le 24 février, il évoluait bien en dessous des 100 euros le mégawattheure. Désormais, ce sont les risques causés par l'invasion russe de l'Ukraine et l'envolée des prix du gaz qu'elle provoque, qui pèsent sur l'euro.
Chutant, ce mardi, à 1,0306 dollar américain pour un euro avant de remonter à 1,0315 dollar, l'euro pâti de la hausse des prix de l'énergie qui impacte ...
D'autre part, la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed) plus agressive que la politique européenne favorise également sa devise. Face à ces difficultés et incertitudes, le dollar joue donc plus que jamais son rôle de valeur refuge. C'est la dégringolade. Ce mardi, l'euro chutait à son plus bas niveau depuis près de vingt ans face au billet vert.
Les opérateurs inquiets préfèrent le dollar considéré comme une valeur refuge, au détriment de l'euro et des autres monnaies de référence.
Depuis, par à-coups, l’euro a reculé de 17 % Certains rappelleront qu’en 2008, juste avant la crise financière des "subprimes", lorsque l’euro caracolait au-dessus de 1,60 dollar, les industriels européens se plaignaient du poids de cette force de l’euro sur leurs exportations. Or, l’Allemagne est très mal positionnée dans le cadre de la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine, et la "locomotive économique de l’Europe" commence à peiner. Mardi, après la reprise de l’activité sur le marché des changes, après un week-end long de trois jours pour cause de fête nationale aux États-Unis, l’euro a chuté lourdement suite à des statistiques économiques montrant un net ralentissement de la croissance de l’activité économique en zone euro en juin dans le secteur privé.
Les risques causés par l'invasion russe de l'Ukraine et l'envolée des prix du gaz qu'elle provoque pèsent sur l'euro.
Dans ce contexte, toute reprise de l’euro doit être vue « comme un rebond de court terme », explique à l’Agence France-Presse Fawad Razaqzada, analyste chez StoneX, qui craint que sans changement majeur sur le front ukrainien ou de la BCE, l’euro ne poursuive sa baisse. Avant l’invasion russe de l’Ukraine le 24 février, il évoluait bien en dessous des 100 euros le mégawattheure. Désormais, ce sont les risques causés par l’invasion russe de l’Ukraine et l’envolée des prix du gaz qu’elle provoque, qui pèsent sur l’euro.
L'euro a chuté à son plus bas niveau en près de 20 ans face au dollar américain. La flambée des prix du gaz et de nouvelles données économiques exacerbent ...
Mardi, la monnaie européenne a atteint 1.029 dollars pour un euro, soit son taux le plus bas depuis près de 20 ans, renforçant les craintes d'une récession.
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée L’euro enregistrait mardi après-midi son niveau le plus bas depuis décembre 2002, avec 1,029 dollar américain pour 1 euro, soit une baisse de 1,6 %. En cause : un contexte économique difficile dans lequel la Banque centrale européenne (BCE) peine à resserrer sa politique monétaire aussi vigoureusement que son homologue américain. « Les causes de l’érosion de l’euro sont connues », estime Eric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management à Lille et Paris. « Ce n’est pas un phénomène nouveau, mais c’est en train de “s’aggraver”. » Mardi, la monnaie européenne a atteint 1.029 dollars pour un euro, soit son taux le plus bas depuis près de 20 ans, renforçant les craintes d’une récession.
La monnaie unique a fortement chuté ce mardi, perdant 1,7 % dans la journée, plombée par des craintes de récession dans la zone euro.
Le CAC 40 a accusé une perte de 2,68 %. À 17 heures, elle s'échangeait à 1,0241 pour 1 dollar, son plus bas niveau depuis vingt ans, de plus en plus près de la parité avec le billet vert. La monnaie unique a fortement chuté ce mardi, perdant 1,7 % dans la journée, plombée par des craintes de récession dans la zone euro.
L'euro a touché mardi son plus bas niveau depuis près de 20 ans face au dollar américain, à 1,0298 dollar pour un euro, emporté par les tensions sur ...
La crise énergétique pèse aussi sur la monnaie unique". Les fortes hausses des prix du gaz et de l'électricité font courir un risque important que l'économie de l'UE entre en récession plus tôt que prévu", affirme Trevor Sikorski, analyste chez Energy Aspects, dans un rapport. "Les craintes croissantes d'une récession font baisser l'euro, tandis que le dollar s'envole", commente Fiona Cincotta, analyste de City Index. Les cambistes font le pari que la Fed va continuer à relever ses taux d'intérêt de manière agressive pour maîtriser l'inflation, dit-elle. "Les données PMI publiées (ce mardi) en Europe ont mis en évidence le risque de ralentissement de la croissance à la fin du deuxième trimestre", poursuit-elle.
Tous les observateurs en parlent : hier l'EUR/USD a donné un signal majeur laissant entrevoir la possibilité d'une parité entre les deux devises. Comment.
C’est selon l’unité de temps que l’on a choisie pour travailler l’Eur/USD bien entendu. Un support majeur de très long terme a été récemment cassé. L’euro plonge. Les vagues d’impulsion de cette MACD ricochent entre son support d’impulsion (S.I) et sa résistance d’impulsion (R.I). - Ce support est donc devenu résistance (« R »), l’indicateur de tendance MACD a donné le signal de cassure du support en se retournant à la baisse. L’ancien support devenu résistance « R » vient d’être cassé. Le prochain objectif se trouve donc a priori une amplitude plus bas – c’est-à-dire pile dans la zone des 1 euro pour 1 dollar ( le support « S » en vert). Le support de très long terme qui a été cassé
Une moindre dispersion était notable entre les principales classes d'actifs à risques, matières premières, actions et Euro, principalement, traduisant les …
En effet, devant les risques de coupes encore plus importantes à venir de la part de la Russie, le prix du gaz a rebondi très fortement. A suivre les Minutes de la Fed à 20h00. Et "c'est bien en Europe que les tensions sur le marché de l'énergie restent les plus importantes. "Les incertitudes créent évidemment une très grande volatilité sur les marchés, mais on voit bien que le discours qui peu à peu devient dominant est celui de la récession." constate Xavier Chapard (LBPAM). Le reflux tout récent des cours des hydrocarbures n'apporte qu'un soulagement très relatif. Chris Williamson, Chief Business Economist à S&P Global Market Intelligence commente ainsi les derniers chiffres de l'enquête PMI : "Le fort ralentissement de la croissance de l'activité observé en juin dans la zone euro augmente le risque d'une contraction de l'économie de la région au troisième trimestre. Le secteur manufacturier a d'ores et déjà basculé en zone de contraction, la production ayant diminué pour la première fois depuis deux ans en juin, tandis que l'activité du secteur des services a subi un net ralentissement sur fond d'envolée de l'inflation et de hausse consécutive du coût de la vie."
L'euro poursuivait son recul face au dollar mercredi, atteignant un nouveau plus bas depuis deux décennies en raison des inquiétudes qui pèsent sur ...
"Si la Russie ne relance pas ses exportations, il est probable que l'UE soit en manque de gaz à la fin de l'hiver", prévient Holger Schmieding, analyste chez Berenberg, et la situation pourrait empirer avec une diminution de l'offre russe. La fin forcée d'une grève en Norvège pour relancer coûte que coûte la production dans trois gisements de pétrole et de gaz n'a pas suffi à rassurer les investisseurs, qui restent focalisés sur la situation en Ukraine et en Russie. L'euro recule depuis mardi "sous l'effet cumulé de craintes de récession en Europe et de turbulences financières alimentées par une nouvelle flambée des prix de l'énergie dans la région (notamment les prix du gaz et de l'électricité)", explique Guillaume Dejean, analyste chez Western Union.