Le Dr Donald Vinh, infectiologue et microbiologiste au Centre universitaire de santé McGill, espérait avoir une journée calme au boulot mercredi pour avancer ...
De son côté, l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) dit suivre la situation de près, tout en assurant qu’aucun cas ne lui a été signalé pour le moment. « C’est surprenant de voir un nombre aussi important parce que normalement, la maladie se transmet des animaux aux humains, principalement par les rongeurs », dit Alain Lamarre, professeur-chercheur spécialisé en immunologie et virologie à l’Institut national de la recherche scientifique. Des éruptions cutanées peuvent également survenir, souvent sur le visage, et se répandre à d’autres parties du corps, dont les parties génitales. « Pendant plusieurs heures, on a essayé de coordonner les échantillons et les tests nécessaires pour faire le diagnostic », raconte-t-il. Avec l’apparence des lésions de sa peau et les informations qui circulaient aux nouvelles, ma collègue a soupçonné la variole du singe », explique le Dr Vinh. « Les lésions de sa peau ne semblaient pas typiques de la gonorrhée et l’échec du traitement suggérait que c’était autre chose.
Plusieurs cas de variole du singe ont été détectés au Portugal, en Espagne et au Royaume-Uni. L'arrivée de cette maladie sur le territoire européen ...
Elle se manifeste par de la fièvre, des douleurs musculaires, des éruptions cutanées sur le visage et le corps ou encore l'apparition de ganglions. Un phénomène lié au changement climatique, susceptible de pousser de nombreux animaux à fuir leurs écosystèmes actuels pour se diriger vers des zones vivables. Les premiers cas de variole du singe seraient apparus au Royaume-Uni début mai.
MONKEYPOX. Après l'Angleterre, le Canada, l'Espagne et le Portugal, les Etats-Unis signalent un cas d'infection à la variole du singe aussi appelée ...
Il n'existe pas de vaccin contre le virus de la variole du singe. C'est quoi la variole du singe ? Quels sont les symptômes ? Comment se transmet-elle à l'humain ? Quels traitements pour la soigner ? Quelle est la situation en France ? Ce virus est-il dangereux ? En Afrique, il a été démontré que le monkeypox cause la mort d'au moins 1 personne sur 10 qui contracte la maladie" établit le CDC. Le virus de la variole du singe ou virus "Monkeypox" est à l'origine d'une maladie infectieuse transmise à l'Homme par les animaux, notamment les rongeurs et les singes. "Le virus se transmet principalement à l'être humain à partir de divers animaux sauvages, rongeurs ou primates par exemple, mais la propagation secondaire par transmission interhumaine est limitée" rassure l'OMS. L'infection est provoquée par un contact direct avec du sang, des liquides biologiques ou des lésions cutanées ou muqueuses d'animaux infectés. "En Afrique, on a documenté des infections humaines à la suite de la manipulation de singes, de rats géants de Gambie et d'écureuils infectés, les rongeurs étant vraisemblablement le principal réservoir du virus. MONKEYPOX. Après l'Angleterre, le Canada, l'Espagne et le Portugal, les Etats-Unis signalent un cas d'infection à la variole du singe aussi appelée "Monkeypox". Ce virus peut se transmettre à l'Homme par les rongeurs ou les singes.
Un premier cas confirmé de variole du singe a été détecté en Suède, ont annoncé jeudi les autorités sanitaires, après une série de cas européens et ...
Plusieurs dizaines de cas suspects ou confirmés de variole du singe ont été détectés depuis début mai en Europe et en Amérique du Nord, laissant craindre un début de propagation de cette maladie. « Un cas de variole du singe a été confirmé chez une personne dans la région de Stockholm », indique l’Agence suédoise de santé publique dans un communiqué. Variole du singe: premier cas en Suède, une agence de l’UE prépare un rapport
Plusieurs dizaines de cas suspects ou confirmés de variole du singe ont été détectés depuis début mai en Europe et en Amérique du Nord, laissant craindre un ...
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a dit mardi vouloir faire la lumière, avec l'aide du Royaume-Uni, sur les cas de variole du singe détectés, ...
Mais le niveau d’évidence scientifique limité, la disponibilité des antiviraux/vaccins et le manque de préparation à ce risque contribuent largement au fait qu’à ce jour, on « compte les cas » plutôt que les prévenir/traiter ». « Nous devons intensifier la surveillance des maladies au niveau international, et arrêter de considérer que les maladies « tropicales » nous épargnent », poursuit-il avant de souligner que le changement climatique change désormais la donne. Pourtant les infections liées à se virus émergent augmentaient déjà depuis 20 ans en Afrique Centrale », explique-t-il sur Twitter.