En 1979, quand sort « Flic ou voyou », la star est devenue un véritable produit de vente. Derrière cette mutation, une association avec un homme de l'ombre, ...
Elle en fait le créateur de « La PME Belmondo » et lui attribue « la vraie raison du succès de Belmondo ». L’acteur, piqué au vif, va mettre fin à leur relation. « L’alpagueur », « Flic ou voyou » proposé ce soir, « Peur sur la ville », « Le professionnel », « Le marginal » imposaient sur l’affiche la marque Belmondo, flingue en évidence, gros bras et regard sévère. Des films aux scénarios interchangeables, où il jouait la plupart du temps un flic solitaire mettant la pâtée aux gangsters à coups de bagarres, de fusillades et de poursuites reposant moins sur ses qualités d’acteur que de cascadeur. Au début des années 80, il était surtout devenu le redresseur de torts numéro un du box-office, quand il ne faisait pas le « Guignolo » de service.