Un quart d'heure, c'est la durée du warm-up, une session destinée à vérifier que tout fonctionne bien sur les voitures qui prendront le départ à 16 heures, ...
Un warm-up qui s’avérait nécessaire pour Romain Dumas qui partait en tête-à-queue à Mulsanne (Glickenhaus 007 LMH #708), et pour Corvette dont la #63 connaissait très vite un pépin mécanique qui ne l’autorisait qu’à rejoindre son stand au ralenti. Remplaçant de Philippe Cimadomo, Nyck de Vries a pris le volant de l’Oreca 07-Gibson #13 de TDS Racing x Vaillante. L’espoir néerlandais a pu parcourir quelques encâblures avant que le circuit ne soit placé sous régime de drapeau jaune en raison de plusieurs incidents simultanés. C’est d’abord Nico Müller sur l’Oreca 07-Gibson #10 qui tirait tout droit à Indy, avant que Laurents Hörr sur la #3 ne parte à la faute à la sortie de la chicane Dunlop, et qu’Alex Brundle sur la #34 d’Inter Europol Competition ne rentre au ralenti, portière gauche ouverte, dans les Hunaudières. Quinze minutes, cela ne laisse le temps qu’à un très court programme.
Les bolides des 24 heures du Mans 2022 ont repris la piste ce matin pour disputer un petit warm up de 15 minutes. En si peu de temps, cela n'a pas empêché ...
La Porsche 911 RSR n°92 de Kévin Estre, l'équipier de Laurens Vanthoor, est 3ème du GTE-Pro mais avec un chrono en... Meilleur temps en GTE-Pro pour la Corvette n°63 de Taylor-Garcia-Catsburg. Dans les GT, de nombreuses voitures ont fait un seul tour chronométré au ralenti ou sous régime de neutralisation, ce qui fait que les écarts sont abyssaux. Troisième temps pour la Toyota GR010 n°8 de Buemi-Hartley-Hirakawa devant... 4:53. Encore plus lent pour la Ferrari Iron Dames n°85 de Sarah Bovy qui a bouclé son meilleur tour en... La majorité des équipes ont pris part à ce warm up pour s'assurer que tout aille bien. La plupart ont seulement fait un tour d'installation pour valider que leur voiture tourne rond en vue de la course.
Franck Dezoteux ne cache son admiration envers Michael Schumacher, avec son casque hommage au septuple champion du monde de Formule 1. Le gentleman driver ...
Endurance-Info vous offre un annuel des 24H du Mans 2022. Pour cela, il vous suffit de nous donner vos pronostics pour cette 90e édition des 24H du Mans.
- LMP2 Pro-Am - LMP2 Endurance-Info vous offre un annuel des 24H du Mans 2022.
Les 24 Heures du Mans 2022 se lancent ce samedi 11 juin pour la 90e édition. Après une année à huis clos et une autre avec jauge, les 62 voitures et les 186 ...
La Parade des pilotes des 24 Heures du Mans (Sarthe) avait manqué. La foule était au rendez-vous ce vendredi 10 juin 2022 pour voir défiler les 186 pilotes engagés dans la célèbre course et près de 160 voitures : celles qui vont s'affronter dès samedi 11 juin 20... En attendant le départ de la course, le public attend de mille et une façons ! Place des Jacobins, le défilé a commencé notamment par l'apparition d'une voiture estampillée 24 Heures du Mans transportant le trophée tant convoité. Pendant près de deux heures, les voitures de course défileront da... Il y a des sourires chez Porsche après le top départ des 24 Heures du Mans : cinq voitures de l'écurie allemande sont en tête dans la catégorie GTE-Am pour le moment, après plus de trois tours de course. C’est même la rivalité entre les deux voitures du constructeur japonais qui a pimenté ces dernières années, la n°7 de Kamui Kobayashi, Mike Conway et José Maria Lopez mettant fin à des années de malchance en s’imposant en 2021. Alpine se présente en tout cas comme le rival naturel de Toyota, qu’il devance au classement du Championnat du monde d’endurance (WEC) après deux courses. Dans la catégorie reine, les Toyota, qui partaient en première ligne, n'ont pas commis d'erreur sur le premier tour, avec la 8 devant la 7. Nombreux sont les spectateurs du monde entier à avoir fait le déplacement jusqu’en Sarthe pour assister à la mythique course d’endurance automobile ce week-end. Pas de chance pour la Ferrari 488 n°85 d'Iron Dames, victime d'une crevaison dans les premiers tours de piste. La voiture est actuellement en bas de classement chez les LMP2. Suivez l’intégralité de la course en direct. Les Hypercars commencent à rentrer aux stands également ! Ce sera donc entre 11 et 12 tours pour elles, en moyenne.
Parmi les 186 pilotes engagés pour cette édition, onze sont d'anciens pilotes de Formule 1. Henri Pescarolo, ancien pilote de F1 et quatre fois vainqueur des ...
Ce n’est jamais bon pour l’image du pilote, mais il faut parfois se mettre un peu moins en valeur pour gagner », prévient la légende des 24H du Mans. Parce que si les plans de course varient souvent en F1, ils ne se passent tout simplement jamais comme prévu en endurance. Pour gagner les 24H du Mans, il faut un équipage très complémentaire, capable d’aller aussi vite que des pilotes de F1, tout en étant capable de mieux s’adapter aux évolutions de course : les conditions atmosphériques, l’intensité de la course, la capacité des autres à gagner. Avec souvent de la pluie la nuit, du brouillard le matin, des ondées, du temps sec. Il faut faire des compromis sur les réglages de la voiture par exemple, parce que le but est qu’elle aille le plus vite possible, pas les pilotes pris individuellement. C’est-à-dire que le pilote de F1 gagne en son nom avant de faire gagner la marque, alors qu’en endurance, tu fais gagner la marque. Et parmi eux, onze anciens pilotes de Formule 1, considérée comme la catégorie reine du sport automobile, juste avant Le Mans, le Graal de l’Endurance. Et si ces deux catégories font rêver n’importe quel pilote, elles sont éloignées en termes d’approche de pilotage.
Le Néo-Zélandais Brendon Hartley a en effet offert une 8e pole position au constructeur japonais dans la Sarthe en devançant la voiture sœur et l'Alpine A480.
Ce samedi après-midi, c’est la Toyota N°8 qui amènera avec elle le peloton des 24 Heures du Mans 2022. 24 Heures du Mans La grille de départ des 24 Heures du Mans 2022
Jean Glorieux a décroché l'or en Porsche Sprint tandis que WRT a manqué la victoire de peu au Road to Le Mans.
L'occasion pour les deux néerlandophones de prendre une photo ensemble. Pas de Belge en Road to Le Mans cette année mais WRT alignait néanmoins une Audi R8 LMS Evo pour les Français Arnold et Maxime Robin. A chaque fois, l'Audi blanche et bleue a raté de peu la victoire en GT3, butant respectivement sur la Porsche 911 Ebimotors et la Honda NSX GMB Motorsport. Les victoires au scratch sont revenues à Spirit of Leman avec Tom Dillmann et Alex Mattschull dans la course 1 et à COOL Racing avec Duncan Tappy et Michael Benham dans la course 2. En Porsche Sprint Challenge, compétition réservée aux gentlemen drivers et regroupant des 911 et des Cayman de compétition, Jean Glorieux s'est offert une mise en bouche avant de disputer ses premières 24 Heures. Le Courtraisien, engagé sur une 992 GT3 Cup, a terminé 2ème de la course 1 derrière le pilote émirati Bashar Mardini avant d'enchaîner avec une victoire dans la course 2.
Avant le grand départ des 24 Heures du Mans 2022 à 16 h, les voitures ont pris la piste dans la matinée pour le warm up. Toyota, avec sa n°7, a largement ...
Le changement de BoP à la veille des 24 Heures du Mans a suscité un étonnement non feint chez Alpine.
Cela s'est d'ailleurs parfaitement traduit dans le troisième secteur, où l'A480 faisait la différence par rapport à la Toyota et à la Glickenhaus dans les esses Porsche, mais y rencontrait régulièrement du trafic. "On estime qu'il y aura a minima un tour d'écart avec les Toyota sur un relais", avançait le directeur de l'équipe. "Les Slow Zone, Safety Car et Full Course Yellow peuvent faire que ça évolue." Lorsque le départ des 24 Heures du Mans sera donné à 16 heures ce samedi, l'Alpine de Nicolas Lapierre, Matthieu Vaxiviere et André Negrão roulera dans une configuration encore jamais vue sur cette piste. Le chrono de Nicolas Lapierre en Hyperpole, à moins d'une demi-seconde de la pole position, a-t-il précipité la perte de l'équipe tricolore ? Difficile de ne pas le penser. Alors que jeudi la modification redonnait un peu de puissance à Alpine, le boomerang est revenu vendredi à haute vitesse. B.D., Le Mans - C'est une petite bombe qui est tombée vendredi dans le paddock des 24 Heures du Mans, aux alentours de 16 heures.
Pour l'heure, le plus jeune participant de l'histoire des 24 Heures du Mans, Joshua Pierson, pilote de la LMP2 n°23 de United Autosport USA, pointe 20e à 1 tour ...
La Toyota n°7 de Conway au stand. Moment délicat pour la Toyota n°8 de Buemi dans les esses Porsche. Le Suisse a mordu à l'extérieur à l'entrée, mais il a bien corrigé sa trajectoire. Son avance de plus de 3 secondes se réduit à 0"8. Premier changement de leader dans cette course : la n°8 de Buemi ressort des stands juste derrière la n°7 de Conway. Peut-être y a-t-il eu des problèmes sur la voiture de Buemi, avec un peu survirage ; peut-être qu'il a été trop agressif au niveau de son pilotage. Tom Kristensen, 9 fois vainqueur des 24 Heures du Mans, consultant Eurosport : "Buemi a pris un bon départ. Il a été agressif, il a essayé de s'échapper. Il était un peu plus rapide au départ. Il avait 3"5 d'avance sur Conway qui a réussi à revenir.
Motorsport | Endurance | Après une heure disputée dans ces 24h du Mans 2022, la Toyota n°7 a profité de la première salve de ravitaillements pour prendre la ...
Il leur sera difficile de jouer la victoire désormais, même s’il reste bien sûr encore beaucoup de temps pour remonter. Les écarts sont encore relativement faibles, l’Alpine affichant un retard de 30 secondes sur la Toyota n°7. Après une heure disputée dans ces 24h du Mans 2022, la Toyota n°7 a profité de la première salve de ravitaillements pour prendre la tête juste devant la n°8 dans la catégorie Hypercar, mais l’écart reste très serré entre les deux prototypes japonais.
Quelques secondes après Brandon Hartley, Romain Dumas a amélioré à son tour le meilleur tour en course. Au volant de la Glickenhaus 708, le Français a complété ...
-La catégorie GT se divise en deux groupes : LMGTE Pro avec des voitures de séries améliorées et préparées par des constructeurs (Porsche, Corvette, Ferrari, Aston Martin). Ces sept bolides sont beaucoup moins rapides que les deux précédentes classes, autour de 3'50'' au tour. Enfin, à l'échelon inférieur, on retrouve les LMGTE Am, présentant des caractéristiques similaires mais avec des équipages amateurs. Ces voitures, qui flirtent avec les 340 km/h en vitesse de pointe dans la ligne droite des Hunaudières, devraient boucler un tour de circuit en 3'30'' environ.
La Toyota n°8, avec Sébastien Buemi à bord, a gardé la tête des 24 Heures du Mans au départ de la course à 16 h. L'Alpine, très prudente, a été dépassée par ...
Bon départ en revanche pour Charles Milesi dans la Richard Mille Racing, qui était cinquième de sa catégorie. En LMP2, il y a eu un peu de grabuge avec la sortie de piste de la United Autosports n°22 avant même le premier virage. Sous le soleil et devant des tribunes pleines, contrairement à l'an dernier, 62 pilotes ont pris le départ des 24 Heures du Mans samedi, à 16 h.
Pour ne rien rater des 24 Heures du Mans 2022, que vous soyez sur place ou ailleurs, Motorsport.com vous accompagne et vous informe directement sur place.
Motorsport | Endurance | Nous avons désormais atteint la fin de la quatrième heure de la 90e édition des 24h du Mans sur le Circuit de la Sarthe, et Toyota ...
Les trois Ferrari ferment toujours la marche. Dans la catégorie LMP2, la Jota n°38 occupe toujours la tête de l’épreuve avec une marge assez confortable, puisque la n°5 du Team Penske est deuxième à près d’une minute 30. L’Alpine était juste derrière mais vient malheureusement de s’immobiliser au garage, avec visiblement un problème technique à régler avant de pouvoir reprendre la piste.
Les Toyota GR010 étaient largement en tête des 24 Heures du Mans, samedi, après quatre heures de course, la n°8 devant la n°7. L'Alpine a perdu 13 minutes ...
La première Glickenhaus, la 708 (Romain Dumas) était à 1'02, et la seconde, la 709 (Ryan Briscoe) à près d'un tour. En LMP2, la JOTA n°38 était à la première place, et la Richard Mille Racing de Charles Milesi pointait au 4e rang de la catégorie. Sébastien Ogier a fait un relais d'1 h 39. Les deux protos japonais ont pour le moment fait cinq arrêts au stand.
Le constructeur a en tout cas parfaitement entamé ces 24 Heures du Mans 2022 en privatisant la première ligne avec ses GR010 N°8 et N°7 devant l'Alpine A480 N° ...
Pour la dernière des Pro aux 24 Heures du Mans, les constructeurs pourraient se livrer une bataille digne de ce nom. En GTE Pro, le duel entre les Corvette, les Porsche et les Ferrari promet déjà beaucoup lors de ces 24 Heures du Mas. Au coude-à-coude après la mise à jour de la BoP ce vendredi. Le moment tant attendu est arrivé ! Ce samedi se disputent les 90e 24 Heures du Mans de l’histoire, les dernières avant l’édition du centenaire et l’arrivée des LMDh l’année prochaine.
Après quatre heures, soit au sixième de la course, les deux Toyota GR010 Hypercar caracolent toujours en tête, la N°8 du poleman Brendon Harrtley ayant ...
Auteur d'un bon premier relais, Dries Vanthoor a relayé Mirko Bortolotti et complète le podium provisoire sur la première des Oreca WRT à 2'12. Les deux autres cravachent pour revenir après les ennuis de début de course. Après un super début de course de Laurentz Horr sur l'Oreca DKR, notre compatriote Jean Glorieux a endommagé son capot lors d'une petite faute. Elle devance la Prema et la TDS sur laquelle Nyck De Vries, invité à remplacer en dernière minute l'exclu Cimadomo, a effectué un magnifique relais. La « fausse » Hypercar chute ainsi au 27ème rang absolu. En GTE-AM, deux Porsche (la Weathertech de Andlauer-Merrill-Cooper en tête) devancent deux Aston Martin. Après un excellent début de course le propulsant de la 11ème à la 1ère place, Alessio Picariello a retrouvé sa position de départ après le relais de son équipier Bronze Ryo Haryanto. Jan Heylen est lui retombée seizième après avoir cédé son volant à son équipier amateur. Après 8h, la première des Glickenhaus, la 709 de Mailleux-Westbrook-Briscoe pointe déjà à deux tours, tandis que la voiture soeur a perdu cinq tours suite à une sortie d'Olivier Pla à la sortie des Esses du Tertre Rouge. L'Alpine accuse elle un retard de huit tours déjà suite à ses problèmes de boîtier d'embrayage et de bobine.
À 22 h samedi, les Toyota étaient toujours tranquillement installées en tête des 24 Heures du Mans. L'Alpine était loin derrière, à sept tours.
La n°7 de Kamui Kobayashi avait parcouru 97 tours et comptait sept secondes d'avance sur la n°8 de Ryo Hirakawa, avec 8 arrêts au stand pour chacune des deux voitures. Les deux Glickenhaus étaient à moins d'un tour, avec 2'42 de retard pour la 708 (Luis Felipe Derani) et 3'23 pour la 709 (Ryan Briscoe). En revanche, l'Alpine comptait sept tours de retard après être passée deux fois au stand en moins d'une demi-heure pour régler des soucis techniques, notamment sur l'embrayage. Elle occupait la 28e place du classement. Les premières heures de la 90e édition des 24 Heures du Mans ont souri à Toyota. Le constructeur japonais avait ses deux GR010 aux deux premières places à 22 h, alors que soleil se couchait lentement pour laisser place à la nuit.
Motorsport | Endurance | La nuit est tombée sur le Circuit des 24 Heures du Mans, où la course vient de passer sa septième heure. Le crépuscule a été animée ...
La Corvette n°64 suit au classement, mais elle accuse deux minutes de retards sur sa prédécesseur au classement après son avarie. La Ferrari AF Corse n°51, qui a évité les problèmes, va s’emparer de la troisième place. L’unique prototype de Prema menait jusqu’à 23h pour une poignée de secondes, mais vient de s’arrêter et laisse le commandement à la Jota n°38. Ryo Hirakawa a fait un excellent relais au coucher du soleil, son premier aux 24 Heures du Mans, et a laissé la main à Sébastien Buemi. Les Porsche de Kevin Estre (n°92) et Gianmaria Bruni (n°91) héritent donc de la tête qu’occupait Antonio Garcia, et de la deuxième place. Le crépuscule a été animée pour l’ensemble des catégories, et la bataille est toujours très intense en tête du classement général.
Sans attendre, Toyota Gazoo Racing place immédiatement ses deux voitures en tête devant le duo de Glickenhaus 007 LMH. L'Alpine A480-Gibson #36 peine quelque ...
Matteo Cairoli (Porsche #46) prend le meilleur départ et s’empare un court instant de la tête en LMGTE Am. La Ferrari #61, partie en pole, rétrograde de sept places dans la première heure. La Ferrari #74 Riley Motorsports souffre et se voit dépasser pas les leaders du LMGTE Am. Nick Tandy (Corvette #64), en tête, visite le bac à graviers du côté de Mulsanne, mais sans conséquence ; il est toujours en tête après quatre heures. La #41 est victime d’une crevaison à la suite de ce même incident. En cause, un problème de boîte de vitesses apparemment lié à la chaleur. À noter que la température de l’asphalte est très élevée (56,2°C), des conditions que les pilotes n’ont pas eu l’occasion d’expérimenter durant cette semaine d’essais. Après 45 minutes de course, la Toyota GR010 Hybrid #7 passe en tête pendant que la #8 ravitaille. À 19 h 10, elle se fait doubler par la Glickenhaus #709 et (re)passe cinquième. Juste avant 20 heures, cette même Alpine est rentrée dans le box.
Alessio Picariello et Jan Heylen ont mis les grands gaz en GTE-Am !
En GTE-Am, Alessio Picariello a réalisé une formidable remontée sur la Porsche 911 RSR n°99 Hardpoint pour s'emparer de la tête de la catégorie alors qu'il démarrait 11ème de sa classe. Chargé de prendre le départ sur la Porsche 911 RSR n°88 Dempsey-Proton, Jan Heylen a également fait une belle remontée jusqu'en 6ème position. Les deux Toyota GR010 paradent en tête avec la n°8 de Buemi-Hartley-Hirakawa précédant la n°7 de Lopez-Conway-Kobayashi pour quatre secondes.
Comme attendu, Toyota était en tête des 24 Heures du Mans samedi mais après cinq heures de course, la N.7 et la N.8 ne semblaient pas près de se départager, ...
Jusqu’à ce que la N.7, désormais pilotée par Kamui Kobayashi, ne repasse devant vers 21H15 (19H15 GMT), encore une fois à l’occasion des ravitaillements. Et un record a été battu samedi: l’Américain Josh Pierson est devenu à 16 ans, 3 mois et 25 jours le plus jeune pilote de l’histoire de la course en prenant le volant de l’Oreca N.23 (United Motorsport) pendant deux heures en fin d’après-midi. Victime de soucis techniques, son équipe, très performante lors des premiers essais, pointait à la 12e place des LMP2. A l’échelon inférieur, l’Oreca N.38 de l’équipe Jota menait toujours la danse en LMP2, avec plus de 1 min 30 d’avance sur l’Oreca N.9. A son volant, l’ancien pilote de Formule 1 Robert Kubica avait effectué le meilleur départ, doublant même l’Alpine. Sous le soleil couchant, les deux Glickenhaus restaient en revanche en embuscade, avec 1 à 3 minutes de retard sur les deux stars japonaises, malgré un court arrêt au garage de la N.709 à un moment où le drapeau jaune ralentissait toutes les voitures. Mais peu avant 20H00 (18H00 GMT), le tenant du titre Jose Maria Lopez, au volant de la N.7, a traversé le bac à gravier dans la chicane Daytona, laissant Brendon Hartley, revenu à sa portée, lui passer devant avec la N.8. Partie en deuxième position, la N.7, victorieuse l’an dernier, est parvenue à doubler la N.8, victorieuse des trois éditions précédentes, à l’occasion du premier arrêt aux stands des deux voitures, et à prendre jusqu’à 30 secondes d’avance.
Motorsport | Endurance | Peu après notre résumé des 180 minutes ayant mené à la fin de la septième heure, nous avions laissé les deux Toyota GR010 en tête ...
24h du Mans, H+1 : La Toyota n°7 prend la tête devant la n°8 La 708 pointe désormais au 17e rang, et peut raisonnablement espérer remonter jusqu’au podium général. 24h du Mans, H+4 : Toyota conserve la tête devant les Glickenhaus
(Belga) Les deux Toyota GR010 Hybrid mènent la 90e édition des 24 Heures du Mans après six heures de course. Le Belge Laurens Vanthoor (Porsche 911 ...
Du côté belge, Laurens Vanthoor est celui qui s'en tire le mieux avec la 2e place du GTE-Pro à 29sec de la Corvette de tête. En LMP2, l'Oreca WRT de Dries Vanthoor est 10e à un tour de la tête. Les deux autres voitures de l'équipe belge ont été ralenties par un accrochage lors du premier tour. Le Belge Laurens Vanthoor (Porsche 911 RSR) occupe la 2e place en GTE-Pro. Début de course difficile pour Sarah Bovy (Ferrari) qui est 13e après une crevaison et un accrochage avec un prototype.
Les deux voitures japonaises se suivaient dans la même seconde après un gros tiers de la course.
l'autre Toyota. Les deux hypercars ont alterné en tête à plusieurs reprises, à la faveur d'une meilleure sortie des stands ou d'un passage dans le bac à gravier. L'écurie américaine, présente sur le circuit de la Sarthe pour la deuxième année seulement, restait cependant le principal concurrent du constructeur japonais. À lire aussi Pourquoi les 24 Heures du Mans restent la course la plus prestigieuse au monde Repartie après treize minutes de réparations et un changement de pilote, elle avait dû s'arrêter à nouveau plus brièvement vers 20H40 (18H40 GMT), a fini un temps dans les graviers, et accusait plus de huit tours de retard. Les deux Toyota étaient au coude à coude en tête des 24 Heures du Mans samedi peu après minuit, alors que la Glickenhaus N.708 qui les poursuivait a perdu du temps après un tête à queue. Après huit heures de course, la seule voiture à avoir disputé la tête de la course avec la Toyota N.8, partie en pole, est...
Toyota continue de dominer la 90e édition de la plus grande course d'Endurance, samedi dans la Sarthe.
Toujours mieux que l'irrémédiable retard de 6 tours pris par Olivier Pla, piégé semble-t-il au virage du Tertre rouge par une casse qui l'a envoyé en tête-à-queue et finalement dans un mur. Avec les pilotes japonais Ryo Hirakawa et Kamui Kobayashi aux commandes des n°8 et 7, les deux équipages ont fait une nouvelle fois basculer la course quand le premier nommé, intégré au team cette année, a du s'incliner devant son expérimenté compatriote dans le 85e tour, à 21h15. La n°8 leader possédait une seconde d'avance sur la n°7 après six échanges de positions.
Avant même la tombée de la nuit, l'Alpine A480 a sombré au classement après avoir connu plusieurs ennuis mécaniques.
Retombée au 35e rang, à six tours de la Toyota n°7 menant la course tambour battant devant sa sœur jumelle (n°8) à quelques secondes et deux Glickenhaus performantes, mais déjà à plus d'une minute, l'Alpine n'avait plus qu'une option pour sauver son édition 2022 : l'attaque totale. Et la série noire se poursuivait avec une première alerte sur l'embrayage, obligeant Mathieu Vaxivière à entrer au box pour une première intervention des mécanos juste avant vingt heures. Une mauvaise entame qui donnait le triste ton des premières heures de course.
Les deux Toyota ont continué à se relayer toute la nuit en tête des 24 Heures du Mans, avec une large avance sur l'ensemble de la concurrence et un léger ...
Au petit matin, l'Alpine accusait un retard de 11 tours et pointait à la 21e place au classement général. En LGTME Am, l'Aston Martin N.33 de TF Sport a pris les commandes en LGTME Am, aux dépents de la Porsche N.73 de WeatherTech, en tête jusqu'au milieu de la nuit. Dernière hypercar engagée, avant le retour de plusieurs écuries de renom dans la catégorie reine l'an prochain pour le centenaire, l'Alpine N.36 n'a pas pu lutter. En LGMTE Pro, la Porsche N.92 a profité des déboires des Corvette pour s'envoler en tête. Longtemps en tête, la Corvette N.63 a perdu beaucoup de temps dans la soirée après une crevaison qui a endommagé la voiture, obligée de revenir péniblement à son stand, où les réparations ont pris plus d'une heure. A moins d'incidents majeurs parmi les hypercars, le constructeur français risquait de perdre la tête du classement du championnat du monde d'endurance, qu'il occupait avant la course. Les deux Toyota ont continué à se relayer toute la nuit en tête des 24 Heures du Mans, avec une large avance sur l'ensemble de la concurrence et un léger avantage pour la N.7 dimanche au lever du soleil.
Le mano a mano entre les deux Hypercars nippones rythme la tête d'une course malgré par les déboires d'Alpine et du bizuth Michael Fassbender.
En LGMTE Pro, la Porsche N.92 a profité des déboires des Corvette pour s'envoler en tête. Longtemps en tête, la Corvette N.63 a perdu beaucoup de temps dans la soirée après une crevaison qui a endommagé la voiture, obligée de revenir péniblement à son stand, où les réparations ont pris plus d'une heure. À l'échelon inférieur, l'Oreca N.38 de l'équipe Jota menait la danse en LMP2 depuis samedi après-midi, avec un tour d'avance sur l'Oreca N.9 de Prema Orlen. Au petit matin, l'Alpine accusait un retard de 11 tours et pointait à la 20e place au classement général. Sans grande surprise, il y a Toyota et les autres depuis le départ des 24 Heures du Mans ce samedi (16h). Les deux monoplaces nippones ont continué à se relayer toute la nuit en tête de la course, avec une large avance sur l'ensemble de la concurrence et un léger avantage pour la N.7 dimanche au lever du soleil. L'écurie américaine, présente sur le circuit de la Sarthe pour la deuxième année seulement, restait cependant le principal concurrent du constructeur japonais. Souvent roue dans roue, les deux voitures se sont plusieurs fois chipé la première place à la faveur d'un écart de conduite de l'une ou d'un arrêt aux stands mieux négocié de l'autre. Dimanche vers 6H30 (4H30 GMT), la N.7, pilotée par Mike Conway, comptait moins de 30 secondes d'avance sur la N.8, avec Sébastien Buemi au volant.
Les 24 Heures du Mans ont atteint les trois quarts de leur déroulement. Ce dimanche 12 juin 2022, les deux Toyota monopolise toujours la tête de course. La.
Des commissaires de piste belges officient au Mans. Loïc, au virage Porsche, en fait partie.
Le constructeur nippon Toyota, qui s'est lancé samedi en pole position, rêve de rafler une cinquième victoire consécutive dans la Sarthe depuis 2018.
Dans la catégorie Hypercar, leur premier poursuivante - la Glickenhaus n°709 - se trouvait plusieurs tours derrière la Toyota n°8. Alors qu'elle a remporté les quatre dernières éditions des 24h du Mans, l'écurie Toyota, qui s'est élancée avec ses deux voitures des deux premières places samedi, rêve de réaliser la passe de cinq. La 90e édition de la plus célèbre course d'endurance se poursuit.
Motorsport | Endurance | Premier coup de théâtre sérieux du côté de Toyota, qui menait sans souci la catégorie Hypercar des 24 heures du Mans 2022 jusque là ...
Mais que s’est-il donc passé ? Il faut attendre quelques minutes pour le savoir : le directeur Rob Leupen confirme un souci de puissance moteur lié à la partie hybride. Après de très longues secondes d’immobilisation il réussit à repartir et à rejoindre son stand. 24h du Mans : Problème technique sur la Toyota n°7 !
Toyota, Jota, Porsche et Aston Martin pointent en tête des 24 Heures du Mans 2022 alors que le jour s'est levé sur le circuit sarthois.
Malgré tous les efforts des mécaniciens à la remettre en état, l’Américaine est 7e et dernière de la catégorie à 22 tours des 5 autres GTE Pro officielles qui roulent dans le même tour. En GTE Pro, la Porsche N°92 poursuit son petit bonhomme de chemin. Pas d’inquiétude toutefois pour le clan allemand. Enfin, en GTE Am, la domination de la Porsche N°79 du WeatherTech Racing depuis le début de la course a été interrompue la faute à l’Aston Martin N°33 du TF Sport. Au contact depuis quelques heures, la monture anglaise du trio Keating-Chaves-Sørensen a réussi à griller la politesse à la régulière à la N°79. Alors que le jour s’est levé, c’est toujours les Toyota qui pointent en tête de la course avec la n°7 de Mike Conway, Kamui Koboyashi et José Maria Lopez devant la n°8 de Sébastien Buemi, Brendon Hartley et Ryo Hirakawa. La Glickenhaus n°709 de Franck Mailleux, Ryan Briscoe et Richard Westbrook occupe la troisième place, à trois tours des prototypes japonais. L’ Alpine d’André Negrao, Nicolas Lapierre et Matthieu Vaxiviere est remontrée au 19e rang du classement général.
Motorsport | Endurance | Si la première partie de course et la nuit avaient été plutôt calmes, la matinée de l'édition 2022 des 24h du Mans a été ...
La lutte faisait rage entre la Ferrari AF Corse n°51 et la Corvette n°64 quand le prototype LMP2 d’AF Corse a percuté l’Américaine en ligne droite. Elle pointe en septième position, proche du top 5 et peut clairement espérer la quatrième place finale si rien ne vient perturber ses six dernières heures de course. L’Alpine, en revanche, continue son chemin de croix. A moins qu’un problème du genre ne touche la n°8, la course semble scellée entre les deux Toyota. Derrière, la Glickenhaus n°709 s’accroche toujours au podium, à quatre tours des leaders. ⏱️https://t.co/4J3q5Z45q3 @CorvetteRacing
Coup dur pour la Corvette n° 64, à 9 h 50. Entre les deux chicanes, la LMP2 d'AF Corse s'est décalée sur la GTE, la poussant dans le rail.
Motorsport | Endurance | C'est ce qu'on appelle boire le calice jusqu'à la lie. Déjà peu épargnée par des problèmes mécaniques hier, l'Alpine A480 est ...
La course de l’Alpine aura été très chaotique avec deux problèmes mécaniques successifs hier soir. Après une embardée dans les graviers, il a percuté les pneus avec l’avant gauche du prototype. L’équipe a entamé des réparations.
À 10 heures dimanche, les Toyota étaient toujours largement en tête des 24 Heures du Mans. Alors que l'Alpine a été victime d'un accident qui lui a encore ...
Il a pu repartir pour rejoindre les stands afin de réparer, mais a encore perdu de précieuses minutes alors que la voiture était lancée dans une remontée au milieu des LMP2 pour se rapprocher du top 10. Coup de théâtre en GTE Pro avec le violent accident de la Corvette n°64, qui était 2e juste derrière la Ferrari n°51. Alexander Sims a été touché par la LMP2 de François Perrodo dans la ligne droite des Hunaudières. Fin de partie pour la Chevrolet, qui laisse la 488 en tête avec 20" d'avance sur la Porsche n°91. En LMP2, la JOTA n°38 est toujours à la première place, avec un tour d'avance sur la Prema n°9 et deux tours d'avance sur la JOA n°28.
À mi-course, Toyota Gazoo Racing maitrise cette 90e édition des 24 Heures du Mans. Dans les trois autres catégories les équipes se livrent à une bataille à ...
La Porsche 911 RSR-19 #79 de WeatherTech Racing est toujours en tête de la catégorie LMGTE Am. Toutefois, l’Aston Martin Vantage AMR #33 de TF Sport fait le forcing pour chiper la première place aux américains. Marco Sørensen a amélioré le meilleur tour en course de la #33 à plusieurs reprises. La bataille fait aussi rage en catégorie LMP2. Si l’Oreca 07 - Gibson #38 de JOTA n’a pas lâché la tête de la course, les Oreca #9 et #31 de Prema Orlen Team puis de WRT sont très proches et maintiennent la formation britannique sous pression. La Glickenhaus 007 LMH #709 de Glickenhaus Racing tient la troisième place avec deux tours de retard sur les leaders.
La voiture du constructeur français a tapé dans le mur de pneumatiques au niveau des virages Porsche.
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La tombée de la nuit est apparue comme le point de rupture de la tranquillité pour les pilotes. Après un long passage au stand, José-Maria Lopez repart mais avec l’inquiétude de voir sa voiture le lâche en fin de course, à l’image des 6h de Spa-Francorchamps. Malheureusement, l’Alpine n’a pas réussi à refaire son retard au cours de la nuit. Tandis que le célèbre acteur Michael Fassbender a découvert la réalité de courir la nuit sur les routes de la Sarthe à l’occasion des 24h du Mans. Réputée pour sa fiabilité, l’Alpine A480 est méconnaissable. La voiture de l’équipage #36 est sous la proie des soucis mécaniques et perd un temps précieux bloqué dans son stand. La 90e édition n’a pas attendu pour s’intensifier. Dès le départ, la United Autosports #22 est sortie de la route après s’être faite tassée dans le peloton.
À 8 heures ce dimanche, les Japonaises connaissent un couac dans leur récital : la #7 est touchée. En LMGTE Pro, Porsche a craqué et Corvette en profite.
Julien Andlauer et Thomas Merrill sonnent la charge pour repositionner leur Porsche 911 RSR-19 #79 de Weathertech Racing en tête, devant la #99 de Hardpoint Motorsport et les Aston Martin Vantage AMR #98 et #33, dans cet ordre. Un quart d’heure plus tard, c’est le capot avant de la #31 de WRT qui est changé. Son pilote René Rast fait bon usage de cette nouvelle pièce en passant Emmanuel Collard (Oreca 07-Gibson #5 de Team Penske) pour le gain de la 5e place. La première des Glickenhaus est à quatre tours. Mais à 7 h 47, la marche des Toyota est arrêtée brutalement quand la #7 est stoppée peu après Arnage, puis dans son stand qu'elle est parvenue à rejoindre. À 4 heures ce matin, l’Oreca 07 - Gibson #27 perd sa roue avant gauche à Mulsanne. Steven Palette parvient à rallier son stand. Les positions sont finalement inversées à la faveur du 18e arrêt aux stands.
Après une nuit calme marquée par trois abandons sur soucis mécaniques, 59 voitures étaient encore officiellement en course pour rouler jusqu'à 16H00 (14H00 GMT) ...
Au petit matin, l’Alpine accusait un retard de 11 tours et pointait à la 21e place au classement général. Dernière hypercar engagée, avant le retour de plusieurs écuries de renom dans la catégorie reine l’an prochain pour le centenaire, l’Alpine N.36 n’a pas pu lutter. En LGTME Am, l’Aston Martin N.33 de TF Sport a pris les commandes en LGTME Am, aux dépents de la Porsche N.73 de WeatherTech, en tête jusqu’au milieu de la nuit. À moins d’incidents majeurs parmi les hypercars, le constructeur français risquait de perdre la tête du classement du championnat du monde d’endurance, qu’il occupait avant la course. En LGMTE Pro, la Porsche N.92 a profité des déboires des Corvette pour s’envoler en tête. Longtemps en tête, la Corvette N.63 a perdu beaucoup de temps dans la soirée après une crevaison qui a endommagé la voiture, obligée de revenir péniblement à son stand, où les réparations ont pris plus d’une heure. Les deux Toyota ont continué à se relayer toute la nuit en tête des 24 Heures du Mans, avec une large avance sur l’ensemble de la concurrence et un léger avantage pour la N.7 dimanche au lever du soleil.
Le premier quart de l'épreuve n'a guère été passionnant. La faute à une mauvaise BOP...