Conseillère du chef de l'Etat, elle a eu une influence décisive sur la politique culturelle du premier quinquennat, au point d'éclipser Roselyne Bachelot.
A 44 ans, Rima Abdul-Malak passe de l’ombre des couloirs de l’Elysée aux lumières flamboyantes du ministère de la rue de Valois, où elle succède à Roselyne Bachelot. Nous republions son portrait. Le Pass Culture, à la fin 2019, était unanimement regardé comme un fiasco perdu dans les marais administratifs. Un titre prémonitoire. En janvier 2021, « l’Obs » consacrait un portrait à Rima Abdul-Malak qui était alors conseillère d’Emmanuel Macron à l’Elysée. L’article était titré : « L’autre ministre de la Culture ». Une formulation qui avait fait grincer quelques dents.
Conseillère culture du président Emmanuel Macron, Rima Abdul-Malak est nommée ministre de la Culture. Cette franco-libanaise de 44 ans réputée bosseuse et ...
Rima Abdul-Malak a 30 ans quand elle se lance en politique rejoint la mairie de Paris et devient conseillère culture du maire Bertrand Delanoë avant d’être nommée attachée culturelle à New York, directrice du département arts visuels et spectacle vivant. Cette femme réputée très cash et exigeante et dont on dit qu’elle connaît très bien ses dossiers, était parfois appelée « la deuxième » ministre de la Culture. Grande bosseuse, elle travaille depuis trois ans en étroite collaboration avec le chef de l’État à qui, elle a ouvert de nombreuses portes dans le secteur culturel. Un milieu qu’elle connaît bien et qui n’avait pas vu d’un bon œil l’arrivée d’un banquier à l’Élysée. Son parcours rappelle celui d’Audrey Azoulay, conseillère culturelle de François Hollande à l’Élysée, avant de devenir ministre entre 2016 et 2017.
Déjà familière de l'Elysée en tant que conseillère culture et communication du président de la République, la jeune femme succède à Roselyne Bachelot à la ...
Un parcours sans fautes qui suscite l'intérêt de l'Elysée dès 2019 lorsqu'il a fallu remplacer Claudia Ferrazzi, conseillère culture du Président. Rima Abdul Malak occupe le poste depuis lors. Elle est promue ensuite conseillère culture de Bertrand Delanoë, maire de Paris, pendant deux ans. Mais peut-être pas pour ceux qui suivent la trajectoire de cette Franco-Libanaise ces dernières années.
Le monde de la culture connaît bien cette conseillère de l'Élysée qui remplace Roselyne Bachelot rue de Valois. Proche d'Emmanuel Macron, elle devrait être ...
Le parcours de Rima Abdul Malak commence à Beyrouth où elle est née en 1979. Dans la machine de l’État, son influence était telle que L’Obs l’a surnommée "l’autre ministre de la Culture" dans un des rares portraits consacrés à cette femme discrète dont le nom était d’ailleurs cité pour remplacer Franck Riester lors du dernier remaniement. La France est un pays dans lequel le portefeuille de la Culture occupe une place centrale. N'avancez plus à l'aveugle Les salafist... N'avancez plus à l'aveugle
Conseillère Culture et communication d'Emmanuel Macron depuis 2019, cette femme de 44 ans est connue pour être méthodique. Elle incarne une nouvelle ...
Dotée d'une double culture, avec des goûts éclectiques et un regard sur l'ailleurs, elle devrait apporter un vent de fraîcheur au ministère, lequel est en pleine crise existentielle. Elle démarre tout d'abord une carrière dans l'humanitaire, avant de rejoindre la mairie de Paris, sous l'ère de Bertrand Delanoë. Elle sera pendant quatre ans auprès de Christophe Girard, adjoint à la Culture de la mairie. Franco Libanaise, de culture chrétienne, elle passe son enfance au Liban, avant d'arriver à Lyon avec sa famille.
La nomination de l'ex-conseillère d'Emmanuel Macron, à qui on doit l'année blanche des intermittents ou l'«été apprenant», est vue comme une «bonne ...
C’est en effet au sein d’un ministère allégé d’un certain nombre de ses prérogatives, confronté au poids grandissant des collectivités territoriales d’une part et des mastodontes du privé de l’autre (géants du numérique, fondations LVMH ou Pinault), souffrant d’un manque d’incarnation et de vision que la nouvelle locataire de Valois posera ses bagages pour un mandat maximum de cinq ans (ou sensiblement moins, selon le déroulé du mois de juin). «L‘autre difficulté, reprend Emmanuel Négrier, sera d’identifier et d’étendre les marges de manœuvre stratégiques, dans un contexte où elles auront tendance à se restreindre… On la dit aussi dynamique, pas trop langue de bois, allergique à la novlangue des politiques publiques, très agile et très mondaine. Si l’essentiel des décisions gouvernementales en matière de culture ne se prend plus au ministère mais à l’Elysée, comme le déplorent certaines voix depuis quelques années, alors Rima Abdul Malak, jusqu’à présent puissante dame de l’ombre, conseillère culture du président Macron, ne découvrira pas totalement le métier en prenant au sein du gouvernement le fauteuil de Roselyne Bachelot, actuelle ministre dont on savait qu’elle ne rempilerait pas.
Déjà pressentie en 2020, cette femme de l'ombre et de dossiers, conseillère culture et communication à l'Élysée, va succéder à Roselyne Bachelot.
Rima Abdul Malak, conseillère culture d'Emmanuel Macron, a été nommée, vendredi 20 mai, ministre de la culture en remplacement de Roselyne Bachelot.
L’ex-conseillère culture, souvent surnommée « la ministre bis de la culture », arrive dans un secteur en convalescence. Et c’est en 2019 qu’elle succède à Claudia Ferrazzi au poste de conseillère culture et communication de l’Elysée. Très au fait des dossiers en cours et habituée des nominations, elle est inconnue du grand public mais pas du milieu culturel.
[VIDÉO] ▶️ La Première ministre est l'invitée du 20H de TF1 ce vendredi soir, quelques heures après l'annonce de la composition du nouveau gouvernement.
Marine Le Pen a fustigé vendredi la nomination de Pape Ndiaye à la tête du ministère de l'Éducation nationale. Par "circonstances exceptionnelles" il entendait : "si le Parti socialiste après l'élection présidentielle avait décidé de se refonder et d'appeler à ressurgir au moment des législatives avec des personnalités qui avaient exercé le pouvoir". Dernier jour pour se lancer dans la bataille. "On se demande où est passé le tournant écologique et social dont où nous avait rebattu les oreilles entre les deux tours de l'élection présidentielle". Néanmoins, Jean-Luc Mélenchon se dit "d'accord" avec "l'appréciation qu'il avait formulé à propos du président de la République dans une interview au Monde en 2019". "Quant à Emmanuel Macron, [...] on peine à discerner une politique ou même un point de vue consistant", avait déclaré à l'époque l'historien, qui dirigeait jusque-là le musée de l'Immigration. "Nupes et rien d’autre", appelle la candidate aux élections législatives dans la 9ème circonscription de Paris. Le maire de Grenoble, Éric Piolle, a critiqué la composition du nouveau gouvernement, dévoilé ce vendredi. "Bruno Le Maire est désormais chargé de la souveraineté industrielle. Retrouvez la liste complète de celles et ceux qui ont été choisi. "Emmanuel Macron a eu raison de nous faire attendre si longtemps, ça valait vraiment la peine… "J'ai une pensée pour Samuel Paty, dont l'exemple et la mémoire sont gravés dans nos esprits et nos cœurs", affirme-t-il. Il veillera à la bonne exécution des engagements pris par tous les ministères en matière d’environnement".
La conseillère culture de l'Elysée succède à Roselyne Bachelot au ministère de la culture. Rima Abdul-Malak a également été conseillère culture à l...
A l’Elysée, Rima Abdul-Malak a travaillé au lancement du Pass Culture. Elle a également travaillé à la mise en place du plan culture lancé par le Président après un an de confinement. A l’Elysée, Rima Abdul-Malak a pris une place prépondérante parmi les conseillers du chef de l’Etat. « On sent dans la façon dont il parle d’elle qu’il lui accorde beaucoup d’importance » confiait une source à L’Obs, l’année dernière. C’est une très proche du chef de l’Etat qui rentre rue de Valois. Conseillère culture et communication de l’Élysée depuis 2019, Rima Abdul-Malak succède à Roselyne Bachelet comme ministre de la Culture.
Retrouvez toutes les informations politiques de cette journée du 20 mai, avec en point d'orgue le lancement du nouveau gouvernement Borne.
A l’Assemblée, j’ai essayé de faire infléchir la majorité (LREM) sur la précarité, les inégalités sociales », mais « c’était impossible ». Membre de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron en 2017, Aurélien Taché est sans doute celui des quatre à l’avoir critiqué avec le plus de virulence dans la seconde partie du mandat, sur les questions sociales et les quartiers populaires. Première cheffe du gouvernement depuis 30 ans, Elisabeth Borne a insisté jeudi sur l’égalité femmes-hommes et la nécessité pour les femmes de « rêver » et d’avoir « confiance » en elles. En 2017, ils faisaient partie de la cohorte d’élus LREM dans le sillage d’Emmanuel Macron. Cinq ans après, quatre députés à la « sensibilité écolo » se représentent avec l’union de la gauche autour de Jean-Luc Mélenchon, et tentent d’expliquer leur changement de bord face aux critiques. « N’importe quel ministre de l’Écologie serait condamné à la figuration parce que ce gouvernement, c’est uniquement la continuité d’une inaction climatique », fustige Julien Bayou ce vendredi matin, qui assure qu'aucun écologiste ne sera dans le nouveau gouvernement. Elle devait aussi verser 100 et 200 euros de dommages et intérêts à deux policiers pour le préjudice moral subi, et avait été relaxée des chefs de « résistance violente » et « outrages ». « C’est quelqu’un de très brillant, qui comprend très vite », la complimente le maire de Sceaux (Hauts-de-Seine) Philippe Laurent, déjà en première ligne des discussions avec la ministre sur les sujets territoriaux lors du premier quinquennat Macron. Précisant cette « circonstance exceptionnelle », François Hollande indique : « si le Parti socialiste après l’élection présidentielle avait décidé de se refonder et d’appeler à ressurgir au moment des législatives avec des personnalités qui avaient exercé le pouvoir. « Elle s’est pas mal adaptée à un métier qu’elle ne connaissait pas », poursuit l’élu UDI, en référence à son désormais ex-portefeuille de ministre de la Fonction publique. Je serai le ministre du dialogue, de la concertation et de l’action », a réagi Eric Dupond-Moretti après avoir reconduit en tant que garde des Sceaux. Il y a des choses qui me tiennent à cœur, notamment le fait que les politiques publiques se bâtissent dans le dialogue et que le gouvernement, c’est un collectif que j’aurai à cœur d’animer », a-t-elle ajouté, précisant qu’elle « était très en phase avec Jean Castex sur beaucoup de sujets ». La passation au ministère de la Culture a débuté entre Roselyne Bachelot et Rima Abdul Malak, qui lui succède. « Nous avons mis en œuvre des mesures et mobilisé des budgets inégalés dans le monde. Pap Ndiaye c’est un républicain très engagé et c’est bien évidemment ce qu’il va porter en tant que ministre de l’Éducation nationale », a-t-elle ajouté à propos des critiques formulées par Marine Le Pen et Eric Zemmour.
Rima Abdul-Malak a été nommée ministre de la Culture du nouveau gouvernement de la Première ministre Elisabeth Borne, succédant à Roselyne Bachelot.
Peu connue du grand public, Rima Abdul Malak était jusqu'ici la conseillère culture et communication d'Emmanuel Macron. Forte d'une expérience dans ...
En tant que ministre, elle devra notamment gérer la suppression de la redevance audiovisuelle annoncée par Emmanuel Macron. Ces dernières années, en plus des mesures de soutien Covid, elle a notamment travaillé à la mise en œuvre du Pass culture. Le test grandeur nature arrive rapidement, avec le chantier de reconstruction de Notre-Dame de Paris qui lui permet de faire le pont entre la mairie qu'elle connaît bien et l'exécutif. Mais le gros dossier arrive dès mars 2020, avec une épidémie de Covid-19 qui met à mal le monde de la culture. Elle gardera par la suite des liens avec l'association, en siégeant dans son conseil d'administration jusqu'en 2014. Quand en 2019 elle est appelée par l'Elysée pour devenir la conseillère culture et communication d'Emmanuel Macron, des voix saluent ce choix. D'origine franco-libanaise, Rima Abdul Malak est arrivée en France à l'âge de dix ans.
Conseillère culture d'Emmanuel Macron depuis 2019, Rima Abdul Malak prend la tête du ministère de la Culture, ce vendredi 20 mai. Elle...
Ce dispositif d'accès aux activités culturelles est destiné à des jeunes entre quinze et dix-huit ans, dans le but de leur favoriser l’accès à la culture. Pendant huit ans, elle gravit les échelons au sein de la capitale française. Depuis 2007, elle travaille sans discontinuité dans différentes administrations du secteur culturel français.
Après une semaine d'attente, le remaniement ministériel a été annoncé aujourd'hui, vendredi 20 mai. Rima Abdul Malak remplace Roselyne Bachelot au poste de ...
Après avoir été pressentie plusieurs fois au poste (notamment après Franck Riester en 2020) et malgré son manque d’expérience en politique, elle accède aujourd’hui à la rue de Valois. D’après son profil LinkedIn, Rima Abdul Malak travaille sur des chantiers tels que la Philharmonie, la Nuit blanche ou encore la création de l’Établissement public Paris musées et ses 14 institutions. Après quelques mois comme « consultante en stratégie culturelle et internationale », elle est nommée conseillère culture et médias du Président de la République à l’Élysée en 2019.
MINISTRE CULTURE. Un temps pressentie en 2020, Rima Abdul-Malak n'avait finalement pas eu le poste, la médiatique Roselyne Bachelot lui ayant alors été ...
- Catherine Tasca (mars 2000 - mai 2002) Le ministère de la Culture, c'est 30 000 agents, 200 métiers différents dans tous les domaines (qu'ils soient culturels, administratifs, techniques) et 120 structures (dont 18 DRAC et DAC) sur tout le territoire. - Jean-Jacques Aillagon (mai 2002 - mars 2004) - Frédéric Mitterrand (juin 2009 - mai 2012) Rima Abdul-Malak est née en 1979 au Liban, elle est arrivée en France, à Lyon à l'âge de 10 ans. Néanmoins, si Rima Abdul-Malak était jusqu'ici méconnue du grand public, en coulisses, cela fait longtemps qu'elle s'est imposée comme l'un des rouages clés de la Macronie. Rima Abdul-Malak était en effet conseillère culture et communication de l'Elysée avant sa nomination vendredi.
Cette Franco-Libanaise, qui a longtemps travaillé à la mairie de Paris, a eu une grande influence sur la politique culturelle du président lors de son ...
Elle dirige aussi, de 2001 à 2007, l’association Clowns sans frontières, qui organise des spectacles pour les enfants dans les zones de guerre. Roselyne Bachelot était flamboyante et du sérail, elle collectionnait les mandats électoraux et les strapontins ministériels. Elle passe les clés de la Rue de Valois à Rima Abdul Malak, une Franco-Libanaise de 30 ans sa cadette, plus discrète et au profil plus technocratique. Beaucoup la considéraient même comme la « seconde ministre de la culture ».
La conseillère culture et médias d'Emmanuel Macron depuis 2019 sort de l'ombre et succède à Roselyne Bachelot Rue de Valois. Elle aura notamment à gérer la ...
Et c’est en 2019 qu’elle succède à Claudia Ferrazzi au poste de conseillère culture et communication de l’Elysée. C’est à l’Hôtel de ville parisien que Rima Abdul-Malak a entamé sa carrière politique. Roselyne Bachelot, fidèle à son goût pour les vêtements de couleur, arborait un immanquable tailleur vert pomme et affichait un sourire jovial.
Les clés du ministère de la Culture ont été confiées à celle qui a été ces dernières années la plus proche collaboratrice d'Emmanuel Macron en la matière.
Elle a, entre autres, porté les projets de la Philarmonie et du Centquatre. Cette quadragénaire pas mariée et sans enfant, qui aime le yoga et la poésie, était conseillère culture et communication à l'Elysée depuis deux ans et demi. Cette Franco-Libanaise a été très impliquée dans les principales mesures de soutien aux artistes (année blanche pour les intermittents, fonds de soutien, etc.). On lui doit aussi la mise en place du Pass Culture.
La conseillère culture d'Emmanuel Macron, qui œuvrait jusqu'alors dans l'ombre de Roselyne Bachelot, va pouvoir faire ses preuves.
En 2014, la jeune Franco-Libanaise rejoint le service culturel de l'ambassade de France à New York en tant qu'attachée culturelle. Titulaire d'un DESS Développement et Coopération internationale obtenu en 2000 à la Sorbonne, elle commence sa carrière dans l'humanitaire en devenant présidente de l'association Clowns sans frontières, qui organise des spectacles pour les enfants dans les zones de guerre, notamment en Palestine. En 2007, changement de voie, elle est nommée à la tête du pôle « musiques actuelles » de l'Institut français. L'année suivante, elle fait son entrée à la mairie de Paris où elle exercera différents postes pendant près de six ans. Surprise ! Ni Catherine Pégard ni Rachel Khan ne rejoindront finalement la rue de Valois. C'est Rima Abdul Malak, conseillère culture d' Emmanuel Macron depuis 2019, qui succède, en effet, à Roselyne Bachelot. Peu connue du grand public, cette grande amatrice de théâtre de 44 ans œuvre dans l'ombre depuis son arrivée à l'Élysée. C'est à elle que l'on doit notamment la mise en place du Pass Culture, engagé par sa prédécesseure Claudia Ferrazzi, et qui devrait concerner trois millions de jeunes utilisateurs d'ici à la fin 2022.
Inconnue du grand public, elle était jusqu'ici la conseillère culture et communication d'Emmanuel Macron. La passation de pouvoir a eu vendredi soir, rue de ...
"Soutenir la culture et celles et ceux qui la font vivre dans notre pays, c'est une mission exaltante. C'était une passation pleine d'émotion pour Rima Abdul Malak, la nouvelle locataire des lieux, comme pour Roselyne Bachelot qui quitte la rue de Valois après y avoir passé 680 jours. Parmi les petits nouveaux, on retrouve Pap Ndiaye au ministère de l'Éducation nationale ou encore Rima Abdul Malak à la Culture. Inconnue du grand public, elle était jusqu'ici la conseillère culture et communication du chef de l'État. La passation de pouvoir a eu lieu vendredi soir, rue de Valois, avec Roselyne Bachelot.
Nommée à la tête du ministère de la Culture en plein Festival de Cannes, l'ancienne conseillère d'Emmanuel Macron entend aussi «porter un grand plan pour ...
Il avait commencé en juillet 2020, en pleine pandémie de Covid-19, durant lequel son ministère a apporté 14,6 milliards d'euros pour aider un milieu culturel fragilisé. Dans un registre plus intime, Rima Abdul-Malak a rendu hommage à ses parents, «qui ont le courage de quitter Beyrouth en pleine guerre avec leurs trois enfants et cinq valises et qui ont choisi la France et sa devise de liberté, égalité, fraternité». La ministre de la Culture a également rendu hommage à son professeur de français au collège, qui lui a transmis «le plus beau des virus», celui du théâtre, et aux «enfants dans les camps de réfugiés, les hôpitaux, les orphelinats» qu'elle a rencontrés lors de son travail avec l'ONG Clowns sans frontières. La nouvelle ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, s'est engagée vendredi à rendre le patrimoine «plus accessible», à «défendre un audiovisuel public, pluraliste et indépendant» et à «amplifier le développement de notre cinéma». En pleine 75e édition du Festival de Cannes, la promesse d'un «grand plan pour les métiers d'art (...) pour préserver le savoir-faire, le perpétuer» et «créer des métiers d'avenir pour notre jeunesse» a également été esquissée par la Franco-Libanaise de 43 ans, en fin d'après-midi, à l'occasion de la passation de pouvoirs avec Roselyne Bachelot, rue de Valois.
Une nouvelle ministre de la Culture vient d'être nommée. Rima Abdul-Malak, Franco-Libanaise, qui a commencé sa carrière dans l'humanitaire avant de...
« On a vécu ensemble à la mairie de Paris, dans cette incroyable ruche culturelle, et on a été à bonne école avec Bertrand Delanoë. Rima est une professionnelle exceptionnelle, elle est dotée d’une grande force de travail, a un vrai sens du politique. « La nomination de Rima est la meilleure nouvelle pour la culture depuis celle de Jack Lang rue de Valois. » Pour lui, elle est « une amie. C’est une femme tellement cultivée, inspirée, brillante ! Elle a du goût, elle est raffinée, humaine et hyper-engagée. Elle aime la musique, les artistes, et elle est très fidèle ». Le chanteur M n’est pas le seul à apprécier la nouvelle ministre de la Culture. Gaspard Gantzer, ancien conseiller de François Hollande, est également enchanté de sa nouvelle position au gouvernement. Le chanteur M est ravi de ce remaniement. La nouvelle ministre de la Culture Rima Abdul-Malak a déjà du succès. Elle a succédé à Roselyne Bachelot ce vendredi 20 mai 2022 lors de la passation de pouvoir à 18h.
Diplômée de l'Institut d'Etudes politiques de Lyon puis de la Sorbonne en coopération internationale, elle commence par travailler pour le Comité Catholique ...
En 2012, elle devient la conseillère culture du Maire de Paris. En 2001, elle devient directrice des programmes de Clowns sans frontières, ONG fédérant plus de 400 artistes de tous horizons. Diplômée de l’Institut d’Etudes politiques de Lyon puis de la Sorbonne en coopération internationale, elle commence par travailler pour le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement.