Outre la légende Robert Lewandowski, la Pologne, 26e nation Fifa, possède d'autres arguments à faire valoir.
Son nom est moins ronflant mais l’ailier du Lech Poznan (20 ans) est vu comme une promesse au pays. Malgré des statistiques tièdes avec l’équipe nationale (8 buts, 13 assists en 69 sélections), il reste sa plaque tournante, capable de faire basculer un match. Maurizio Sarri l’avait, un temps, considéré comme un joueur comparable à Kevin De Bruyne… Et il serait suivi par Liverpool.
Le 24 avril 2013, l'Europe découvre un phénomène. Le Borussia Dortmund affronte le Real Madrid en demi-finale aller de la Ligue des Champions. Pourtant favoris, ...
Capitaine de la sélection, joueur le plus capé (130 caps), meilleur buteur (75 goals), le n.9 a presque qualifié à lui tout seul la Pologne pour la Coupe du Monde en Russie, inscrivant 16 goals durant la campagne de qualifications (soit 64% du total de son équipe). Quand Lewandowski marche, c’est toute la Pologne qui sourit. Devant 75.000 supporters médusés, l’attaquant va faire passer la défense de Wolfsburg pour de vulgaires U17, inscrivant 5 buts en neuf minutes et inscrivant encore un peu plus son nom dans la légende. Le 22 décembre 2015, le Bayern est mené 0-1 sur sa pelouse face à Wofsburg. À la mi-temps, Pep Guardiola sort l’atout polonais de sa manche, et fait monter Robert Lewandowski au jeu. Sa force principale réside dans sa constance, puisqu’il marque en moyenne 30 goals par saison en Bundesliga depuis son arrivée en Bavière. Considéré par Lothar Matthäus comme "le numéro 9 le plus complet de la planète", Lewandowski est droitier mais marque aussi du pied gauche, possède un excellent jeu de tête et "une technique individuelle qui n’a rien à envier à celle des meilleurs milieux" comme l’explique son ancien coach au BVB Jürgen Klopp. Au début de la saison 2014, l’ogre munichois applique sa tactique favorite en matière de transfert, en recrutant les meilleurs joueurs de ses concurrents directs pour le titre. Sous les ordres de Jürgen Klopp, le Polonais prend une autre dimension et commence à être courtisé par les plus grands d’Europe.
1. Wlodzimierz Lubanski (Lokeren de 1975 à 1982 et RC Malines en 1985). Certainement le plus prestigieux de tous. Jusqu'en 2017, il était le meilleur buteur de ...
Appelé pour la première fois avec l'équipe première de Pologne en 1971, il fait partie du groupe qui décroche la médaille de bronze lors de la Coupe du monde en Allemagne de l'ouest en 1974. En Grèce, il s'offre trois fois les lauriers nationaux et une fois la Coupe. Apprécié par les bouillants supporters du Pirée, il disputera une centaine de rencontres avant de traverser la mer Egée pour rejoindre Ankaragücü.Dans la capitale turque, il n'est plus payé depuis trois mois et résilie son contrat moins d'un an après son arrivée. Il décide de conclure sa carrière dans sa ville natale, au Legia Varsovie, où il s'offre deux fois la Coupe nationale et une fois le championnat.Son frère, Marcin, sera resté plus longtemps dans notre pays. Ce dernier est cependant resté plus longtemps dans l'ouest du Hainaut, puisque lors de l'été 2002, Anderlecht décide de séparer les jumeaux pour attirer Michal à Saint-Guidon. Un bon coup pense-t-on à l'époque, mais au final, le latéral peinera à devenir indiscutable, sera trimbalé de gauche à droite et de droite à gauche avant de mettre le cap sur l'Olympiacos en 2010, avec deux titres de champion de Belgique dans sa besace. Il termine ensuite sa carrière dans son pays natal, au Wisla Cracovie (60 matches et deux buts entre 2017 et 2020) , avant d'envisager pendant un temps une reconversion, que certains qualifieront de naturelle, en MMA.Sélectionné pour la première fois avec la Pologne en 2002 (contre le Danemark), il attendra quatre ans et un duel amical contre les Emirats arabes unis pour ouvrir son compteur but. Il termine meilleur buteur du tournoi mondial devant Johan Neeskens et marque le but victorieux de la petite finale contre le Brésil. Deux ans plus tard, il fait aussi partie de la sélection qui se pare d'argent à l'olympiade de Montréal. Lors de l'été 1980, il rejoint Lubanski à Lokeren et aide le club waeslandien à s'offrir un titre de vice-champion de Belgique à la fin de la saison. Avec les Zabolami (les grenouilles), il va remporter sept titres de champion de Pologne, dont cinq consécutifs. Il va aussi disputer une finale européenne, la Coupe des vainqueurs de Coupe, la seule de l'histoire pour un club polonais, que le Gornik Zabrze perdra contre Manchester City. Il sera le meilleur artificier de cette campagne européenne, comme il le sera aussi à quatre reprises dans son championnat national où il marquera 228 fois lors de ses 315 apparitions sous le maillot Trójkolorowi.Wlodzimierz Lubanski est aussi devenu international à seulement seize ans et demi et reste le plus jeune de son pays à ce jour. Avec l'arrivée de John van den Brom, il perd sa place de titulaire et ne se met pas en évidence lorsqu'il est aligné en ratant des pénalties (une saison d'ailleurs maudite pour les Bruxellois aux onze mètres). C'est la fin de la belle aventure mauve pour Wasyl, prié de se trouver un autre employeur à la fin de l'année. Il aura disputé 194 matches pour le compte d'Anderlecht avec 22 goals à la clé. Il a aussi remporté quatre titres de champions (2007, 20010, 2012 et 2013), trois Supercoupes (2007, 2010, 2012) et même une Coupe de Belgique en 2008. L'ours de Poznan fait d'ailleurs honneur à sa réputation en marquant de la tête pour sa première sur la pelouse du Germinal Beerschot. Entre coups de casque salvateurs, comme lors d'un match à Tubize où Anderlecht sera contraint aux tests-matches contre le rival du Standard, et coups de coude contre les joueurs du club mosan lors de ces fameux duels pour le titre de champion, Wasyl va se tailler une réputation sulfureuse qui lui vaut d'être détesté par une grande partie des kop du Royaume.Sa double fracture ouverte de 8 cm du tibia et du péroné va cependant permettre de révéler une autre facette du natif de Cracovie. Celle d'un guerrier que l'on disait perdu pour le football et qui va réussir à retrouver les terrains à force de tenacité. C'est à partir de ce moment-là que sa popularité croît auprès des supporters bruxellois: les maillots floqués à son nom se vendent comme des petits pains et une chanson à sa gloire est entonnée à la 27e minute de chaque match durant sa revalidation. Marcin Wasilewski, son physique d'ours, sa tête de repris de justice et ses tatouages, apparaît comme trop limité pour aider le Sporting à briller sur la scène européenne. Lors du match de barrage de la Ligue des Champions contre Lyon, il coule comme l'ensemble de l'équipe et ses lacunes semblent plutôt l'amener vers un départ, malgré quelques buts de la tête qui avaient rendu de fiers services aux Mauves. Formé au Hutnik Cracovie, club de la ville où il a vu le jour en 1980, Wasilewski effectue ses débuts au Slask Wroclaw avant de porter les couleurs d'autres modestes formations polonaises comme le Wisla Plock et l'Amica Wronki, avant de rejoindre le Lech Poznan en 2006-2007. C'est sous ses couleurs nationales que sa carrière aurait pu s'achever prématurément en 1973 après une grave blessure subie après un duel avec l'Anglais Alan Ball , lors d'un match qualificatif comptant pour la Coupe du monde en Allemagne de l'ouest. Il reviendra dans le parcours et signera en 1975 à Lokeren. Au Daknam, il vit sans doute ses meilleures années et s'amuse sur la scène européenne. En sept ans, il décrochera un titre de vice-champion, fera trembler les filets adverses à 82 reprises en 196 matches et sera même rejoint par une autre star de son pays, Grzegorz Lato, en 1980. Jusqu'en 2017, il était le meilleur buteur de l'histoire de sa sélection avant d'être détrôné par l'inévitable Robert Lewandowski. Entre 1963 et 1980, Lubanski a porté à 75 reprises les couleurs de son pays pour 48 réalisations. Son ratio de 0,64 but par duel reste cependant supérieur à celui du roi Robert qui n'affiche qu'un "petit" 0,58 (soit 75 goals en 129 sélections). Né à Gliwice le 28 février 1947, Lubanski va effectuer ses débuts professionnels au Gornik Zabrze après avoir été formé dans sa ville natale. Certainement le plus prestigieux de tous.
Christopher Nkunku, aanvaller bij RB Leipzig, was volgens zijn collega's de beste voetballer in de Duitse hoogste klasse het afgelopen seizoen.
Real Madrid-spits Karim Benzema, landgenoot van Nkunku, werd verkozen tot beste speler ter wereld. Dat bleek uit een rondvraag bij Bundesliga-spelers van het Duitse voetbalmagazine Kicker. Nkunku scoorde dit seizoen 35 doelpunten en gaf 20 assists in 51 wedstrijden.