Libre de tout contrat depuis la faillite de l'Excel Mouscron, Parfait Mandanda aimerait retourner en France après de longues années dans notre championnat.
C’est aussi pour ça que j’aimerais bien revenir jouer en France" a-t-il déclaré dans les colonnes de Footmercato. Après deux petits passages au Dinamo Bucarest (2019) et à Hartford Athletic (2020), le gardien de but français est revenu à l'intérieur de nos frontières, à l'Excel Mouscron. Libre de tout contrat depuis la faillite du club, l'international congolais (dix sélections) souhaite retourner en France pour se relancer. Depuis son arrivée au Sporting de Charleroi en 2011, Parfait Mandanda a presque disputé l'intégralité de sa carrière dans notre championnat.
Les affaires non-résolues fascinent. Combien y en a-t-il en Belgique et comment sont-elles prises en charge? La situation, chez nous, ...
On pourrait dire des “very cold cases”… Ou des “unknown cases”… En tout cas, le manque de moyens financiers pour réaliser des autopsies – ou le manque de volonté politique d’allouer ces moyens – a une résultante claire. On a coffré l’auteur cinq ans plus tard pour tout autre chose.” Philippe Boxho loue par ailleurs les techniques ADN qui permettent de résoudre les affaires en les reliant grâce à des empreintes génétiques stockées dans des banques de données. Si l’on prend ce taux et qu’on l’applique à la moyenne des homicides, on obtient par déduction le nombre approximatif de cold cases qui frappent les annales judiciaires de notre pays. Les deux exemples cités par le docteur comportent en eux-mêmes un début d’explication du sous- entendu “encore faut-il que la justice ait connaissance de l’homicide”. La police n’y croyait pas, au contraire de la médecine légale. Il développe. “On ne réalise pas des autopsies en suffisance. On n’a jamais trouvé l’auteur de ce crime épouvantable. La police judiciaire est née en 1919 des suites de ce cold case…” Depuis, d’autres cold cases sont venus parsemer la vie judiciaire de notre pays. Et puis, 15 ans plus tard, on coince des gars dont un dénonce l’auteur de ce meurtre. Non pas pour poursuivre un auteur, puisque la prescription jouait, mais pour les familles des victimes. La presse française rapportait, en fin d’année dernière: “En France, en 2016, le taux d’élucidation pour les homicides s’élevait à 70,3 %, contre 62,6 % en 2020”. Le Japon serait à 95 % d’élucidation, les États-Unis à 60 %. Bref, 80 % est le taux qu’on retiendra pour notre pays. La fillette avait été violée et on lui avait fait ingérer une grande quantité d’alcool. Un auteur parisien en a fait un livre. Le meurtre de la champignonnière, les tueurs du Brabant, sur lesquels Christian De Vroom avait enquêté. Mais aussi le dépeceur de Mons, l’affaire Kim et Ken et de nombreux autres crimes sans coupable. “Mais mon métier, Monsieur, je le dois justement à un cold case!” Christian De Vroom, le légendaire policier qui fut le “premier flic de Belgique” au tournant du siècle, raconte, avec son légendaire talent de conteur le premier cold case connu de la vie criminelle belge: le “meurtre de la rue des Hirondelles”. Une petite fille de 8 ans, Jeanne Van Calck, revient au domicile de ses grands-parents où elle réside après avoir passé, comme d’habitude, une heure ou deux en compagnie de sa maman, Françoise Van Calck, à quelques centaines de mètres de là. C’était la première fois qu’elle faisait le trajet seule. Vers minuit, un machiniste du Théâtre de l’Alhambra, la plus grande salle de spectacle de Bruxelles de l’époque, découvre un paquet suspect devant la porte du 22 de la rue des Hirondelles à Bruxelles. Avec deux autres personnes, il portera le colis jusqu’au commissariat de police de la place du Nouveau Marché aux Grains. Des policiers inspectent le paquet.
Een dik half jaar geleden veroverde de Nederlandse MEAU als een wervelwind het Nederlandse taalgebied met “Dat heb jij gedaan”, een nummer over een.
“Rijbewijs” was een fijne ‘hertaling’ van Olivia Rodrigo’s “Drivers License” en daarnaast coverde ze (het niet gemakkelijke) “Avond” van Boudewijn de Groot. Met een heldere stem en een gebalanceerde show wist ze het publiek aandachtig te houden tot aan haar grote hit. Tijdens “Blijven Rijden” ontsprong er heel wat energie op het podium en daardoor brak in het publiek definitief het ijs, waarvan springerige dansjes en een luid applaus het bewijs. Een deel van hen kwam ongetwijfeld gewoon door “Dat heb jij gedaan” en moest hier voor het eerst overtuigd raken van de rest van MEAUs repertoire. Een dik half jaar geleden veroverde de Nederlandse MEAU als een wervelwind het Nederlandse taalgebied met “Dat heb jij gedaan”, een nummer over een toxische relatie. Vooraleer ze op festival- en officiële clubtour gaat, bracht ze een bezoekje aan AB Club, die meteen uitverkocht was toen “Dat heb jij gedaan” in de hitlijsten verscheen.
Frustrée de rester cloîtrée chez elle pendant le confinement, Marie Voght a décidé de faire le tour des lieux naturels les plus exotiques du pays.
“Voyager n’est plus une envie, mais un besoin et la micro-aventure y répond parfaitement.” Les Philippines? “Peut-être un jour…” L’été dernier, elle participe aussi à ce que Marie appelle une “gitanerie”, soit une sortie plus longue ponctuée par une ou deux nuits sur un terrain privé, en tentes – classique ou de toit – disponibles à la location. “C’est pour me consoler moi, ainsi que les autres voyageurs belges qui ont dû abandonner leurs projets en 2020, que j’ai décidé de rassembler en un livre plusieurs destinations naturelles du pays en les assimilant à d’autres lieux plus exotiques de la planète.” Une manière d’effectuer un véritable tour du monde à deux pas de chez soi. “Ce n’est pas une ambiance gauloise où l’on bouffe comme des cochons et où l’on enchaîne les apéros. Le but n’est pas de finir en rave party, prévient Marie. L’idée est avant tout de partager nos expériences et automatiquement, une solidarité va se créer entre les participants.” Quand elle n’est pas sur l’eau, Marie suit des cours en marketing à l’EPHEC, à Louvain-la-Neuve. “J’ai opté pour ces études parce que j’avais le sentiment qu’elles pouvaient m’aider à alléger la gestion du “Tour du monde en Belgique”. Pour le moment, avec mon statut d’indépendante étudiante, je dois jongler avec deux vies.” Dans un futur proche, la Limaloise entend publier un troisième livre, qui référencera ses coups de cœur de micro-aventures en nature, du simple pique-nique au bivouac de trois jours. La semaine, elle habite à Limal et le week-end, “partout en Belgique.” Un désir de vagabondage apparu peu après l’obtention de son CESS. “Je me suis octroyé une année sabbatique parce que je ne savais pas ce que je voulais faire de ma vie. La première fois, elle sort sur la Durme, près de Lokeren. Et tombe directement sous le charme de l’activité et de sa meneuse. Le lac de Robertville lui évoque Bali, les Fonds de Quarreux lui font penser au parc national du Vitosha en Bulgarie, l’ancienne zone industrielle de Charleroi la plonge en Himalaya. “En sortant le livre, je pensais que seules mes copines l’achèteraient pour me faire plaisir, mais ça a cartonné”, rembobine-t-elle. Beaucoup de participants aux activités exercent un boulot à lourdes responsabilités et je remarque qu’ils trouvent une échappatoire dans la nature, ils aiment rester un peu en retrait.” Après Berlin et Marrakech, elle s’offre trois semaines de bénévolat en Namibie via l’organisme N/a’an ku sê. Un tiers du temps dans une ferme, les deux autres dans un vignoble, à s’occuper des singes, à nettoyer les excréments de chevaux sous 35 °C ou à nourrir des guépards en 4×4. “Je savais que ça allait être compliqué de me retrouver seule là-bas. Personne n’aime ça, mais ça apporte aussi beaucoup de réponses.” L’une d’entre elles lui apparaît très claire: la Brabançonne est trop indépendante pour accepter de se lever à une certaine heure tous les jours pour suivre les activités prévues. “J’ai adoré la Namibie, mais pas le style de voyage. “Il faut toujours prévoir de placer une voiture aux deux extrémités du parcours que l’on souhaite suivre.” Aujourd’hui, il s’agit de quelques kilomètres seulement, le long de la Dyle. Ce cours d’eau, navigable sur 32 kilomètres, serpente dans une vallée plutôt encaissée. Sur les talus qui l’entourent, des étendues d’orties ou d’arbres en tous genres mènent aux champs qui s’étirent dans la campagne. À mon retour en Belgique, en février 2020, j’ai donc prévu d’effectuer un séjour 100 % libre aux Philippines. Mais un mois plus tard, toutes les portes de la planète étaient fermées.” Marie comprend qu’elle ne repartira pas cette année-là. Pas plus que la suivante, d’ailleurs, puisqu’elle est censée entamer des études. “Le confinement m’a rendue folle parce que j’ai toujours eu l’habitude de faire 150 choses en même temps, d’avoir des projets et au minimum un job d’étudiante. Là, je n’avais plus rien, ni objectif ni argent.
(Belga) Après deux défaites logiques, subies contre la Serbie et l'Italie, la Belgique, 13e nation mondiale, a eu besoin d'une cinquième manche ...
La deuxième semaine de cette quatrième édition de la Ligue des Nations est prévue du 15 au 19 juin à Quezon City, aux Philippines, avec la Chine, le Canada, la Pologne et la Bulgarie comme adversaires des Belges. La 3e semaine est programmée du 30 juin au 3 juillet à Calgary, au Canada, contre les États-Unis, l'Allemagne, les Pays-Bas et le Japon. Au classement, la Belgique est désormais 12e sur 16 avec 2 points alors que la Thaïlande, qui restait sur des victoires contre la Bulgarie et la Serbie, est 5e (6 pts). Les huit premiers seront qualifiés pour la phase finale, prévue à Ankara du 13 au 17 juillet. Les Belges ont pu compter sur les 23 points de Britt Herbots et les 17 de Silke Van Avermaet pour venir à bout de la Thaïlande, qui menait 1 set à 2. Mercredi, les Yellow Tigers se sont inclinées 3 sets à 1 devant les Serbes (FIVB 5) avant de perdre le lendemain sur le même score contre les Italiennes (FIVB 7). Les joueuses de Gert Vande Broek ponctueront leur première semaine de compétition dimanche avec un nouveau duel contre un ténor mondial, la Turquie (FIVB 4), qui évolue à domicile.