En voyant les images de Kate de Cambridge essayant de contrôler en douceur les pitreries de Louis, son petit garçon de 4 ans, lors du jubilée le week-end ...
En me concentrant à fond, je trouve que je progresse (Il ne me reste plus qu’à être capable de les associer à leurs visages la prochaine fois... Je me suis demandé si ces gens avaient ou avaient eu des enfants pour parler comme ça. Et je me suis souvenue des miens au même âge, capables de passer du statut d’ange à démon en un clin d’œil, surtout en public (ah, les crises de « jambes molles » au supermarché !) et de ma façon de réagir, loin d’être aussi douce que celle de Kate. On lui reproche de ne pas avoir « géré » Louis, qui lui a fait un pied de nez et a tenté de lui fermer la bouche avec sa menotte. Le lendemain de cette épiphanie (chouette, mes enfants ne sont pas princes du sang) j’ai lu un papier sur elle.fr qui m’a enchantée. Deux pédopsys répondent au « Louis-gate » et disent exactement ce que je pense. L’avis d’AGA : En ce moment je travaille ma capacité à retenir les noms des gens que je rencontre. Je l’ai revu à une fête d’école, au même âge que le jeune Cambridge, se tortillant comme un ver de terre dans son costume de pirate, puis léchant les joues de toutes les petites filles présentes (pourquoi, Paulo ?) Bref j’ai été archi contente de n’être pas la future reine d’Angleterre. Dès lundi, sur les réseaux sociaux, des voix outrées et courageusement anonymes dénonçaient un « gamin mal élevé », « ingérable, comme tous les gosses gâtés », « une attitude inquiétante », « la mère qui manque d’autorité » etc.