Elue dans la troisième circonscription de l'Hérault et présidente déléguée du groupe majoritaire au Parlement, Coralie Dubost a fait l'objet d'un rapport ...
Je ne serai pas candidate à ma réélection", précise-t-elle. "Il y a deux mois, j'ai perdu mon père, un grand et honnête homme, j'aurais aimé consacré plus de temps à ses derniers souffles, je veux en consacrer des paisibles à ceux de mon nouveau-né", écrit-elle. Chaque député dispose d’une avance de frais de mandat de 5.373 euros mensuels, qui s’ajoute à la rémunération des élus. Elle s'est justifiée auprès de Mediapart en détaillant: "Il y a des tenues de mandat et les tenues perso (…), je ne mets pas les mêmes affaires dans ma vie perso et dans ma vie de mandat." "Je ne serai pas candidate à ma réélection" La vice-présidente déléguée du groupe LREM à l’Assemblée nationale n'avait pas immédiatement réagi après avoir été mise en cause pour des dépenses ne rentrant pas dans le périmètre des dépenses autorisées, et notamment des factures pour des achats vestimentaires à plusieurs centaines d'euros, mais aussi des factures de restaurants.
Le parti présidentiel va devoir trouver un autre candidat sur la 3e circonscription de l'Hérault pour les prochaines élections législatives. Écoutez cet article.
Aussi est venu pour moi le temps de me mettre en retrait de la vie politique et de me consacrer à ma famille. Je ne serai pas candidate à ma réélection. (...) » Il y a encore quelques jours, la question de sa candidature à sa succession pour les élections législatives de juin prochain ne se posait pas. Ou encore « plus de 500 euros d'argent public dans des enseignes de lingerie ». Coralie Dubost a indiqué avoir procédé à des remboursements de frais jugés non-liés à l'exercice du mandat de député pour les années 2018 et 2019. L'"affaire" dénoncée par l'enquête de Médiapart porte sur l'usage de fonds publics pour ses dépenses personnelles. Il est notamment question, dans le rapport, de « dépenses vestimentaires mensuelles selon une fourchette allant de 1.500 à 2.000 euros ». Selon Médiapart, l'élue a par exemple dépensé jusqu'à 3.300 euros, en octobre 2018 sur des sites de vente en ligne, en habillement et accessoires.
CORALIE DUBOST. La députée LREM de l'Hérault annonce son retrait de la vie politique ce 2 mai. En cause, les révélations de Médiapart sur sa mauvaise ...
Ce sont d'ailleurs ces signalements qui sont à l'origine de l'enquête par la cellule anti harcèlement puis du déontologue sur les actions de la députée. La députée a présenté ces frais comme des "avances de trésorerie, quand vous avez besoin d'un truc en dernière minute et que vous n'avez pas votre carte perso sur vous". Durant son mandat de députée, l'élue a gravi les échelons jusqu'à devenir vice-présidente déléguée du groupe LREM à l'Assemblée nationale en septembre 2021. Confondre les dépenses parlementaires et privées n'a pas été la seule erreur de Coralie Dubost. L'élue a aussi entretenu le flou entre la sphère professionnelle et personnelle avec ses collaborateurs. Elle explique vouloir se "mettre en retrait de la vie politique", une décision surtout motivée par les accusations et les révélations sur ces dépenses abusives et personnelles réalisées avec le portefeuille parlementaire qui entachent son mandat. La députée de l'Hérault a pendant cinq ans bénéficié de l'indemnité mensuelle de député de 7 239,91€ et des avances de frais de mandat (AFM) de 5 373€ livrées là encore tous les mois par l'Assemblée nationale. "Il y a des tenues mandat et les tenues perso [...], je ne mets pas les mêmes affaires dans ma vie perso et dans ma vie de mandat", a expliqué Coralie Dubost à Médiapart, un argument pas suffisamment convainquant au goût de l'Assemblée nationale. Dans le viseur du déontologue se trouvent aussi des réservations passées dans des établissements du bord de mer et autres lieux de loisirs haut de gamme. Coralie Dubost assure au journal avoir remboursé tous les frais indus après ses contrôles consécutifs en 2018 et 2019. Dans sa lettre, elle dénonce des "attaques injustes qui desservent [son] groupe politique, les échéances électorales et plus globalement la démocratie", aussi pour ne pas porter atteinte à LREM et éviter de devenir un "instrument d'une cabale anti-parlementaire", Coralie Dubost indique qu'elle ne se représentera pas dans la troisième circonscription de l'Hérault lors des élections législatives de juin prochain. Le rapport fait état de "demandes inappropriées" relevant de la sphère privée faites par Coralie Dubost auprès de son équipe parlementaire. En cause, les révélations de Médiapart sur sa mauvaise gestion et ses dépenses abusives avec le portefeuille parlementaire.
La députée LREM de l'Hérault a annoncé dimanche se « mettre en retrait de la vie politique ». Deux jours plus tôt, elle avait été accusée de mauvaise ...
Sont cités des achats personnels pour l'élue, la surveillance du personnel de maison ou la réalisation de tâches domestiques. Selon Mediapart, la députée de l'Hérault a par exemple dépensé jusqu'à 3.300 euros en habillement et accessoires au mois d'octobre 2018. Cette annonce est intervenue seulement deux jours après que la députée LREM a été épinglée pour sa gestion de certains collaborateurs et l'utilisation dispendieuse de ses avances de frais de mandat.
Selon Mediapart, la députée aurait dépensé plusieurs milliers d'euros de ses avances de frais de mandats dans des vêtements et des restaurants.
Il est notamment question de « dépenses vestimentaires mensuelles selon une fourchette allant de 1 500 à 2 000 euros » ou « de frais de restaurants très importants », expose le rapport. Selon un rapport d'un cabinet de ressources humaines transmis au printemps 2021 au déontologue de l'Assemblée nationale, publié vendredi par Mediapart et dont l'AFP a eu connaissance, d'ex-collaborateurs de Coralie Dubost lui reprochent de leur avoir imposé « des tâches relevant de la sphère personnelle », des propos et comportements « dévalorisants » mais aussi un « conflit de valeurs » ou « éthique » en particulier sur l'utilisation de ses avances de frais de mandats. La députée LREM Coralie Dubost a annoncé dimanche se « mettre en retrait de la vie politique », deux jours après avoir été épinglée pour sa gestion humaine de certains collaborateurs et l'utilisation dispendieuse de ses avances de frais de mandat, des faits qu'elle conteste.
Coralie Dubost, la députée de la troisième circonscription de l'Hérault, a annoncé sur Twitter, dimanche 1er mai, qu'elle ne serait pas candidate à sa ...
Cette juriste de profession (et ex-compagne d'Olivier Véran) est notamment épinglée pour des achats dispendieux en lingerie avec l'argent public! Elle répond...
Très peu soutenue par ses collègues de la majorité depuis les révélations, Coralie Dubost a donc décidé de ne pas être candidate à sa réélection et de se retirer de la vie politique. Coralie Dubost, députée de l'Hérault et vice-présidente déléguée du groupe LREM à l'Assemblée Nationale se met en retrait de la vie politique après qu'un rapport confidentiel a pointé la mauvaise gestion de ses frais de mandat. C'est désormais chose faite avec ce communiqué paru sur Twitter dans lequel celle qui arrive au terme de sa grossesse explique: "Depuis quelques jours, ma personne est visée par des attaques injustes, qui desservent mon groupe politique, les échéances électorales et plus globalement la démocratie. (…) Aussi est venu pour moi le temps de me mettre en retrait de la vie politique et de me consacrer à ma famille.
CORALIE DUBOST. La députée LREM de l'Hérault quittera la vie politique à la fin de son mandat en juin 2022. Epinglée pour des dépenses abusives avec le ...
Ce sont d'ailleurs ces signalements qui sont à l'origine de l'enquête par la cellule anti harcèlement puis du déontologue sur les actions de la députée. La députée a présenté ces frais comme des "avances de trésorerie, quand vous avez besoin d'un truc en dernière minute et que vous n'avez pas votre carte perso sur vous". Durant son mandat de députée, l'élue a gravi les échelons jusqu'à devenir vice-présidente déléguée du groupe LREM à l'Assemblée nationale en septembre 2021. Confondre les dépenses parlementaires et privées n'a pas été la seule erreur de Coralie Dubost. L'élue a aussi entretenu le flou entre la sphère professionnelle et personnelle avec ses collaborateurs. Elle explique vouloir se "mettre en retrait de la vie politique", une décision surtout motivée par les accusations et les révélations sur ces dépenses abusives et personnelles réalisées avec le portefeuille parlementaire qui entachent son mandat. La députée de l'Hérault a pendant cinq ans bénéficié de l'indemnité mensuelle de député de 7 239,91€ et des avances de frais de mandat (AFM) de 5 373€ livrées là encore tous les mois par l'Assemblée nationale. "Il y a des tenues mandat et les tenues perso [...], je ne mets pas les mêmes affaires dans ma vie perso et dans ma vie de mandat", a expliqué Coralie Dubost à Médiapart, un argument pas suffisamment convainquant au goût de l'Assemblée nationale. Dans le viseur du déontologue se trouvent aussi des réservations passées dans des établissements du bord de mer et autres lieux de loisirs haut de gamme. Coralie Dubost assure au journal avoir remboursé tous les frais indus après ses contrôles consécutifs en 2018 et 2019. Dans sa lettre, elle dénonce des "attaques injustes qui desservent [son] groupe politique, les échéances électorales et plus globalement la démocratie", aussi pour ne pas porter atteinte à LREM et éviter de devenir un "instrument d'une cabale anti-parlementaire", Coralie Dubost indique qu'elle ne se représentera pas dans la troisième circonscription de l'Hérault lors des élections législatives de juin prochain. Le rapport fait état de "demandes inappropriées" relevant de la sphère privée faites par Coralie Dubost auprès de son équipe parlementaire. En cause, les révélations de Médiapart sur sa mauvaise gestion et ses dépenses abusives avec le portefeuille parlementaire.
Les récentes révélations de Médiapart sur la mauvaise gestion des frais de mandat de la députée héraultaise, Coralie Dubost, questionnent sur ce qu'il est ...
Ce dont s'est défendue la députée Coralie Dubost en indiquant qu'elle possédait des tenues professionnelles et des tenues personnelles. Le député peut aussi louer un appartement à Paris ou en petite-courrone qu'il devra meubler et équiper à sa charge. Mais aussi les contraventions, sanctions administratives, pénalités ou redevances dues en raison d’un comportement fautif du député, les dépenses liées à un mandat local ou une activité bénévole. Comme dit plus haut, les transports sont intégralement pris en charge mais aussi l’achat d’un véhicule et frais réels liés à son utilisation. Ces frais, ne doivent en aucun cas "poursuivre pour objectif l’augmentation du patrimoine personnel du député, de ses proches ou de ses collaborateurs", précise un arrêté de 2018. D'autres allocations peuvent être versées comme pour faire garder ses enfants ou payer des nuits d'hôtel quand les chambres de l'Assemblée ne sont pas libres.
Le rapport qui met à jour le comportement inapproprié de la députée LREM Coralie Dubost vis-à-vis de ses assistants.
La profession nourrit beaucoup de fantasmes". Pour y remédier, la CGT espère dans cette mandature, qu'un statut protecteur pour les deux parties soit créé. "Il n’y a pas de convention collective. Ce flou contractuel serait un terreau favorable, "entretenu par un rapport de domination, les enjeux de pouvoir. L’existence de la cellule même, c’est une bonne chose, pour autant, c'est un instrument insuffisant.