« Le Naufrage de Venise » est nourri de ses trois passions : la mer, l'écriture et l'écologie. Rencontre avec la dompteuse d'océans.
L'éditeur Manuel Carcassonne, alors chez Grasset, la pousse à écrire. Elle « tâte l'eau » en écrivant la vie de M. de Kerguelen. Elle a traversé les îles à pied - une « sacrée balade ». Rassurée sur la qualité de son écriture, elle passe au roman. La plupart de ses livres (Seule la mer s'en souviendra, L'Amant de Patagonie, Soudain, seuls…) s'inspirent de ses expériences au cœur des terres les plus rudes, sur les océans les plus dangereux, qu'elle a domptés dans la douleur. En 1987, elle termine troisième de la Mini Transat. En 1989, elle participe à la Solitaire du Figaro. « Je me dis : le cap d'après, c'est le tour du monde. Sa femme, Maria Alba, descendante d'une famille noble de Venise, en croyait la splendeur éternelle. Leur fille, Léa, a fondé une ZAD. Le roman, qui reconstitue les mois précédant le désastre, suit cette famille qui se déchire au cœur d'une ville guettée par la catastrophe. Avec Le Naufrage de Venise, Isabelle Autissier nous invite à « sortir du déni » face à la montée des océans. Réagir, et vite. Ses romans sont des escapades littéraires au grand air, au style et à l'intrigue finement ciselés, mais aussi des messages d'alerte sur le péril écologique. Il en est ainsi du Naufrage de Venise, son dernier livre, qui s'ouvre sur le spectacle insensé d'une mer qui dévore tout. Elle veut retrousser ses manches, mettre les mains dans le cambouis, comme sur les chantiers, sur les océans et pour le climat. Avec ce bateau « en ferraille », elle part pour un premier tour de l'Atlantique en 1985, avec des copains. Elle le fait toujours, chaque été, sans écrire, mais en puisant là l'inspiration. Elle s'investit dans l'environnement, entre au conseil d'administration de WWF, puis en devient la présidente : « J'aime bien leur façon de bosser, de s'investir à fond. Elle a envie de naviguer lentement, au nord du monde, dans les glaces, ces paysages qu'elle adore. » Les « pêchous », ce sont les pêcheurs qu'elle a beaucoup côtoyés, dans les années 1980, quand elle était ingénieure agronome, spécialisée en halieutique. C'était avant que les désordres climatiques ne vident la mer de ses poissons et que les pêchous ne désertent le port.
Ce samedi en mairie, Dominique Mayère a uni devant la loi Isabelle Burellier, poseuse calorifugeuse et David Bérujat, gérant d'une entreprise de maintenance ...
C'est dans les locaux de la MJC qu'ont eu lieu les interventions officielles et notamment celle d'Annette Veith, maire de la commune, qui étaie accompagnée de ...
Et en croire aux commentaires, elle serait très certainement fière et heureuse de cela. Elle est décédée en 2012 et repose au cimetière communal. Elle était née en 1930, possédait une maison familiale sur la commune.
La comédienne Isabelle Carré publie son troisième roman, reflet d'une personnalité sensible et attachante.
La candidate juge que seule la droite peut être une opposition forte à la politique d'Emmanuel Macron.
Deux femmes de caractère assurément. Un côté girl power avec Isabelle Rouby en chef de file depuis le pas de côté de Jean-Luc Di Maria, préférant se concentrer sur 2026 et "mon combat à Martigues". Mais ne dites pas à Isabelle Rouby qu'elle est un second couteau, clamant son "ambition d'être députée".Femme de l'ombre hier, élue dans l'opposition à Fos-sur-Mer depuis 2014, dans l'aventure avec Philippe Maurizot, du genre coriace et qui assume une étiquette LR, devenue pre Un baptême du feu au féminin pluriel pour Isabelle Rouby, la candidate Les Républicains sur la XIIIe circonscription avec l'Istréenne Michèle Leban, sa suppléante qui a déjà baroudé aux côtés de Fabienne Bontemps (UDI) en 2017. Comment accéder à cet article ?