La justice américaine veut juger le fondateur de WikiLeaks pour la diffusion, à partir de 2010, de plus de 700 000 documents classifiés sur les activités ...
En première instance, la juge n’avait pas voulu son extradition en raison de son état de santé. La décision de l’extrader, c’est l’envoyer vers la certitude de la torture », assure Antoine Vey, citant notamment les mesures d’« isolement » auquel il serait vraisemblablement soumis dans une prison américaine. Selon son avocat, Julian Assange était, avant même d’apprendre la décision du gouvernement britannique en sa défaveur, « très soucieux et angoissé ». Un jour sombre pour la liberté de la presse et pour la démocratie britannique. L’étau se resserre sur Julian Assange. Le gouvernement britannique a confirmé l’extradition du fondateur de WikiLeaks aux Etats-Unis, où il est poursuivi pour une fuite massive de documents confidentiels.
C'est un «jour sombre» pour WikiLeaks, mais pas la fin du feuilleton judiciaire: le gouvernement britannique a confirmé vendredi avoir signé le décret ...
Il est journaliste et éditeur, et il est puni pour avoir fait son travail», a-t-elle poursuivi. Il peut le faire dans un délai de 14 jours. «Julian n’a rien fait de mal. «Quiconque dans ce pays se soucie de la liberté d’expression devrait avoir profondément honte que la ministre de l’Intérieur ait approuvé l’extradition de Julian Assange vers les États-Unis, le pays qui a comploté son assassinat», a-t-elle déclaré dans un communiqué vendredi. Il est réclamé par la justice américaine qui veut le juger pour la diffusion, à partir de 2010, de plus de 700.000 documents classifiés sur les activités militaires et diplomatiques américaines, en particulier en Irak et en Afghanistan. Il risque 175 ans de prison. Après un long bras de fer judiciaire à rebondissements, la justice britannique avait formellement donné son feu vert le 20 avril à sa remise à la justice américaine, mais il revenait à la ministre britannique de l’Intérieur Priti Patel de signer un décret d’extradition, ce qu’elle a fait vendredi.
Terroriste high tech ou héros traqué de la liberté d'informer, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange, dont le gouvernement britannique a ...
"C'est un jour sombre pour la liberté de la presse et la démocratie britannique", a déclaré vendredi son épouse Stella Assange. "Julian n'a rien fait de mal. A 15 ans, il a déjà vécu dans plus de 30 villes australiennes avant de se poser à Melbourne où il étudie les mathématiques, la physique et l'informatique. Il est journaliste et éditeur, et il est puni pour avoir fait son travail". A l'époque il était sous le coup de poursuites pour viol en Suède, depuis abandonnées. Lorsqu'il lance WikiLeaks pour "libérer la presse" et "démasquer les secrets et abus d'Etat", il devient, selon un de ses biographes, "l'homme le plus dangereux du monde". "Terroriste high tech" ou héros traqué de la liberté d'informer, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange, dont le gouvernement britannique a confirmé vendredi l'extradition vers les Etats-Unis, a vu son image se troubler avec le temps.
De Britse minister van Binnenlandse Zaken Priti Patel heeft een besluit ondertekend om WikiLeaks-oprichter Julian Assange (50) aan de Verenigde Staten uit ...
Le gouvernement britannique a confirmé ce vendredi 17 juin l'extradition du fondateur de WikiLeaks Julian Assange aux États-Unis, qui veulent le juger pour ...
De son côté, WikiLeaks a vigoureusement dénoncé cette décision à travers un communiqué. « La ministre britannique de l'Intérieur approuve l'extradition de l'éditeur de WikiLeaks Julian Assange vers les États-Unis où il risquerait une peine de 175 ans. L'étau se resserre un peu plus autour de Julian Assange. Le gouvernement britannique a confirmé ce vendredi 17 juin avoir signé le décret d'extradition du fondateur de WikiLeaks vers les États-Unis, où il est poursuivi pour une fuite massive de documents confidentiels. WikiLeaks a indiqué vouloir faire appel.
Julian Assange mag van de Britse minister van Binnenlandse Zaken uitgeleverd worden aan de Verenigde Staten. Minister Priti Patel vond geen redenen om het ...
Door deze beloften blijkt Patel geen redenen te hebben om het verzoek te weigeren, waardoor ze vrijdag het verzoek goedkeurde. Assange kan daarmee niet direct worden uitgeleverd, schrijft The Guardian. Hij heeft 14 dagen de tijd om in beroep te gaan. Assange kan nog in beroep gaan.
Van een beroepsprocedure voor het Brits gerecht valt niets te verwachten. Alle journalisten en redacties die vandaag nog steeds niet degelijk op de hoogte zijn ...
Wat de grote media uiteindelijk het hardst stoort aan de sociale media is dat ze hun monopolie op de sluizen van de informatiedoorstroming hebben verloren. Het is met andere woorden omdat de grote media niet meer werden vertrouwd, dat sociale media zo snel konden doorbreken, niet omgekeerd. In toenemende mate zijn de grote media sinds de jaren 1980 grotendeels hun geloofwaardigheid verloren, lang voor het internet, niet toevallig in de periode dat het neoliberalisme zijn aanvallen op de sociale welvaartsstaat inzette én dat kritische media werden geprivatiseerd en ‘gemainstreamd’. Het zijn echter ook sociale media die Assange’s zaak in de aandacht hebben gehouden. Met de uitlevering van Assange aan de VS wordt immers een levensgevaarlijk precedent geschapen. Het Britse establishment weet dat ze daar door de eigen media nooit zullen worden door afgestraft. De VS – en dat weten de Britse politieke leiders perfect – zullen Assange nooit meer vrijlaten, zelfs niet als het Europees Hof voor de Rechten van de Mens na jarenlang procederen zijn vonnis over de hele lijn afkeurt. Daarom, en daarom alleen moet hij boeten met zijn uitlevering aan de VS. Julian Assange heeft oorlogsmisdaden van de VS ontmaskerd. Tot op het niveau van eerste minister Margaret Thatcher wist men vanaf dag één dat van de beschuldiging van financiering door Sovjet-vakbonden en door Lybische leider Khadaffi geen letter waar was. De bedoeling was Scargill en zijn vakbond jarenlang in dure rechtsprocedures te verlammen. Laat ons niet vergeten dat het Britse gerecht op dit vlak niet aan zijn proefstuk toe is.
L'Australien de 50 ans est poursuivi aux Etats-Unis pour une fuite massive de documents confidentiels.
WikiLeaks a dénoncé « un jour sombre pour la liberté de la presse » et annoncé que Julian Assange ferait appel devant la Haute Cour. Il a un délai de 14 jours pour le faire. Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a justifié cette étape en soulignant que l’extradition de Julian Assange n’était pas « incompatible avec ses droits humains, y compris son droit à un procès équitable et à la liberté d’expression » et qu’aux Etats-Unis il serait « traité de manière appropriée, y compris en ce qui concerne sa santé » Après un long bras de fer judiciaire à rebondissements, la justice britannique avait formellement donné son feu vert le 20 avril à sa remise à la justice américaine, mais il revenait à la ministre britannique de l’Intérieur Priti Patel de signer un décret d’extradition, ce qu’elle a fait vendredi.
Après la justice, le gouvernement britannique a confirmé, vendredi, avoir signé le décret d'extradition du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, vers les ...
Il est réclamé par la justice américaine qui veut le juger pour la diffusion, à partir de 2010, de plus de 700 000 documents classifiés sur les activités militaires et diplomatiques américaines, en particulier en Irak et en Afghanistan. Il risque 175 ans de prison. "Dans cette affaire, les tribunaux britanniques n'ont pas conclu qu'il serait oppressif, injuste ou un abus de procédure d'extrader M. Assange. Ils n'ont pas non plus conclu que l'extradition serait incompatible avec ses droits humains, y compris son droit à un procès équitable et à la liberté d'expression, et que pendant son séjour aux États-Unis, il sera traité de manière appropriée, y compris en ce qui concerne sa santé", a souligné le porte-parole. WikiLeaks a dénoncé "un jour sombre pour la liberté de la presse" dans un communiqué.
De Britse minister van Binnenlandse Zaken Priti Patel heeft een besluit ondertekend waardoor Julian Assange (50) kan uitgeleverd worden aan de Verenigde ...
De uitlevering van Assange zou met andere woorden niet in strijd zijn met zijn mensenrechten. Volgens WikiLeaks is Assange een journalist en publicist die Amerikaanse oorlogsmisdaden in naar eer en geweten aan het licht bracht. WikiLeaks tekent beroep aan tegen de beslissing.
Le gouvernement britannique a confirmé vendredi l'extradition du fondateur de WikiLeaks Julian Assange aux Etats-Unis, où il est poursuivi pour une fuite ...
La ministre britannique de l'Intérieur Priti Patel a signé vendredi l'extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis. L'équipe de défense de l'Australien ...
Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour réussir à le libérer et si nous n’y parvenons pas, ce sera vraiment inquiétant sur ce que cela dit de la justice de ce pays et de l’avenir du journalisme. Julian Assange n’a fait que révélé des faits comme l’aurait fait tout autre journaliste en possession de tels documents. Il y avait trouvé refuge en 2012 quand il était menacé d’une extradition vers la Suède pour faire face à des accusations d’agression sexuelle, accusations qui ont été abandonnées en 2019. Mais comme ses proches le craignaient, ce jugement a ensuite été rejeté en appel, rendant possible l’annonce de ce vendredi. Il encourt une peine de 175 années de prison pour avoir publié des informations pour lesquelles il a gagné des prix à travers le monde. » C’est en ces termes que l’équipe de défense de Julian Assange a accueilli vendredi l’annonce de l’accord donné par la ministre britannique de l’Intérieur Priti Patel à l’extradition du journaliste australien vers les Etats-Unis. Dans la foulée, les représentants du co-fondateur de Wikileaks ont indiqué qu’ils allaient faire appel de cette décision. Une requête sera aussi déposée auprès de la cour européenne des droits de l’Homme.
WikiLeaks gaat in beroep tegen de uitlevering van oprichter Julian Assange aan de Verenigde Staten. De Britse minister van Binnenlandse Zaken Priti Patel ...
In de Verenigde Staten riskeert Assange 175 jaar cel. Volgens WikiLeaks is Assange een journalist en publicist die Amerikaanse oorlogsmisdaden in naar eer en geweten aan het licht bracht. Assange wordt ervan verdacht 700.000 geheime documenten te hebben gelekt over militaire en diplomatieke activiteiten van de Verenigde Staten in Irak en Afghanistan. WikiLeaks noemt het besluit van Patel een enorme klap voor de vrijheid van meningsuiting.
De Britse minister van Binnenlandse Zaken heeft de uitlevering van WikiLeaks-oprichter Julian Assange aan de Verenigde Staten goedgekeurd.
Volgens de Amerikaanse regering is het waarschijnlijker dat de straf vier tot zes jaar zal bedragen, schrijft CNBC. Het is symbool voor hoe weinig de Britse en Amerikaanse regeringen zich nog inzetten voor de mensenrechten, tweette Edward Snowden, die andere bekende klokkenluider, als reactie hierop. In december vorig jaar werd in hoger beroep echter beslist dat de uitlevering alsnog kon doorgaan.
Après un long bras de fer judiciaire aux nombreux rebondissements, la justice britannique avait formellement donné son feu vert le 20 avril à sa remise à la ...
Il est journaliste et éditeur, et il est puni pour avoir fait son travail », a-t-elle poursuivi. « Julian n’a rien fait de mal. « Quiconque dans ce pays se soucie de la liberté d’expression devrait avoir profondément honte que la ministre de l’Intérieur ait approuvé l’extradition de Julian Assange vers les États-Unis, le pays qui a comploté son assassinat », a-t-elle déclaré dans un communiqué vendredi. WikiLeaks a dénoncé « un jour sombre pour la liberté de la presse » et annoncé que Julian Assange ferait appel devant la Haute Cour. Il a un délai de 14 jours pour le faire. Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a justifié cette étape en soulignant que l’extradition de Julian Assange n’était pas « incompatible avec ses droits, y compris son droit à un procès équitable et à la liberté d’expression », et qu’aux États-Unis il serait « traité de manière appropriée, y compris en ce qui concerne sa santé ». Des organisations de défense de la liberté de la presse, dont Reporters sans frontières et Amnesty International, s’opposent à cette extradition, craignant que, malgré les assurances des autorités américaines, Julian Assange soit soumis à des conditions d’isolement en prison qui aggraveraient un risque de suicide.
Le gouvernement britannique a confirmé avoir signé le décret d'extradition du fondateur de WikiLeaks vers les Etats-Unis, où il est poursuivi pour une fuite ...
» « C’est un jour sombre pour la liberté de la presse et pour la démocratie britannique », a réagi WikiLeaks sur Twitter, déplorant son extradition vers « le pays qui a conspiré pour son assassinat ». Le gouvernement britannique a confirmé avoir signé le décret d’extradition du fondateur de WikiLeaks vers les Etats-Unis, où il est poursuivi pour une fuite massive de documents confidentiels.
De Britse minister van Binnenlandse Zaken heeft de uitlevering van WikiLeaks-oprichter Julian Assange aan de Verenigde Staten goedgekeurd. De Australiër.
Volgens de Amerikaanse regering is het waarschijnlijker dat de straf vier tot zes jaar zal bedragen, schrijft CNBC. Het is symbool voor hoe weinig de Britse en Amerikaanse regeringen zich nog inzetten voor de mensenrechten, tweette Edward Snowden, die andere bekende klokkenluider, als reactie hierop. In december vorig jaar werd in hoger beroep echter beslist dat de uitlevering alsnog kon doorgaan.
Le gouvernement britannique a donné hier son feu vert à l'extradition de Julian Assange vers les États-Unis, où il risque jusqu'à 175 années de réclusion ...
Le journaliste australien a déjà été privé de liberté pendant onze ans au Royaume-Uni : une année en résidence surveillée avec bracelet électronique, sept ans dans les locaux exigus de l’ambassade d’Équateur et trois ans à Belmarsh, connue pour être l’équivalent britannique de Guantánamo. Reconnaître la réussite de la stratégie de Washington jusque-là n’implique pas qu’il faille se résigner. Julian Assange est toujours vivant, nous pouvons encore l’arracher à son martyre. Autre aspect important : on sait également que le témoin-clé du département US de la Justice, l’Islandais Sigurdur Ingi Thordarson, a avoué avoir menti pour incriminer Assange. Cet ancien bénévole de WikiLeaks, qui a dérobé 50 000 dollars à l’organisation, coopérait avec le FBI depuis 2011. WikiLeaks estime qu’elle « restera à jamais dans les mémoires comme une complice des États-Unis dans leur volonté de faire du journalisme d’investigation une entreprise criminelle ». On notera au passage que les médias français ne se sont pas précipités pour rendre compte de ces faits. La liste des flétrissures est interminable. Précisons que le journaliste avait fait un micro-AVC lors d’une audience en octobre à cause du stress. Dix-huit chefs d’accusation pèsent sur le fondateur de WikiLeaks, la plupart en lien avec l’Espionage Act, une loi interne américaine de 1917. Rappelons que sur les millions de documents révélés par WikiLeaks, pas un n’a été identifié comme inauthentique. Pour une réfutation des principales critiques et objections, voir notamment le livre Julian Assange et WikiLeaks : le combat du siècle pour la liberté d’informer (Les Mutins de Pangée, 2021), qui accompagne le DVD du salutaire documentaire Hacking Justice – Julian Assange de Carla López Rubio et Juan Pancorbo (2021). Le film, sorti en salle en novembre 2021, fait encore l’objet de projections-débats ici et là en France. La remise en liberté d’Assange est malgré tout refusée sous prétexte que les États-Unis annoncent qu’ils vont faire appel ; et sa détention provisoire continue donc pour une durée indéfinie. Washington conteste les conclusions de l’expertise psychologique d’Assange et présente des « garanties » à la justice britannique : Assange bénéficierait de soins physiques et psychologiques appropriés en prison ; il ne serait pas soumis à ce qu’on appelle les « mesures administratives spéciales » (SAM), qui sont des mesures d’isolement extrême habituellement réservées aux terroristes ; il aurait la possibilité de purger sa peine en Australie en cas de condamnation. Le gouvernement britannique a donné hier son feu vert à l’extradition de Julian Assange vers les États-Unis, où il risque jusqu’à 175 années de réclusion pour avoir publié des révélations d’intérêt public sur les méfaits de la politique étrangère de Washington. L’équipe de défense du fondateur de WikiLeaks va faire appel mais les possibilités de recours s’épuisent et le journaliste a déjà passé plus de trois ans dans la prison de haute sécurité de Belmarsh avec une santé déclinante... Une mobilisation d’ampleur est nécessaire pour faire de la persécution de Julian Assange l’affaire Dreyfus de notre temps.
C'est une journée noire pour la liberté de la presse et pour la démocratie britannique. En effet la ministre de l'Intérieur, Priti Patel, vient d'autoriser ...
En effet la ministre de l’Intérieur, Priti Patel, vient d’autoriser l’extradition de Julian Assange, le fondateur de Wikileaks, vers les Etats-Unis où les charges qui pèsent contre lui l’exposent à 175 ans de prison. Les juges de la Haute Cour et la ministre de l’Intérieur britanniques sont restés sourds aux appels de nombreuses personnalités (prix Nobel de la paix, Commissaire aux droits de l’Homme du Conseil de l’Europe, ONG de défense des droits…). Pourtant, ce qui se joue avec cette menace de plus en plus proche de l’extradition de Julian Assange c’est tout simplement la liberté de la presse et le droit d’informer, sans lesquels il n’est pas de fonctionnement démocratique. Julian Assange est pourchassé par la justice américaine et privé de liberté depuis dix ans pour avoir diffusé des documents militaires classifiés prouvant les exactions et crimes de guerre de l’armée américaine en Irak et en Afghanistan.
Londres a autorisé vendredi l'extradition de l'Australien vers les Etats-Unis, où il risque 175 ans de prison.
Sa famille et ses partisans estiment qu’il a toujours été un journaliste et un défenseur des libertés de la presse et d’expression. Nous bénéficions d’un soutien important au sein des nations européennes », a déclaré Gabriel Shipton, frère de Julian Assange, lors d’un point de presse à New York, en pleine rue, devant le consulat général britannique à Manhattan. Le gouvernement britannique a annoncé vendredi avoir signé le décret d’extradition vers les Etats-Unis du fondateur de WikiLeaks, qui va faire appel.