Cassidy Hutchinson se lève de son siège dans une salle d'audience. Cassidy Hutchinson, qui était une assistante de Mark Meadows, ex-chef de cabinet de Donald ...
Selon l'Associated Press, une source a nié que M. Meadows ait tenté d'obtenir un pardon. Et si vous ne vous battez pas comme des diables, vous n'aurez plus de pays! Le conseiller a répliqué : Ce dernier, qui avait refusé de suivre l'ordre du président, n'a pas rectifié les faits rapportés par M. Ornato, laissant croire à leur authenticité. Le valet, qui remplaçait la nappe de la table à manger, lui a confié que le président était Je n'en ai rien à foutre [I don't fucking care] s'ils ont des armes. Mme Hutchinson raconte que le président républicain a été pris d’une terrible colère dans la salle à manger de la Maison-Blanche, si bien qu’il aurait lancé avec fracas son assiette sur un des murs de la pièce. Mme Hutchinson a aussi relaté que l'avocat de la Maison-Blanche Pat Cipollone voulait à tout prix éviter que le président Trump se dirige vers le Capitole. Or, cette version a été contredite. Ils ne sont pas ici pour me faire mal, a déclaré le président avant de s'adresser à la foule, selon Mme Hutchinson. M. Trump voulait que la sécurité soit assouplie pour que les gens puissent s'approcher de sa tribune, même s'ils étaient armés. Nous allons nous battre comme des diables. L'histoire a été racontée à Mme Hutchinson par M. Ornato à la Maison-Blanche, en présence du responsable de la sécurité du président, Robert Engel, qui avait été pris à partie.
Donald Trump savait que certains de ses partisans étaient armés quand il les a appelés à marcher sur le Capitole le 6 janvier 2021 et a ensuite cherché à ...
Cassidy Hutchinson a aussi évoqué la journée du 1er décembre 2020, quand le ministre américain de la Justice Bill Barr avait déclaré dans une interview ne pas avoir constaté "de fraude" suffisante pour invalider la victoire de Joe Biden à la présidentielle. Le milliardaire aurait alors lancé une assiette en porcelaine sur le sol et jeté du ketchup sur un mur de la Maison Blanche, a-t-elle raconté. Donald Trump a essayé de prendre le volant de la voiture présidentielle à un policier du Secret Service pour se mêler à ses partisans, qui marchaient vers le Congrès afin de tenter de bloquer la certification de la victoire de Joe Biden à la présidentielle. "Je suis le putain de président, amenez-moi au Capitole tout de suite", aurait-il dit, tentant d'attraper le policier au collet, selon des propos rapportés à Cassidy Hutchinson par le chef de cabinet adjoint du président. Cassidy Hutchinson, une ancienne collaboratrice de la Maison Blanche, a donné devant une commission parlementaire un témoignage explosif sur les faits et gestes de Donald Trump lors de l'attaque du Capitole. Selon cette jeune femme, l'ancien président a tout fait pour rejoindre ses partisans lors de l'assaut contre le Congrès.
La commission d'enquête parlementaire sur le 6 janvier a entendu, mardi 28 juin, Cassidy Hutchinson, qui était assistante de Mark Meadows, le chef de ...
Celle de la dérive de Donald Trump au bout du fleuve mensonge, par-delà le bien et le mal, emportant dans son sillage des complices et des otages très consentants. Mais laquelle ? Celle, à coup sûr, des commissions d’enquête parlementaires, affadissant le souvenir du Watergate. Celle de la démocratie américaine, passée à un souffle, un tweet, un coup de volant ou un coup de feu, d’une implosion. D’un courage évident, posée, précise, cette républicaine de conviction a livré un récit ravageur, ne rencontrant il est vrai aucune contradiction ni question déstabilisante qui seraient sorties du cadre de la démonstration prévue par les élus. « Je suis le putain de président, emmenez-moi au Capitole ! », rétorque Trump, qui se penche vers l’avant du véhicule pour s’emparer du volant. Mardi 28 juin, cette jeune femme de 25 ans a été le témoin unique de la sixième session publique de la commission d’enquête sur l’assaut du Capitole, le 6 janvier 2021. A bord du véhicule blindé se trouvait Robert Engel, le chef de son équipe de protection rapprochée. « Ce n’est pas sécurisé. On retourne à la Maison Blanche », dit ce dernier.
Cassidy Hutchinson, une ancienne collaboratrice de la Maison Blanche, a livré mardi sa version des faits devant la commission parlementaire.
Une ancienne collaboratrice de la Maison Blanche a livré un témoignage accablant pour Donald Trump, mardi 28 juin, devant une commission parlementaire. Les médias américains ont rapporté plus tard que les policiers du Secret Service impliqués pourraient être disposés à témoigner et à nier son récit. Sollicité par l'AFP, le Secret Service n'a pas répondu. Dont une conversation qu'elle aurait eue avec le chef de cabinet de Donald Trump, Mark Meadows, quatre jours avant l'attaque du Congrès américain. "Ça pourrait devenir vraiment très grave le 6 janvier", aurait-il alors affirmé.
Les révélations de Cassidy Hutchinson, une ancienne collaboratrice de la Maison Blanche, à propos de l'assaut du capitole du 6 janvier 2021, ...
Cela va complètement à l'encontre de cette vision", a ajouté le conseiller. Selon plusieurs observateurs, le comportement erratique de Trump compromettrait ses chances d'accéder à la présidence en 2024. Ce mardi, lors d'une commission parlementaire, Cassidy Hutchinson a dévoilé les faits et gestes précis de Donald Trump lors de l'assaut du capitole, le 6 janvier 2021.
La représentante Alexandria Ocasio-Cortez a réagi à de nouveaux détails explosifs sur l'implication de l'administration Trump dans l'émeute du Capitole du 6 ...
Hutchinson, un assistant de Meadows, a partagé les nouveaux détails lors d’une audience prévue à la hâte mardi tenue par le comité restreint de la Chambre enquêtant sur l’émeute du Capitole. La membre du Congrès est apparue en tant qu’invitée sur “The Late Show” quelques heures après que l’ancienne assistante de la Maison Blanche, Cassidy Hutchinson, a révélé que le chef de cabinet de Trump, Mark Meadows, et d’autres hauts responsables de Trump se sont renseignés sur l’obtention de grâces présidentielles concernant leur implication dans les événements du 6 janvier. La représentante Alexandria Ocasio-Cortez a réagi à de nouveaux détails explosifs sur l’implication de l’administration Trump dans l’émeute du Capitole du 6 janvier – les qualifiant de « stupéfiants » dans une interview de mardi avec Stephen Colbert.
Les révélations de Cassidy Hutchinson, une ancienne collaboratrice de la Maison Blanche, à propos de l'assaut du capitole du 6 janvier 2021, ...
Cela va complètement à l'encontre de cette vision", a ajouté le conseiller. Selon plusieurs observateurs, le comportement erratique de Trump compromettrait ses chances d'accéder à la présidence en 2024. Ce mardi, lors d'une commission parlementaire, Cassidy Hutchinson a dévoilé les faits et gestes précis de Donald Trump lors de l'assaut du capitole, le 6 janvier 2021.
WASHINGTON, 28 juin (Reuters) - L'ancien président américain Donald Trump a tenté de se rendre au Capitole le 6 janvier 2021, essayant de s'emparer du ...
"Je suis le foutu président. Conduisez-moi tout de suite au Capitole", a déclaré Cassidy Hutchinson, citant à nouveau Donald Trump. L'ancien président aurait alors tenté de s'emparer du volant de la limousine dans laquelle il se trouvait. Toujours relatant sa conversation avec Tony Ornato, Cassidy Hutchinson a raconté comment Donald Trump avait tenté de se rendre au Capitole pour rejoindre ses partisans, mais s'était heurté au refus de son service de sécurité qui insistait pour le ramener à la Maison blanche. Donald Trump a demandé à ses services de sécurité de ne plus contrôler les personnes souhaitant assister à son discours devant la Maison blanche en retirant les détecteurs de métaux, a déclaré Cassidy Hutchinson.
Donald Trump a essayé de prendre le volant d'une limousine présidentielle le 6 janvier 2021 pour rejoindre ses partisans qui marchaient vers le Congrès le 6 ...
"C’est tordu et faux, tout comme l’ensemble des travaux de la commission", a-t-il fustigé dans une série de publications sur son réseau social Truth Social. Cassidy Hutchinson travaillait à quelques pas du Bureau ovale. C’est un témoignage accablant pour Donald Trump. Mardi, Cassidy Hutchinson, une ancienne collaboratrice de la Maison Blanche, a dévoilé devant une commission parlementaire les faits et gestes de l’ancien président le 6 janvier 2021, jour de l’assaut du Capitole par des partisans de Trump. Selon Cassidy Hutchinson, ce dernier savait que certains de ses partisans étaient armés lorsqu’il les a appelés à marcher sur le Congrès. Donald Trump aurait cherché à prendre le volant d’une voiture pour les rejoindre.
Hutchinson, diplômée de l'Université Christopher Newport, a déclaré à sa publication universitaire en 2018 qu'elle avait été “fondue aux larmes” lorsqu'elle a ...
« Elle était très appréciée et respectée. Se déplaçant toujours à un million de miles par minute. «Elle était connue comme une travailleuse incroyablement dure et loyale – arrivant dès 6 heures du matin et restant souvent jusqu’après minuit. Mais il y a eu une brouille entre Hutchinson et Meadows en 2021, a déclaré un ancien assistant de la Maison Blanche à CNN. Elle était censée devenir membre du personnel permanent de Mar-a-Lago, mais ces plans ont échoué, a rapporté le média. “Ma petite contribution à la quête du maintien de la prospérité et de l’excellence américaines est un souvenir que je retiendrai comme l’un des honneurs de ma vie”, a déclaré Hutchinson. Hutchinson, diplômée de l’Université Christopher Newport, a déclaré à sa publication universitaire en 2018 qu’elle avait été “fondue aux larmes” lorsqu’elle a reçu un e-mail lui disant qu’elle avait été sélectionnée pour être stagiaire à la Maison Blanche sous Trump. Avant de devenir un nom familier, elle a fondu en larmes de joie lorsqu’elle a décroché un stage à la Maison Blanche pendant la présidence de Trump.
Donald Trump savait que certains de ses partisans étaient armés quand il les a appelés à marcher sur le Capitole le 6 janvier 2021, selon un témoignage ...
Enlevez ces putains de portiques de sécurité. Laissez mon peuple entrer et ils pourront marcher jusqu'au Capitole d'ici", a-t-elle détaillé. Donald Trump a estimé que ces affirmations sont "tordues" et "fausses". "J'étais à proximité d'une conversation où j'ai entendu le président dire quelque chose comme, vous savez, je me fous qu'ils aient des armes.
Un témoignage marquant a été entendu mardi devant la commission d'enquête sur l'invasion du Capitole : selon Cassidy Hutchinson, l'ancienne assistante du ...
La violence manifeste des émeutiers n'a semble-t-il pas alerté Donald Trump, dont la lenteur à réagir face à l'invasion du Capitole a été vivement critiquée. Selon Cassidy Hutchinson, elle avait lancé l'alerte, notamment avec les menaces envers Mike Pence , évacué en urgence et qui s'est trouvé à une dizaine de mètres de certains émeutiers pendant quelques secondes. Le milliardaire a, jusqu'à présent, échappé à toute mise en examen dans le cadre de la commission d'enquête, après avoir été mis en accusation par la Chambre des représentants -mais acquitté grâce au soutien des républicains du Sénat- pour «incitation à l'insurrection». Retirez les détecteurs de métaux. Laissez passer mes gens"», s'est souvenue Cassidy Hutchinson. Et après avoir pris la parole devant une foule galvanisée, Donald Trump s'est mis en tête de se diriger vers le Capitole, où certains avaient même installé une potence pour pendre son vice-président Mike Pence, coupable à leurs yeux de refuser de s'opposer à la certification légale des résultats. «Le président a répondu avec beaucoup de colère. Il a dit quelque chose du genre : "Je suis le putain de président. Conduisez-moi au Capitole maintenant".» Face au refus de son entourage, dont le Secret Service citant des raisons de sécurité, Donald Trump serait devenu physiquement violent, «se penchant vers l'avant du véhicule pour se saisir du volant». Robert Engel, le chef de l'unité du Secret Service chargée de la sécurité présidentielle, aurait tenté d'attraper son bras pour l'en empêcher et le raisonner. «Il était énervé par le fait qu'on ne laissait pas passer les gens armés. J'ai entendu le président dire quelque chose du genre : "Je m'en fous qu'ils soient armés, ils ne sont pas là pour me faire du mal. «M. Trump a utilisé sa main libre pour se jeter sur Bobby Engel», a poursuivi Cassidy Hutchinson, qui tient ce récit du chef adjoint des opérations de la Maison-Blanche Tony Ornato, qui se trouvait dans la voiture et lui a raconté peu après, visiblement choqué par la scène. Une colère de Donald Trump dont elle avait déjà été elle-même témoin un mois avant, dans la salle à manger de la Maison-Blanche : «Il y avait du ketchup sur le mur et de la porcelaine brisée au sol», a-t-elle rappelé. L'origine du courroux présidentiel, qui s'est achevé avec «son déjeuner balancé contre le mur» : l'interview de Bill Barr , son ministre de la Justice, qui avait assuré à l'agence Associated Press que ni le FBI ni les procureurs qu'il supervisait n'avaient constaté de fraude électorale massive susceptible d'avoir pesé sur le résultat de l'élection présidentielle. L'homme avait été limogé deux semaines plus tard .
Plus d'un an après l'assaut sur le Capitole, une ancienne collaboratrice de la Maison Blanche, Cassidy Hutchinson a déclaré devant une commission ...
RÉCIT - Le comportement du président attesté par Cassidy Hutchinson, bras droit de l'ancien secrétaire général de Maison-Blanche Mark Meadows, ...
La description des dernières semaines de la présidence de Donald Trump par un membre de son cabinet a été l'un des témoignages les plus accablants recueillis par la commission parlementaire chargée de l'enquête sur l'assaut du Capitole le 6 janvier 2021. Continuez à lire votre article pour 0,99€ le premier mois Un président hors de contrôle, piquant des crises de nerfs et jetant des assiettes de nourriture contre les murs de la Maison-Blanche, déterminé à prendre la tête des manifestants qu'il lance contre le Capitole, des conseillers effarés par l'enchaînement des événements ou bien indifférents, faisant tout pour éviter la confrontation avec leur chef.
« Déséquilibré », c'est aussi le terme retenu par les éditorialistes du Washington Post ce mercredi, pour qui le témoignage de l'ancienne assistante « restera ...
Mais attention, impossible de se lancer dans une chasse au trésor avec des détecteurs de métaux ou de gros aimants, car le lac Mead se trouve sur un terrain fédéral. Et quand l’eau baisse, on fait parfois d’étranges découvertes ! C’est « devenu une source de fascination morbide pour les visiteurs comme pour les résidents de longue date », écrit le Washington Post. Il appelle à une large coalition, bipartisane, dont le principal objectif serait de « protéger la démocratie » américaine. « Les Américains doivent sortir de leur complaisance. Des actes dénoncés aussi par La Hora dans son édito du jour. Mardi, le président Guillermo Lasso a échappé à la destitution. Cassidy Hutchinson fait la Une de la plupart des quotidiens américains ce mercredi.
Le fait que Donald Trump ait été mis au courant, en amont de l'assaut sur le Capitole, que des émeutiers étaient armés, le met dans une mauvaise posture si ...
Personne ne devrait penser le contraire, et encore moins le soutenir, plus jamais" , écrit ainsi le Washington Examiner, un influent hebdomadaire conservateur, au lendemain de l’audition de Cassidy Hutchinson. Selon divers avis reccueillis pas le quotidien new-yorkais, les révélations de Hutchinson pourraient mettre Trump en difficulté d’un pour de vue juridique, exposant l’ancien président à des poursuites futures. Mais il n’est pas certain que les travaux de la Commission puissent aboutir ; Donald Trump influence plus que jamais le parti républicain, et, en cas de victoire du parti aux élections de mi-mandat en novembre prochain, il fait peu de doute que la Commission (au sein de laquelle siègent deux républicains pour sept démocrates), y survive.
Witte-Huis-medewerker Cassidy Hutchinson onthulde dinsdag voor de '6 januari'-commissie dat president Trump zich wilde aansluiten bij zijn aanhange...
Elle a aussi offert ce qui manquait à la commission jusqu'ici: un témoignage direct que Donald Trump savait que ses accusations de fraudes électorales étaient ...
Devant les élus, Cassidy Hutchinson a dépeint un président incapable d’accepter sa défaite et prêt à tout pour rester au pouvoir. Grâce à ses rapports quotidiens avec les élus et les responsables de la Maison-Blanche, elle était «en position de connaître beaucoup de choses au sein» de la présidence, a expliqué Liz Cheney, élue républicaine membre de la commission. Cassidy Hutchinson a expliqué que l’ex-président savait que ses partisans étaient armés quand il les a appelés à marcher sur le Congrès et à «se battre comme des diables» pour empêcher les élus de certifier la victoire de Joe Biden. L’assaut contre le Capitole a été qualifié de spontané, mais la jeune femme a souligné que les projets de Donald Trump de rejoindre ses partisans était prémédités. Elle a aussi offert ce qui manquait à la commission jusqu’ici: un témoignage direct que Donald Trump savait que ses accusations de fraudes électorales étaient fausses et que, conscient des potentielles violences de la part de ses partisans, il les a encouragés à marcher sur le Congrès. Elle a aussi, selon lui, montré que M. Trump «était prêt à lâcher des manifestants armés sur le Capitole».
Elle a aussi offert ce qui manquait à la commission jusqu'ici: un témoignage direct que Donald Trump savait que ses accusations de fraudes électorales étaient ...
Devant les élus, Cassidy Hutchinson a dépeint un président incapable d’accepter sa défaite et prêt à tout pour rester au pouvoir. Grâce à ses rapports quotidiens avec les élus et les responsables de la Maison-Blanche, elle était «en position de connaître beaucoup de choses au sein» de la présidence, a expliqué Liz Cheney, élue républicaine membre de la commission. Cassidy Hutchinson a expliqué que l’ex-président savait que ses partisans étaient armés quand il les a appelés à marcher sur le Congrès et à «se battre comme des diables» pour empêcher les élus de certifier la victoire de Joe Biden. L’assaut contre le Capitole a été qualifié de spontané, mais la jeune femme a souligné que les projets de Donald Trump de rejoindre ses partisans était prémédités. Elle a aussi offert ce qui manquait à la commission jusqu’ici: un témoignage direct que Donald Trump savait que ses accusations de fraudes électorales étaient fausses et que, conscient des potentielles violences de la part de ses partisans, il les a encouragés à marcher sur le Congrès. Elle a aussi, selon lui, montré que M. Trump «était prêt à lâcher des manifestants armés sur le Capitole».
Elle a aussi offert ce qui manquait à la commission jusqu'ici: un témoignage direct que Donald Trump savait que ses accusations de fraudes électorales étaient ...
Devant les élus, Cassidy Hutchinson a dépeint un président incapable d'accepter sa défaite et prêt à tout pour rester au pouvoir. Grâce à ses rapports quotidiens avec les élus et les responsables de la Maison Blanche, elle était "en position de connaître beaucoup de choses au sein" de la présidence, a expliqué Liz Cheney, élue républicaine membre de la commission. Cassidy Hutchinson a expliqué que l'ex-président savait que ses partisans étaient armés quand il les a appelés à marcher sur le Congrès et à "se battre comme des diables" pour empêcher les élus de certifier la victoire de Joe Biden. L'assaut contre le Capitole a été qualifié de spontané, mais la jeune femme a souligné que les projets de Donald Trump de rejoindre ses partisans était prémédités. Elle a aussi offert ce qui manquait à la commission jusqu'ici: un témoignage direct que Donald Trump savait que ses accusations de fraudes électorales étaient fausses et que, conscient des potentielles violences de la part de ses partisans, il les a encouragés à marcher sur le Congrès. Du haut de ses 26 ans, Cassidy Hutchinson, ex-collaboratrice de la Maison Blanche, n'a pas déçu la commission d'enquête sur l'attaque contre le Congrès en dégainant ses accusations contre Donald Trump et en détaillant les responsabilités du président lors de la journée du 6 janvier 2021.
Cassidy Hutchinson le 28 juin 2022 devant la commission d'enquête sur l'attaque contre le Capitole, à Washington - POOL. Du haut de ses 26 ans, ...
Devant les élus, Cassidy Hutchinson a dépeint un président incapable d'accepter sa défaite et prêt à tout pour rester au pouvoir. Grâce à ses rapports quotidiens avec les élus et les responsables de la Maison Blanche, elle était "en position de connaître beaucoup de choses au sein" de la présidence, a expliqué Liz Cheney, élue républicaine membre de la commission. Cassidy Hutchinson a expliqué que l'ex-président savait que ses partisans étaient armés quand il les a appelés à marcher sur le Congrès et à "se battre comme des diables" pour empêcher les élus de certifier la victoire de Joe Biden. Elle a aussi offert ce qui manquait à la commission jusqu'ici: un témoignage direct que Donald Trump savait que ses accusations de fraudes électorales étaient fausses et que, conscient des potentielles violences de la part de ses partisans, il les a encouragés à marcher sur le Congrès. A l'époque, elle était l'adjointe de Mark Meadows, le chef de cabinet du président américain, et son bureau était à quelques mètres du Bureau ovale. Du haut de ses 26 ans, Cassidy Hutchinson, ex-collaboratrice de la Maison Blanche, n'a pas déçu la commission d'enquête sur l'attaque contre le Congrès en dégainant ses accusations contre Donald Trump et en détaillant les responsabilités du président lors de la journée du 6 janvier 2021.