La journaliste Shireen Abu Akleh, une des plus connues de la chaîne de télévision panarabe al-Jazeera, a été tuée mercredi matin par un tir de ...
Les soldats ont répliqué. Des personnes ont été atteintes", a indiqué l'armée israélienne. Depuis le 22 mars dernier, Israël a été la cible d'une série d'attaques ayant fait au moins 18 morts. Un autre journaliste, Ali al-Samoudi, blessé lors de ces affrontements, a accusé l'armée israélienne d'avoir ouvert le feu sur les journalistes. "Nous étions en chemin pour couvrir l'opération de l'armée lorsqu'ils ont ouvert le feu sur nous (...) Une balle m'a atteint. "L'armée mène une enquête sur ces événements et envisage la possibilité que les journalistes ont été atteints par des hommes armés palestiniens", a ajouté le communiqué. "L'armée ne cible pas les journalistes", a ajouté à l'AFP un responsable militaire. Le ministère palestinien de la Santé et la chaîne al-Jazeera ont annoncé le décès de cette journaliste par un tir de l'armée israélienne lors de ces affrontements à Jénine, bastion des factions armées palestiniennes dans le nord de la Cisjordanie occupée. Un photographe de l'AFP sur place a aussi fait état des tirs de l'armée israélienne et vu le corps de la reporter qui portait un gilet pare-balles sur lequel est inscrit le mot "presse".
Shireen Abu Akleh était l'un des visages les plus connus d'Al Jazeera. La journaliste palestinienne est morte à l'hôpital après avoir été...
► ► "Shirin était une journaliste intrépide et n'avait pas peur d'exposer au monde les excès d'Israël en Cisjordanie. Même mercredi, elle faisait un reportage sur l'action brutale d'Israël lorsqu'elle a été tuée par balle. Shireen was most prominent Palestinian journalist and a close friend. Israeli occupation forces assassinated our beloved journalist Shireen Abu Akleh while covering their brutality in Jenin this morning. "Les forces d'occupation israéliennes ont assassiné notre chère journaliste Shireen Abu Akleh alors qu'elle couvrait leur brutalité à Jénine ce matin. Depuis le 22 mars dernier, Israël a été la cible d'une série d'attaques ayant fait au moins 18 morts. Elle était l'une des journalistes plus connues de la chaîne arabe. "Comme vous pouvez l'imaginer, c'est un choc pour les journalistes qui ont travaillé avec elle." Un autre journaliste a été blessé lors de ces affrontements. Les circonstances de sa mort ne sont pas claires, "mais des vidéos de l'incident montrent qu'Abu Akleh a reçu une balle dans la tête", a précisé sa consoeur d'Al Jazeera Nida Ibrahim. Elle était une cible.
La mort de Shireen Abu Akleh, journaliste correspondante pour la chaîne qatarie Al-Jazeera, a rapidement suscité de vives réactions et les hommages.
Shireen Abu Akleh, journaliste vedette de la chaîne qatari Al-Jazeera, a reçu une balle dans le visage ce matin à Jénine, dans le nord de la Cisjordanie ...
Car, côté israélien, une autre version est en train d’être livrée. « L’armée mène une enquête sur ces événements et envisage la possibilité que les journalistes ont été atteints par des hommes armés palestiniens », dit ainsi un communiqué de l’armée israélienne. Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a abondé dans le même sens : « Selon les données dont nous disposons pour le moment, a-t-il déclaré, il y a de fortes chances que des Palestiniens armés, qui ont tiré sauvagement, aient causé la mort malheureuse de la journaliste. Un événement sur lequel les forces de sécurité israéliennes doivent enquêter en profondeur ». Tôt à l’aube ce matin, Shireen Abu Akleh, qui logeait à Jénine depuis quelques jours pour couvrir la situation tendue qui y régnait, avait averti sa hiérarchie qu’elle se rendait au camp de réfugiés où, disait-elle, une opération de l’armée israélienne avait lieu.
La journaliste Shireen Abu Akleh, une des plus connues de la chaîne arabe Al-Jazeera, une des plus populaires dans le monde arabe, a été assassinée par ...
Un autre journaliste a été blessé lors de ces affrontements ont indiqué des sources hospitalières. La journaliste d’Al-Jazeera Shireen Abu Akleh tuée d’une balle dans la tête par l’armée israélienne La journaliste d’Al Jazeera a reçu une balle « au visage » et portait une veste « presse », a ajouté un ministre qatari.
Un drame et des questions pour l'instant sans réponse. Comme le rapporte l'AFP aujourd'hui, Shireen Abu Akleh, une des journalistes les plus connues de la ...
Le Premier ministre israélien, Naftali Bennett, a de son côté nié l'implication de son armée dans la mort de Shireen Abu Akleh et affirmé que la journaliste d'Al-Jazeera a "probablement" été tuée par des tirs palestiniens. Les soldats ont répliqué. Des personnes ont été atteintes", a fait savoir l'armée israélienne. "Dans ce qui est d'évidence un meurtre, en violation des lois et des normes internationales, les forces d'occupation israéliennes ont assassiné de sang-froid la correspondante d'Al-Jazeera en Palestine, Shireen Abu Akleh, prise pour cible de tirs à balles réelles tôt ce matin", a déclaré la chaîne arabe dans un communiqué. Après cette annonce, le gouvernement qatari a précisé que la journaliste a reçu un tir "au visage" et portait un gilet pare-balles, estampillé "presse". L'AFP ajoute qu'un autre journaliste a été blessé lors de ces affrontements.
Shireen Abu Akleh a été tuée par balles mercredi alors qu'elle couvrait des affrontements armés en Cisjordanie occupée et portait un gilet pare-balles sur ...
Les soldats ont répliqué. Des personnes ont été atteintes », a indiqué l’armée israélienne. « Nous étions en chemin pour couvrir l’opération de l’armée lorsqu’ils ont ouvert le feu sur nous […]. Une balle m’a atteint. Un photographe de l’AFP sur place a aussi fait état des tirs de l’armée israélienne et vu le corps de la reporter qui portait un gilet pare-balles sur lequel est inscrit le mot « presse ». Un autre journaliste, Ali al-Samoudi, blessé lors de ces affrontements, a accusé l’armée israélienne d’avoir ouvert le feu sur les journalistes.
Shireen Abu Akleh, journaliste star de la chaîne arabe Al-Jazeera, a été tuée mercredi matin lors d'affrontements en Cisjordanie. L'hypothèse d'un tir de ...
Elle couvrait leur attaque dans le camp de réfugiés de Jénine. Ce terrorisme d'État israélien doit CESSER, le soutien inconditionnel à Israël doit CESSER", a martelé la vice-ministre des Affaires étrangères du Qatar, Lolwah Al Khater, sur les réseaux sociaux. Une journaliste star d'Al-Jazeera tuée lors d'affrontements en Cisjordanie. Shireen Abu Akleh, une des plus connues de la chaîne arabe, a été tuée mercredi par un tir. Le ministère palestinien de la Santé a rapidement confirmé la nouvelle.
Shireen Abu Akleh a été tuée mercredi alors qu'elle couvrait une opération de l'armée israélienne à Jénine, en Cisjordanie occupée.
"Al-Jazeera condamne ce crime odieux, qui a pour objectif d'empêcher les médias de faire leur travail" ajoute la chaîne dans un communiqué*.* Le Premier ministre israélien assure de son côté qu'elle a "probablement" été tuée par des tirs palestiniens. La chaîne Al-Jazira assure que Shireen Abu Akleh a été tuée "de sang froid" par les forces israéliennes, précisant que la journaliste portait une veste qui l'identifiait comme journaliste. Elle a travaillé à "La Voix de la Palestine" et "Radio Monte-Carlo" avant de rejoindre la chaîne al-Jazeera en 1997, où elle s'est fait connaître à travers le Moyen-Orient pour ses reportages sur le conflit israélo-palestinien. Selon la chaîne, Shireen Abu Akleh se rendait régulièrement en Cisjordanie occupée pour réaliser ses sujets.
Agée de 51 ans, Shireen Abu Akleh était l'un des visages les plus connues de la chaîne de télévision al-Jazeera, pour laquelle elle couvrait le conflit ...
De son côté, Israël nie être à l'origine des tirs qui ont touché la journaliste. Elle a été transportée à l'hôpital Ibn Sina de Jénine, où les médecins ont constaté son décès. Les autorités qataries ont de leur côté indiqué que la reporter d’al-Jazeera avait été tuée alors qu’elle portait un gilet « presse ». « Nous étions en chemin pour couvrir l'opération de l'armée lorsqu'ils ont ouvert le feu sur nous (...) Une balle m'a atteint. Un autre journaliste, Ali al-Samoudi, blessé lors de ces affrontements, a accusé l'armée israélienne d'avoir délibérément ouvert le feu sur les journalistes. La journaliste de la chaîne arabe al-Jazeera Shireen Abu Akleh a « probablement » été tuée par des tirs palestiniens et non israéliens, a affirmé mercredi le Premier ministre israélien, Naftali Bennett. Le drame s'est déroulé à Jénine, bastion des factions armées palestiniennes dans le nord de la Cisjordanie occupée. Selon al-Jazeera, des responsables palestiniens et des journalistes témoins présents sur place au moment des faits, Shireen Abu Akleh a été tuée d'une balle dans la tête par des soldats israéliens qui ont tiré sur des journalistes.
Le ministère palestinien de la Santé et la chaîne Al-Jezira ont annoncé la mort de la présentatrice de 51 ans, en marge d'affrontements à Jénine, ...
Touchée à la tête, sous l’oreille, selon le correspondant palestinien Moujahid al-Saadi, qui était à ses côtés, Shireen Abu Akleh semble mourir sur le coup. «A ce moment précis, il n’y avait pas d’échanges de tirs», affirme à Libération Dareen Jubeh, une journaliste palestinienne qui travaille régulièrement pour la chaîne qatarie et qui rapporte les propos de ses collègues qui se trouvaient avec la reporter vedette d’Al-Jezira. Ils ne couraient pas et portaient tous des gilets estampillés presse pour être clairement identifiés. Soudain, on ouvre le feu sur l’équipe. Ali al-Samudi, un reporter basé à Jénine, est touché. Shireen crie qu’il est blessé, et à ce moment-là, elle essuie des tirs, elle aussi», raconte la journaliste télé.
Shireen Abu Akleh, journaliste américano-palestinienne de la chaîne de télévision al-Jazeera, est morte après avoir reçu une balle alors qu'elle travaillait ...
Les soldats ont répliqué. Des personnes ont été atteintes", a indiqué l'armée israélienne. Depuis le 22 mars dernier, Israël a été la cible d'une série d'attaques ayant fait au moins 18 morts. "Nous étions en chemin pour couvrir l'opération de l'armée lorsqu'ils ont ouvert le feu sur nous (...) Une balle m'a atteint. "L'armée mène une enquête sur ces événements et envisage la possibilité que les journalistes ont été atteints par des hommes armés palestiniens", a également indiqué le communiqué. "L'armée ne cible pas les journalistes", a ajouté un responsable militaire. Un autre journaliste, Ali al-Samoudi, blessé lors de ces affrontements, a accusé l'armée israélienne d'avoir ouvert le feu sur les journalistes. Le ministère palestinien de la Santé et la chaîne al-Jazeera ont annoncé le décès de cette journaliste par un tir de l'armée israélienne lors de ces affrontements à Jénine, bastion des factions armées palestiniennes dans le nord de la Cisjordanie occupée. La reporter portait un gilet pare-balles sur lequel était inscrit le mot "presse".
La journaliste palestinienne Shireen Abu Akleh, figure de la chaîne de télévision al-Jazeera, a été tuée ce mercredi matin à Jénine, en Cisjordanie.
Des accusations rejetées par le Premier ministre israélien, Naftali Bennett. Selon lui, la journaliste a «probablement» été tuée par des tirs palestiniens, au cours d'une opération israélienne de «contre-terrorisme» dans le camp palestinien de Jénine. Selon al-Jazeera, Shireen Abu Akleh a reçu une balle «au visage» et a été tuée «de sang froid» par un tir de l'armée israélienne. La journaliste palestinienne Shireen Abu Akleh, figure de la chaîne de télévision al-Jazeera, a été tuée ce mercredi matin à Jénine, un bastion des factions armées palestiniennes en Cisjordanie occupée.
La mort, ce mercredi matin à Jénine, de la correspondante d'“Al Jazeera” en Cisjordanie suscite un profond émoi dans les opinions arabes et des inquiétudes ...
Journaliste Shireen Abu Akleh, een bekende verslaggeefster van de Arabische zender Al Jazeera, is woensdagochtend doodgeschoten bij schermutselinge...
Israël-Palestina: Het Israëlische leger opende zonder enige waarschuwing vooraf het vuur op journalist Shireen Abu Akleh en een groepje collega's, melden…
Na haar dood werd Abu Akleh als een martelaar voor de Palestijnse zaak door een menigte in Jenin weggedragen, haar lichaam omwikkeld met een Palestijnse vlag en haar veiligheidsvest. Door schade en schande wijs geworden, hebben de Palestijnen in het algemeen weinig vertrouwen meer in zulke Israëlische onderzoeken. Het in Qatar gevestigde Al Jazeera sprak in een verklaring woensdag van „een schaamteloze moord”. Abu Akleh droeg volgens de zender een veiligheidsvest dat duidelijk aangaf dat ze tot de media behoorde. Het Comité voor de Bescherming van Journalisten in New York telde tussen 1992 en begin deze week in totaal achttien van zulke gevallen. Volgens legerwoordvoerders hadden de journalisten zich in de buurt opgehouden van bewapende Palestijnen die begonnen te schieten en onnauwkeurig zouden hebben gemikt. Het incident, dat direct is uitgegroeid tot een nieuwe twistappel tussen de Palestijnen en Israël, speelde zich af in een vluchtelingenkamp bij Jenin, een Palestijnse stad op de Westelijke Jordaanoever. Bijna dagelijks doet het Israëlische leger de laatste weken juist in het kamp invallen, naar eigen zeggen om ‘terroristen’ op te pakken.
In de Arabische wereld wordt geschokt gereageerd op de dood van Al Jazeera-journalist Shireen Abu Akleh. Ze werd doodgeschoten toen ze aan het werk was op ...
"Ik moedig een uitgebreid onderzoek aan naar de omstandigheden rond haar dood en het gewond raken van een andere journalist". Volgens Al Jazeera wordt Abu Akleh donderdag in Jeruzalem begraven. Minister van Buitenlandse Zaken Hoekstra zegt ook dat hij geschokt is en dat "de feiten en omstandigheden onderzocht moeten worden". Ook de minister van Buitenlandse Zaken van Jordanië Ayman Safadi roept op tot een transparant onderzoek en noemt Abu Akleh een gerenommeerde journalist. Directeur van Al Jazeera Giles Trendle zegt "geschokt en verdrietig te zijn" en roept op tot een transparant onderzoek naar haar dood. De realiteit van Palestijnse journalisten is dat ze helaas ook onderdeel kunnen worden van het verhaal." Abu Akleh maakte vooral reportages over het conflict tussen Israël en de Palestijnen. Ook bezocht ze voor haar werk onder meer de Verenigde Staten, het Verenigd Koninkrijk, Turkije en Egypte. Volgens Palestijnse lezing en volgens haar werkgever is zij omgekomen door een Israëlische kogel, terwijl Israël zegt dat ze vermoedelijk door een Palestijnse kogel getroffen werd bij een schotenwisseling tussen het leger en een gewapende groep.
Al Jazeera-journlist Shireen Abu Akleh is woensdagochtend omgekomen bij vuurgevechten rond de stad Jenin, op de Westelijke Jordaanoever.
Er moet onafhankelijk onderzoek komen naar de toedracht, stelt de NVJ, en de verantwoordelijken moeten worden vervolgd. Dood Al Jazeera-journaliste Shireen Abu Akleh: NVJ vraagt om onderzoek en vervolging HomeNieuwsDood Al Jazeera-journaliste Shireen Abu Akleh: NVJ vraagt om onderzoek en vervolging
Moord in koelen bloede.” Zo omschrijft Al-Jazeera de dood van Shireen Abu Akleh, de 51-jarige Palestijnse journaliste die een van de bekendste gezichten van ...
Akleh werd doodgeschoten tijdens opnames op de Westelijke Jordaanoever. Door het Israëlische leger, melden getuigen, de Palestijnse autoriteiten en haar werkgever. “Moord in koelen bloede.” Zo omschrijft Al-Jazeera de dood van Shireen Abu Akleh, de 51-jarige Palestijnse journaliste die een van de bekendste gezichten van de zender was. Bekende journaliste doodgeschoten tijdens verslag op Westelijke Jordaanoever: “Dit was moord in koelen bloede”
Al Jazeera heeft in een woedend statement gereageerd op de dood van Shireen Abu Aqla. De journalist werd vanochtend op de Westelijke Jordaanoever ...
«CheckNews» a analysé une dizaine de vidéos amateur tournées au moment des faits. Elles attestent d'affrontements dans cette zone, et de la présence de ...
Tous deux corroborent la version d’Ali al-Samoudi. Et estiment que l’armée israélienne a délibérément tiré dans leur direction, alors qu’ils étaient clairement identifiés comme journalistes (grâce à leurs gilets pare-balles et casques estampillés «presse»), et avaient signalé leur présence aux soldats. Dans les dernières secondes de la vidéo (dont la version intégrale dure 26 secondes), une voix s’exclame : «Il y en a un qui est touché !» Mais sans préciser si elle s’exprime alors à propos d’un soldat israélien, ou d’un Palestinien. Ce qui contredit certaines traductions selon lesquelles les Palestiniens se seraient félicités d’avoir «touché un soldat». Le journaliste palestinien Ali al-Samoudi, présenté comme le producteur de Shireen Abu Akleh, a lui aussi été touché par les tirs. Lui et Shireen faisaient, selon lui, partie d’un groupe de reporters partis tôt mercredi couvrir l’opération israélienne. Un premier tir les a manqués, puis un deuxième l’a touché lui, et un troisième a tué sa collègue, raconte-t-il. Plus tard dans la matinée, les autorités israéliennes ont précisé leur version, suggérant que la journaliste ait pu être victime d’un tir palestinien. Les soldats ont répliqué. Des personnes ont été atteintes», avance Tsahal. Néanmoins, ces images, où l’on entend des détonations, ne permettent pas d’affirmer que ce sont ces militaires qui ont tiré sur Shireen Abu Akleh. Ajoutant que dans cette zone se trouvaient seulement les forces israéliennes et le groupe de journalistes. Tournées par des journalistes ou des témoins, différentes images montrent, dans un premier temps, le corps inerte de Shireen Abu Akleh, face contre terre. Dans l’après-midi, l’ONG israélienne B’Tselem, qui défend les droits de l’homme dans les territoires occupés, a publié une autre vidéo démontrant, d’après elle, que «les tirs palestiniens relayés par l’armée israélienne ne peuvent pas être ceux qui ont tué la journaliste Shireen Abu Akleh». La séquence a été tournée par un chercheur de B’Tselem, qui détaille la disposition des lieux, en marchant entre l’emplacement des militants palestiniens visibles dans la vidéo et le haut de la rue où a été tuée la journaliste (point 2 sur la carte). Ces images mettent en évidence l’importante distance qui sépare les deux endroits – environ 300 mètres –, et la présence entre eux de multiples murs et bâtiments. Une autre journaliste est abritée juste à côté, derrière un arbre. D’autres vidéos amateurs, rassemblées et géolocalisées par CheckNews, permettent d’éclairer les circonstances dans lesquelles la journaliste palestinienne a été tuée. L’une de ces séquences, diffusée sur le réseau social TikTok à peu près au même moment que la mort de Shireen Abu Akleh, montre des soldats israéliens présents en haut de cette même rue (point 2 sur la carte), celle dont provenaient vraisemblablement les tirs qui ont tué la journaliste.
Voor vele miljoenen Palestijnen is ze zowat de meest bekende en gewaardeerde journaliste en nieuwszender Al Jazeera omschrijft haar als een pionier, moedig en ...
Ze is bij uitstek het symbool van de journalistiek in de Arabische wereld en ver daarbuiten. Veel Palestijnen omschrijven Abu Akleh als de journalist die het Palestijnse volk een stem gaf. De dood van Shireen Abu Akleh komt als een schok binnen de Arabische wereld. "Ze was een pionier, een bron van inspiratie voor ons allen", zeggen collega's van Al Jazeera. In 2000 brengt ze verslag van de tweede Palestijnse Intifada, de volksopstanden die onstonden na het bezoek van Israëlisch premier Ariel Sharon aan de Tempelberg, wat haar naam en faam oplevert. Wie was Shireen Abu Akleh, de 51-jarige Palestijnse journaliste die is doodgeschoten tijdens haar verslaggeving op de Westelijke Jordaanoever?
AA/Nice/Feïza Ben Mohamed. La France « exige qu'une enquête transparente s'engage dans les meilleurs délais pour faire toute la lumière sur les ...
Il en a profité pour réaffirmer « l’engagement constant et déterminé » de la France « partout dans le monde, en faveur de la liberté de la presse et de la protection des journalistes et de tous ceux dont l’expression contribue à une information libre et au débat public ». La disparition de la journaliste « alors qu’elle couvrait une opération des forces de sécurité israéliennes à Jénine, en Cisjordanie, est profondément choquante », estime la diplomatie française. La France « exige qu’une enquête transparente s’engage dans les meilleurs délais pour faire toute la lumière sur les circonstances » de la mort de la journaliste d’Al Jazeera, Shireen Abu Akleh en Cisjordanie, a fait savoir le porte-parole du Quai d’Orsay, cité par la presse locale.
Een journaliste van de Arabische zender Al-Jazeera is deze ochtend doodgeschoten terwijl ze verslag aan het doen was van confrontaties in de regio van Jenin ...
Generaties Palestijnen groeiden op met Shireen Abu Akleh (51) op het televisiescherm. Woensdag werd de journaliste doodgeschoten in Jenin, ...
Generaties Palestijnen groeiden op met Shireen Abu Akleh (51) op het televisiescherm. Woensdag werd de journaliste doodgeschoten in Jenin, volgens omstaanders door het Israëlische leger. Het was volgens omstaanders nog rustig, toen Shireen Abu Akleh (51) woensdagochtend aankwam in de stad Jenin. Samen met een groep Palestijnse journalisten wou ze een razzia in het vluchtelingenkamp verslaan ...
Le département d'État américain a demandé que les responsables du meurtre de la journaliste palestinienne, travaillant pour la chaîne satellitaire qatarie ...
"L'enquête doit être immédiate et approfondie et les responsables doivent répondre de leurs actes" pour le meurtre de la journaliste de la chaîne satellitaire qatarie Al-Jazeera, a ajouté le porte-parole du département d’Etat américain. Le département d'État américain a condamné, ce mercredi, le meurtre de la journaliste palestinienne Shireen Abu Akleh, à la suite de tirs de l'armée d’occupation israélienne en Cisjordanie, appelant à une enquête immédiate et à ce que les auteurs soient traduits devant la justice. - Le département d'État américain a demandé que les responsables du meurtre de la journaliste palestinienne, travaillant pour la chaîne satellitaire qatarie Al-Jazeera, soient traduits devant la justice
De son côté le Premier ministre israélien, Naftali Bennett, a affirmé que la journaliste de la chaîne arabe Al Jazeera Shireen Abu Akleh a "probablement" été ...
"Selon les informations que nous avons réunies, il semble probable que des Palestiniens armés, qui ont ouvert le feu sans discernement à ce moment, sont responsables de la mort malheureuse de la journaliste", a déclaré M. Bennett dans un communiqué. La journaliste Shireen Abu Akleh, une des plus connues de la chaîne de télévision panarabe al-Jazeera, a été tuée mercredi matin par un tir de l'armée israélienne alors qu'elle couvrait des affrontements armés en Cisjordanie occupée, selon des témoins, des responsables palestiniens et son employeur. Le ministère palestinien de la Santé et la chaîne al-Jazeera ont annoncé le décès de cette journaliste par un tir de l'armée israélienne lors de ces affrontements à Jénine, bastion des factions armées palestiniennes dans le nord de la Cisjordanie occupée. Un photographe de l'AFP sur place a aussi fait état des tirs de l'armée israélienne et vu le corps de la reporter qui portait un gilet pare-balles sur lequel est inscrit le mot "presse".
Walid Batrawi a été longtemps journaliste en Palestine. Il participe en ce moment à la 15ème édition des Assises internationales du journalisme qui ont lieu à ...
Shireen Abu Akleh était la voix de la Palestine. Après la mort de Yasser Arafat, ce sont les plus grosses funérailles qu’a connues la Palestine. Aujourd’hui, Jénine, Ramallah et Naplouse lui ont rendu hommage. Oui. A la hauteur de ce qu’elle représentait en Palestine. Elle était la plus célèbre et respectée des journalistes palestiniennes. Tous les journalistes palestiniens sont en danger. Oui. En regardant la vidéo, il ne fait aucun doute. En Palestine, j’ai déjà été confronté à des situations très dangereuses avec l’armée israélienne. Elle allait partout, ne refusait jamais de couvrir un événement. C’était une grande femme.
Hazem Bader Agence France-Presse Des Palestiniens montrent une affiche avec le portrait de la journaliste Shireen Abu Akleh qui a été tuée au moment où elle ...
« L’armée mène une enquête sur ces événements et envisage la possibilité que les journalistes ont été atteints par des hommes armés palestiniens », ont ajouté les militaires. Les soldats ont répliqué. Des personnes ont été atteintes », a indiqué l’armée israélienne. Depuis le 22 mars dernier, Israël a été la cible d’une série d’attaques ayant fait au moins 18 morts. « Nous étions en chemin pour couvrir l’opération de l’armée lorsqu’ils ont ouvert le feu sur nous […] Une balle m’a atteint. Un autre journaliste, Ali al-Samoudi, blessé lors de ces affrontements, a accusé l’armée israélienne d’avoir ouvert le feu sur les journalistes. Le ministère palestinien de la Santé et la chaîne Al Jazeera ont annoncé le décès de la journaliste vedette par un tir de l’armée israélienne lors de ces affrontements à Jénine, bastion des factions armées palestiniennes dans le nord de la Cisjordanie occupée.
Generaties Palestijnen groeiden op met Shireen Abu Akleh (51) op het televisiescherm. Gisteren werd de journaliste doodgeschoten in Jenin, ...
Bij een Palestijns vluchtelingenkamp op de door Israël bezette westelijke Jordaanoever is woensdag de journalist Shireen Abu Akleh doodgeschoten.
La journaliste star a été abattue alors qu'elle couvrait une opération de l'armée israélienne en Cisjordanie. De nombreux pays réclament une enquête.
Mais plus tard, mercredi soir, le ministre israélien de la Défense Benny Gantz a indiqué à la presse étrangère que l’armée « n’était pas certaine de la manière dont elle a été tuée ». L’enquête doit être complètement indépendante », a réagi jeudi Hussein al-Sheikh, un ténor de l’Autorité palestinienne. Dieu merci, le peuple palestinien la soutenait et nous soutient, elle ne sera pas oubliée. »
La journaliste américano-palestinienne Shireen Abu Akleh, une des plus connues de la chaîne Al-Jazeera, a été tuée par balle mercredi alors qu'elle couvrait ...
Je ressens beaucoup de colère." "Notre collègue a été tuée pour ça, confie avec émotion Sami Owaida, un médecin de 57 ans. Beaucoup de jeunes palestiniens l'ont vue raconter la deuxième intifada il y a 20 ans. Émotion considérable chez les Palestiniens de Cisjordanie et de Gaza, l'enclave palestinienne. "C'est très sérieux parce que ça va à l'encontre des principes essentiels de la liberté d'expression et la capacité d'un média à être indépendant et à avoir la capacité de faire des reportages dans des zones de conflit sans avoir peur d'être tué, réagit Sven Kühn von Burgsdorff, chef de la délégation européenne dans la région, présent auprès du consul général de France à Jérusalem. On a immédiatement demandé qu'une enquête immédiate et indépendante soit conduite. Hasard du calendrier, une délégation de diplomates européens passaient la journée à Gaza pour célébrer avec quelques jours de retard la Journée mondiale de la liberté de la presse.
La mort de la journaliste Shireen Abu Akleh, mercredi, a profondément bouleversé ses collègues de la chaîne de télévision Al-Jazira.
"Elle allait partout pour donner une voix à ceux qui n'en ont pas. Durant la minute de silence observée à l'antenne, des journalistes n'ont pas pu empêcher les larmes de rouler sur leurs joues. Je vous enverrai les détails’", raconte-t-il à l'AFP. Elle a envoyé un courriel disant : ‘Bonjour, il y a une intervention israélienne à Jénine et je m'y rends maintenant. Dans une interview récente avec une agence de presse locale, Shireen Abu Akleh ne cachait pas avoir fréquemment peur lorsqu'elle était sur le terrain. (...) Mais c'était aussi une journaliste très expérimentée, pas du genre à prendre des risques stupides juste histoire d'en prendre."
La reporter vedette de la chaîne panarabe a été tuée mercredi, dans un raid de l'armée israélienne à Jénine, en Cisjordanie.
Elles entretiennent une autre version des faits, qui s’oppose aux accusations convergentes des confrères de Shireen Abu Akleh. C’est un pauvre mensonge par omission, à mèche courte, valable pour quelques heures à peine. Le gouvernement aurait dû savoir que les coordonnées GPS des images ne correspondent pas : ces tirs sont filmés à quelque 300 mètres de distance du lieu où Shireen Abu Akleh a été tuée, précise l’organisation de défense des droits humains B’Tselem. Cela suffit au bureau du premier ministre, Naftali Bennett, pour estimer « possible » que cette victime soit la journaliste, l’armée n’ayant déploré ce matin-là aucune perte.
De Arabische wereld verliest een journalistiek icoon, de Palestijnse zaak bekomt een martelares.
Plusieurs milliers de Palestiniens ont rendu hommage jeudi à l'une des leurs, la journaliste vedette Shireen Abu Akleh tuée par balle lors d'une opération ...
"Israël a demandé une enquête conjointe (...) mais nous refusons. Dieu merci, le peuple palestinien la soutenait et nous soutient, elle ne sera pas oubliée (...)". - "Tous les indicateurs" - Des Palestiniens dont des enfants ont continué de déposer des fleurs sur le lieu de son décès à Jénine et plusieurs petites manifestations ont éclaté spontanément pour protester contre sa mort dans les Territoires palestiniens. - "Soeur de tous les Palestiniens" - "Nous tenons les autorités israéliennes d'occupation complètement responsables de sa mort", a déclaré M. Abbas durant la cérémonie, expliquant son refus d'une enquête conjointe par le fait que "les autorités israéliennes ont commis ce crime et nous ne leur faisons pas confiance". Il a affirmé vouloir saisir la Cour pénale internationale.
Tuée lors d'une opération de l'armée israélienne en Cisjordanie, la journaliste et figure populaire d'Al-Jazira, Shireen Abu Akleh, s'était illustrée par ...
Son diplôme en poche, l’apprenti-journaliste retourne en terre palestinienne, voulant raconter le quotidien et les difficultés d’un peuple qu’elle juge injustement menacé. Elle tape à la porte de plusieurs rédactions, multiplie les piges pour la radio « La Voix de la Palestine » et la radio Monte-Carlo, avant de rejoindre en 1997 la chaîne Al-Jazira, rédaction où elle travaillera pendant 25 ans. Née en 1971 au sein d’une famille chrétienne, Shireen grandit dans la ville de Beit Hanina, à Jérusalem-Est. En parallèle, elle obtiendra la nationalité américaine, après avoir vécu un moment aux côtés de la famille de sa mère, installée dans le New Jersey. Plus tard, elle entame des études d’architecture à l’Université jordanienne, avant de se tourner finalement vers le journalisme en intégrant la faculté de Yarmouk en Jordanie, précise le quotidien israélien Haaretz. « J’ai choisi cette voie pour être proche des gens », avait-elle expliqué dans une courte vidéo partagée par Al-Jazira, après son décès mercredi. Plusieurs représentants officiels et des milliers de Palestiniens ont participé ce jeudi à une cérémonie officielle à Ramallah, saluant une dernière fois la mémoire de la reporter tuée à 51 ans. D’où vient le tir ? Après avoir affirmé que la journaliste avait « probablement » succombé à une attaque menée par des combattants palestiniens, Israël a dit finalement ne pas écarter la possibilité que la balle ait été tirée par ses soldats. Il est à peine 6h13 quand la journaliste envoie un message à sa rédaction, la chaîne Al-Jazira. « Les forces israéliennes sont en train d’envahir Jénine et entourent une maison dans le quartier de Jaberiyat. Je suis en route, je vous tiens au courant pour un direct dès que j’ai plus de détails. » Ce mail sera le dernier que la reporter palestino-américaine de 51 ans écrira à la chaîne. Mercredi matin, son casque sur la tête, et son gilet « Press » sur le dos, Shireen Abu Akleh est partie à Jénine, grande ville du nord de la Cisjordanie occupée, où l’armée israélienne mène depuis plusieurs semaines des opérations militaires.
Plusieurs milliers de Palestiniens ont rendu hommage jeudi à l'une des leurs, la journaliste vedette Shireen Abu Akleh tuée par balle.
"Israël a demandé une enquête conjointe (...) mais nous refusons. Dieu merci, le peuple palestinien la soutenait et nous soutient, elle ne sera pas oubliée (...)". "Tous les indicateurs, les preuves et les témoins confirment son assassinat par des unités spéciales israéliennes", a affirmé Hussein al-Sheikh, un ténor de l'Autorité palestinienne. "Nous avons besoin de la preuve médico-légale" des Palestiniens, y compris la balle ayant tué la reporter, afin de mener une enquête "complète", a dit M. Gantz. Al Jazeera a accusé les forces israéliennes d'avoir tué "de façon délibérée" et de "sang froid" sa journaliste star. - "Soeur de tous les Palestiniens" -
La journaliste Shireen Abu Akleh a été tuée par balles mercredi matin alors qu'elle couvrait une intervention de l'armée israélienne.
Puis mercredi après-midi, dans un communiqué, l'armée israélienne a indiqué qu’en fait, à ce stade, elle ne savait pas qui a tué la journaliste. Mercredi matin, elle s'était postée à l’entrée d’un camp de Jénine, au nord des territoires palestiniens de la Cisjordanie, pour couvrir une intervention de l'armée israélienne. Elle était avec un groupe de 7 journalistes, clairement identifiés, portant casques et gilets pare-balles. Pourtant, elle confiait qu’elle n’aimait pas le danger, elle n’avait pas peur de dire qu’elle avait peur et pensait d’abord à protéger ses équipes, plutôt qu'à faire des images.
Op de Westelijke Jordaanoever hebben duizenden Palestijnen afscheid genomen van oorlogsjournaliste Shireen Abu Akleh, die gisterochtend doodgeschoten werd.
De kist kwam eerst aan op het hoofdkwartier van de Palestijnse Autoriteit in Ramallah, waarin het slachtoffer door onder meer president Mahmoud Abbas werd begroet. De journaliste van de Arabische zender Al Jazeera wordt morgen in Jeruzalem begraven. Op de Westelijke Jordaanoever hebben duizenden Palestijnen afscheid genomen van oorlogsjournaliste Shireen Abu Akleh, die gisterochtend doodgeschoten werd.