Excision

2022 - 6 - 28

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Plus de 35.000 femmes et filles sont excisées ou risque de l'être en ... (Le Soir)

Les femmes ayant subi une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes sont au nombre de 23 395 sur le territoire belge, estime une étude de ...

«Ces études sont indispensables» pour que les décideurs politiques puissent ancrer leur travail sur les réalités du terrain, a souligné la secrétaire d’État Sarah Schlitz, en annonçant par la même occasion deux prochaines campagnes de sensibilisation. Les deux chercheuses, une médecin démographe et une sage-femme docteure en Santé publique, qui ont travaillé sur le sujet concluent également que 12.000 filles ou femmes habitant en Belgique sont «potentiellement à risque d’excision» de par leurs origines. «Il y a un besoin crucial d’informer et de sensibiliser» les communautés concernées, surtout à l’approche des vacances qui sont une période à haut risque avec les retours au pays d’origine, alerte Fabienne Richard. «La migration continue et les personnes migrantes sont souvent plus jeunes et font donc des enfants.» Côté soignants, la thématique des MGF doit être intégrée à leur cursus, mais aussi être un thème de leur formation continue. «Cela veut dire que notre pays respecte la convention de Genève» et continue à accueillir les personnes qui en ont besoin, relève Fabienne Richard, l’une des chercheuses.

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Les mutilations génitales, un tabou qui concerne pourtant 35.000 ... (RTBF)

23.000 femmes excisées vivent, actuellement, en Belgique. Plus de 12.000 filles mineures nées de mamans excisées risquent...

"La migration continue et les personnes migrantes sont souvent plus jeunes et font donc des enfants." "Cela veut dire que notre pays respecte la convention de Genève" et continue à accueillir les personnes qui en ont besoin, relève Fabienne Richard, l’une des chercheuses. 23.000 femmes excisées vivent, actuellement, en Belgique. Plus de 12.000 filles mineures nées de mamans excisées risquent également de subir une mutilation génitale féminine si aucun travail de prévention n’est fait.

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Plus de 35.000 femmes et filles sont excisées ou à risque de l'être ... (7sur7)

Les femmes ayant subi une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes sont au nombre de 23.395 sur le territoire belge, estime une étude de ...

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Diariou et Mariama ont été excisées dans leur jeunesse: 35.000 ... (RTL info)

35.000 femmes sont confrontées à l'excision dans notre pays. Ces mutilations génitales sont répandues dans une trentaine de pays à travers le monde.

Ce qui est très dure pour les femmes quand elles arrivent en Europe, on leur dit dans leur pays qu'elles sont complètes parce qu'elles sont excisées. Elles arrivent en Belgique et on leur dit, il vous manque quelque chose." Sarah Schiltz, secrétaire d'État à l'égalité des genres : "Quand il y a des risques aigues de mutilation génitale féminine, on peut interdire le voyage des enfants. Des années plus tard, certaines femmes font la démarche de franchir la porte d’un des deux centres belges spécialisés dans la prise en charge des mutilations sexuelles. Quand je me suis réveillée de ce traumatisme, elle m'a dit 'maintenant tu connais le secret de la femme". Ces mutilations génitales sont répandues dans une trentaine de pays à travers le monde. 35.000 femmes sont confrontées à l'excision dans notre pays.

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Plus de 16.000 femmes et filles sont excisées ou à risque de l'être ... (VRT)

Les femmes ayant subi une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes sont au nombre de 23.395 sur le territoire belge, estime une étude de ...

"Ces études sont indispensables" pour que les décideurs politiques puissent ancrer leur travail sur les réalités du terrain, a souligné la secrétaire d'État Sarah Schlitz, en annonçant par la même occasion deux prochaines campagnes de sensibilisation. Parmi les autres recommandations découlant de l'étude, les chercheuses estiment également nécessaire d'instaurer une trajectoire MGF (mutilations génitales féminines) pour les familles venues en Belgique par regroupement familial. En outre, parmi les quelque 35.000 femmes et filles concernées sur le territoire, plus d'un tiers sont des mineures. "La migration continue et les personnes migrantes sont souvent plus jeunes et font donc des enfants." Côté soignants, la thématique des MGF doit être intégrée à leur cursus, mais aussi être un thème de leur formation continue. "Cela veut dire que notre pays respecte la convention de Genève" et continue à accueillir les personnes qui en ont besoin, relève Fabienne Richard, l'une des chercheuses.

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