A partir de ce dimanche, la Ville de Bruxelles mettra en place de nouvelles règles concernant le stationnement et les tarifs appliqués. Du côté de Proximus, ...
Ce plan de stationnement divise le territoire en quatre zones de stationnement : bleue, verte, grise et rouge. Proximus avait déjà augmenté les tarifs d’une série de packs en janvier. Pour les personnes sans carte de stationnement, celui-ci sera payant dans les zones grises et vertes, mais gratuit et limité à 2 heures en zone bleue, sur présentation du disque de stationnement, précise la Ville de Bruxelles.
Le parti socialiste flamand Vooruit veut aussi maintenir l'indexation automatique des salaires, des pensions et des allocations dans sa totalité.
"Restez à l'écart!" Le pouvoir d'achat doit encore être davantage protégé en taxant plus lourdement les surprofits des grandes entreprises, a aussi répété Conner Rousseau, reprenant une proposition déjà formulée jeudi. Le parti veut aussi prolonger le tarif social élargi sur le gaz et l'électricité tant que ce sera nécessaire. Contrairement à la tradition, l'événement n'a pas été organisé au Vooruit de Gand, mais au nouveau quartier général du parti, au boulevard de l'Empereur à Bruxelles.
Á chaque mois son lot de nouveautés. Et cette fois ce seront les tarifs de Proximus qui augmenteront au 1er mai. La...
Pour les personnes sans carte de stationnement, celui-ci sera payant dans les zones grises et vertes, mais gratuit et limité à 2 heures en zone bleue, sur présentation du disque de stationnement, précise la Ville de Bruxelles. Proximus avait déjà augmenté les tarifs d'une série de packs en janvier. Á chaque mois son lot de nouveautés. Et cette fois ce seront les tarifs de Proximus qui augmenteront au 1er mai.
Balayons d'emblée une interrogation que certains ont peut-être en ce 1er mai: non, offrir du muguet en ce jour n'a rien à voir avec la Fête du travail!
De plus, le coût du transport – avec la hausse du prix de l’essence et diesel – porte lui aussi un sacré coup au petit brin. Certains sont un peu plus réticents cette année à suivre la tradition. Ceci dit, allez-vous vous précipiter ce dimanche matin pour offrir un brin à ceux qui vous entourent?
Au centre du discours du président du parti Raoul Hedebouw, forcément le "pouvoir d'achat" et les conséquences de la crise ukrainienne avec la flambée des prix ...
Le PTB, fustigeant le manque de réponse du gouvernement face à la flambée des prix, plaide ainsi résolument pour "une mesure simple" – à voir ? – à savoir la suppression de toutes les accises sur les carburants, actuellement autour de 60 cents le litre d’essence ou de diesel, pour ramener les prix à la pompe à 1,40 euro maximum le litre, et nous avons déposé une proposition en ce sens. Le PTB fait ce que les partis de la gauche traditionnelle n’ont pas réussi à faire depuis 20 ans, c’est-à-dire tirer les discours politiques à nouveau vers la gauche. Mais la mesure principale doit être aussi de bloquer les prix des produits de première nécessité, carburant, énergie et aliments de base, c’est ça la solution". Visés le riz, les pâtes, la semoule, le pain, la farine.
Une centaine de réunions dans les fédérations socialistes sont prévues en Wallonie et à Bruxelles. Le président de parti Paul Magnette prononcera son discours à ...
Le MR a plaidé dimanche à l'occasion de la fête du 1er Mai pour une baisse de la fiscalité sur le travail afin de stimuler le taux d'emploi, que le MR veut voir atteindre 80% d'ici 2030. Après deux ans d'interruption pour cause de crise sanitaire, le MR renouait dimanche avec son habituelle fête du 1er Mai organisée cette fois, non plus à Jodoigne (Brabant wallon) comme le parti en avait souvent l'habitude, mais à Herstal, dans l'ancien bassin industriel liégeois acquis de longue date à la gauche. La taxation de prétendus 'riches', c'est en réalité la taxation des classes moyennes! "La Belgique étouffe sous la fiscalité!", a dénoncé dimanche le président des libéraux francophones, Georges-Louis Bouchez, devant plusieurs centaines de mandataires et de militants libéraux réunis à Herstal (Liège), sur l'ancien site des usines des ACEC. "Quand j'entends ceux qui veulent augmenter les taxes, je me demande s'ils savent réellement dans quel pays ils vivent", a lancé le Montois en pointant les différences de taux d'imposition actuellement pratiqués entre la Belgique, la France ou l'Allemagne. "Il faut moins pour l'Etat et plus pour le pouvoir d'achat, plus pour les travailleurs!" Le coût de la vie a occupé une grande partie des interventions à l'occasion du 1er mai célébré cette année par le PTB place Anneessens à Bruxelles. "Nous vivons dans un des pays les plus riches du monde et aujourd'hui, il y a des travailleurs qui préfèrent dormir dans leur voiture pour économiser du carburant. Le PTB a réclamé dimanche un blocage des prix des produits de première nécessité, comme la farine, le riz, les pâtes, le pain, la semoule, etc.
M. Laaouej a rappelé que les socialistes avaient déposé une proposition de loi visant à bloquer les prix, au parlement. Il a également fait part du souhait du ...
“Il n’y a pas un seul pays au monde, pas un seul pays dans l’histoire, où la prospérité et la liberté des gens ordinaires se sont améliorées lorsque les extrêmes sont au pouvoir. “Le PTB pousse aujourd’hui l’ensemble des formations politique vers la gauche, même le CD&V de M. (Joachim) Coens. Beaucoup de choses ont l’air possible mais attention, avec nos propositions, pas de copyright, que du copyleft‘”, a lancé le président à l’occasion de la Fête du travail. Le président des socialistes flamands a, dans son discours tenu dans sa ville, Saint-Nicolas (Flandre orientale), évoqué des thèmes chers aux socialistes, comme la lutte pour la solidarité ou la défense de l’index. Mais il s’est aussi livré à une charge frontale contre le Vlaams Belang – dont le président, Tom Van Grieken, doit lui aussi prononcer un discours à l’occasion de la Fête du travail, dimanche après-midi, également à Saint-Nicolas. Le Vlaams Belang tente ainsi de “détourner” le 1er mai, qui est traditionnellement une fête socialiste. Le coût de la vie a occupé une grande partie des interventions à l’occasion du 1er mai célébré cette année par le PTB place Anneessens à Bruxelles. “Nous vivons dans un des pays les plus riches du monde et aujourd’hui, il y a des travailleurs qui préfèrent dormir dans leur voiture pour économiser du carburant. “La Belgique étouffe sous la fiscalité!“, a dénoncé dimanche le président des libéraux francophones, Georges-Louis Bouchez, devant plusieurs centaines de mandataires et de militants libéraux réunis à Herstal (Liège), sur l’ancien site des usines des ACEC. Après deux ans d’interruption pour cause de crise sanitaire, le MR renouait dimanche avec son habituelle fête du 1er Mai organisée cette fois, non plus à Jodoigne (Brabant wallon) comme le parti en avait souvent l’habitude, mais à Herstal, dans l’ancien bassin industriel liégeois acquis de longue date à la gauche. M. Bouchez a à nouveau repoussé les appels (de la gauche) à augmenter la fiscalité sur les hauts patrimoines. La taxation de prétendus +riches+, c’est en réalité la taxation des classes moyennes! Le président de la Fédération bruxelloise du PS, Ahmed Laaouej, a plaidé dimanche pour l’instauration d’un bouclier social contre les effets de la crise observée dans les domaines de l’énergie et des denrées alimentaires. “Nous vivons à nouveau une crise libérale. Les prix de l’énergie et des produits alimentaires flambent parce que l’on nous dit qu’il y a un problème d’offre et de demande sur le marché alors même qu’on apprend que les profits et surprofits de certaines multinationales de ces secteurs battent tous les records. “C’est pour ces raisons que nous voulons construire des logements sociaux dans les zones moins densément peuplées, comme au Chant des Cailles“, a-t-il dit, s’en prenant aux écologistes locaux qui tiennent un discours “social en façade, mais anti-social quand il s’agit de logements” chez eux. M. Laaouej a rappelé que les socialistes avaient déposé une proposition de loi visant à bloquer les prix, au parlement.
Paul Magnette, président du Parti socialiste, avait donné rendez-vous à ses militants dans son fief, avec un discours au...
C’est un combat que nous allons mener et nous le remporterons !". Le MR accusé de tous les maux, là où le PS se présente forcément - slogan traditionnel du 1er mai oblige – comme le seul rempart, la seule protection des travailleurs ou des plus fragiles : "Le président du MR rêve de réduire les pensions de ceux qui ont subi dans leur vie une perte d’emploi ou une maladie, ou qui n’ont pas pu travailler à temps plein, et qui très souvent sont des femmes. "Ils reviennent avec les éternelles agressions de la droite […]. J’ai connu un temps où nous avions parfois des libéraux avec qui on pouvait dialoguer, mais la droite est revenue avec sa dureté et son arrogance". On est loin des fleurets mouchetés, les attaques sont frontales. C’est une vision que nous n’allons jamais pouvoir accepter […]. Chaque fois que la droite s’attaquera aux travailleurs, avec et sans emploi, ils trouveront les socialistes sur leur chemin". Les travailleurs n’ont pas oublié le sinistre bilan des cinq années de régression sociale du gouvernement MR-NVA". A savoir, pour Paul Magnette : le saut d’index, les économies dans les soins de santé, l’austérité, les attaques contre les services publics, les atteintes au droit de grève et les provocations contre les syndicats… Discours qui a démarré sur un coup de griffe au 1er mai d’un autre parti : "Le 1er mai appartient aux travailleurs, et à personne d’autre ! C’est pour cela que, je vous l’avoue, je suis un peu écœuré quand je vois la parodie de 1er mai, cette mascarade des libéraux qui, depuis quelques années, prétendent fêter le travail.
Dans le collimateur du syndicat socialiste : la loi de 1996 qui fixe la marge salariale et bloque, selon la FGTB, toute augmentation significative des salaires.
Nous continuerons à taper sur le clou jusqu’au prochain accord interprofessionnel », a poursuivi Thierry Bodson en dénonçant les « provocations » des patrons. « Les entreprises distribuent des dividendes à crever à leurs actionnaires mais on nous répète qu’il n’y a rien à négocier pour les travailleurs. « Ce dont les travailleurs nous parlent, c’est du pouvoir d’achat ; de leurs fins de mois de plus en plus difficiles.
Plusieurs dizaines de milliers de personnes défileront dimanche pour la traditionnelle Journée internationale du travail, à l'appel de nombreux syndicats et ...
Leur inquiétude est d'autant plus vive que le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, n'a pas exclu lundi d'utiliser l'arme du 49.3 pour faire adopter la réforme. Au total, 255 points de rassemblement étaient prévus dans le pays, selon la CGT. Contrairement à l'année dernière, la confédération Force Ouvrière (FO) n'a pas signé cet appel national. "Il faut que la mobilisation du 1er-Mai soit la plus massive possible... Sur France Inter, ce dernier a noté qu'il s'agissait d'un "rendez-vous assez exceptionnel, une semaine après l'élection du président de la République". "Il faut qu'il y ait du monde", a-t-il insisté. Dans le contexte de négociations difficiles pour parvenir à un accord de toute la gauche en vue des législatives, Julien Bayou a évoqué vendredi la possibilité pour la gauche de défiler sous une "bannière commune", "en soutien aux syndicats". Mais Jean-Luc Mélenchon a un peu douché ces ardeurs dans le JDD samedi : "La photo de famille du 1er-Mai, ce n'est pas le sujet ! Le sujet, c'est le contenu du programme social qu'on appliquera".
Les liens entre muguet, 1er mai et fête du Travail sont multiples, mais le dernier en date n'est pas le plus réjouissant.
L’une raconte que le roi Charles IX et sa mère Catherine de Médicis auraient reçu du muguet de la part d’un chevalier lors d’une visite du Dauphiné. Le roi aurait apprécié le geste et se serait mis à offrir ces fleurs aux dames de sa cour tous les ans. Ce serait ce geste qui aurait d’ailleurs inspiré Christian Dior, grand amateur du muguet. L’autre dit que c’est sa mère qui aurait chargé ce même chevalier d’une mission et qu’il en serait revenu avec du muguet, qu’il aurait alors offert au roi…
Après deux années en virtuel pour cause de covid comme pour tous les autres partis, le MR célèbre aussi ce 1er mai...
C’est grâce à la population et pour la population que l’on travaille et que l’on prépare la Belgique de demain". Difficile de ne pas y voir une allusion masquée et une ultime réplique aux remous qui ont entouré le récent débat entre le président des libéraux et le Vlaams Belang sur un plateau télé de Flandre, largement dénoncé par les autres partis francophones ces derniers jours… Ce que la population attend, c’est qu’on résolve ses problèmes, pas qu’on joue à des "combinations", des arrangements entre amis qui n’intéressent que les partis. "Face à la montée des populismes ou des extrémismes et des radicalismes religieux, il faut relever […] le défi de changer la façon de faire de la politique. Notre priorité est donc la réforme fiscale, la baisse des impôts". Il a ainsi cité sa proposition de relever la quotité exemptée d’impôts de 9000 à 12.000 euros, son idée de capital jeunes, la pension minimale pour tous ou encore en appliquant une fiscalité "plus favorable à ceux qui se lèvent tôt tous les matins pour aller travailler et bâtir notre pays". La manière de financer cela, selon le MR, étant d’arriver à augmenter le taux d’emploi, via enseignement, formation, et politique renforcée d’activation des demandeurs d’emploi. Et Georges-Louis Bouchez de poursuivre : "Nous ne parlons pas de taxes, taxes, taxes. "En tant que formation politique, je pense que nous devons aller là où nous n’avons pas assez convaincu.
Le PTB a réclamé dimanche un blocage des prix des produits de première nécessité, comme la farine, le riz, les pâtes, le pain, la semoule, etc. ainsi que de ...
Le PTB attend toutefois de voir la concrétisation des engagements pris à l'approche du 1er mai qui risquent, à ses yeux, d'être rapidement oubliés dès le 2 mai. Depuis longtemps, le PTB milite pour une "taxe des millionnaires", là où d'autres partis de gauche parlent d'un impôt sur la fortune. Le coût de la vie a occupé une grande partie des interventions à l'occasion du 1er mai célébré cette année par le PTB place Anneessens à Bruxelles. Il désigne un groupe d'experts. Des ministres qui gagnent 11.000 euros par mois vivent tellement dans leur bulle qu'ils ont besoin d'experts pour savoir ce qui se passe dans la vie des gens... "Nous vivons dans un des pays les plus riches du monde et aujourd'hui, il y a des travailleurs qui préfèrent dormir dans leur voiture pour économiser du carburant. Il a aussi fustigé le manque de réponse du gouvernement face à la flambée de certains prix.
Des dégradations, de voitures et de magasins notamment, ont été commises dimanche à Bruxelles en marge d'une...
Des arrêts de bus ont aussi été endommagés. "Une équipe va faire le tour du parcours et noter tous les dégâts encourus. Nous regrettons profondément" que de tels actes aient été posés, a déploré la porte-parole de la police de Bruxelles-Capitale/Ixelles, Ilse Van de Keere
La pandémie, les inondations en Wallonie, la guerre aux frontières de l'Europe et ses conséquences désastreuses sur les prix de l'alimentation et de ...
"Avec nos partenaires de l'Action commune et le soutien très très large de la population, nous pouvons y arriver". "Avec cela, on peut augmenter de cent euros net tous les mois les salaires de la moitié des travailleurs, soit 2,5 millions de travailleurs". "J'ai connu un temps où nous avions parfois des libéraux avec qui on pouvait dialoguer, mais la droite est revenue avec sa dureté et son arrogance", a lancé M. Magnette.
Des dégradations, de voitures et de magasins notamment, ont été commises dimanche à Bruxelles en marge d'une manifestation à l'occasion de la fête du ...
Qui dit 1er mai, dit fête du Travail. Un jour férié dans plusieurs pays, dont la Belgique, qui tire ses origines dans un...
Ensuite, les Japonais célèbrent le " Kenpokinenbi " (jour de la constitution) le 3 mai, puis le " Midori no hi " (jour vert) le 4 mai pour profiter de la nature. Enfin, le 5 mai, place au " Kodomo no hi " (fête des enfants). Une journée où l’on retrouve traditionnellement des banderoles en forme de carpes koï dans les jardins. A la place, le " Labor Day " nord-américain est organisé lors du 1er lundi de septembre. Il n’y a pas de fête du Travail à proprement parler, lors du 1er mai. Demain, les Anglais n’iront donc pas au travail, pour célébrer ce qu’ils appellent le " May Day ". Oubliez les traditionnelles manifestations, chez les Anglais, c’est la danse qui donne le pas lors de ce premier mai. Mais c’est également un jour de fête d’étudiants et de carnaval. La compétition fait rage entre villages pour savoir qui aura le mât le plus haut, et des tours de garde sont même menés pour éviter qu’ils ne soient détruits. Certains MaiBaum peuvent atteindre les 30 mètres de haut. Pour célébrer la fête du Travail, certaines grandes entreprises, ou sociétés internationales décident d’accorder un jour de congé payé à leurs employés. Depuis, des manifestations sont organisées les 1er mai à travers tout le pays. Cette fleur était déjà très appréciée dans l’antiquité. Mais la tradition qui consiste à offrir du muguet remonterait au 16ème siècle. Une tradition désormais devenue un business, autour de cette fleur qui, on le rappelle, est toxique. Ce dimanche, le MR s’est donné rendez-vous à Herstal, sur l’ancien site A.C.E.C. Le président du PS, Paul Magnette, a choisi de s’exprimer dans son fief, à Charleroi. Le président du PTB, Raoul Hedebouw, a lui choisit de se rendre à Bruxelles, place Annessens. C’est également à Bruxelles que s’est donné rendez-vous le parti Ecolo, plus précisément au Mont des Arts, dans un " village associatif ". Si les Français sont plutôt tournés vers les manifestations, en Belgique ce sont les discours politiques et les rassemblements intra-partis qui ont la cote.
A Paris, la manifestation s'est élancée peu après 14H30 de la place de la République en direction de la place de la Nation, à l'appel de l'intersyndicale ...
Vers 16h, certains participants à la manifestation s'en sont pris à la façade d'un McDonald. La BRAVM (Brigade de répression de l'action violente motorisée) a du intervenir. PARIS - Une boutique d’assurance à été dégradé.— Clément Lanot (@ClementLanot) #1erMai PARIS - Intervention de la BRAVM pour protéger le Mcdo. Mortier d’artifice et gaz lacrymogène. Tensions en cours.— Clément Lanot (@ClementLanot) #1erMai pic.twitter.com/e9y5vCTv4t May 1, 2022
Ce 1er mai revêt aussi une signification particulière pour la gauche, dans le contexte de négociations difficiles pour parvenir à un accord en vue des ...
Je suis cela avec attention », a tweeté le ministre de l’Intérieur, assurant son « plein soutien aux policiers et gendarmes mobilisés ». Une voiture a été fracturée, des feux se sont déclarés, dont un alimenté par des planches de bois, ont constaté des journalistes de l’AFP. Ce 1er mai revêt aussi une signification particulière pour la gauche, dans le contexte de négociations difficiles pour parvenir à un accord en vue des législatives. Jean-Luc Mélenchon (LFI) a pris la parole sur une estrade au moment où le cortège parisien s’ébranlait, exhortant à un accord « cette nuit ». M. Mélenchon et le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, se sont plus tard serré la main avant d’engager une brève conversation aux cris d’« Union populaire ! » dans la foule.
Pendant le voyage, un chevalier offre au jeune souverain un brin de muguet, en guise de porte-bonheur, cueilli dans son jardin. Touché par ce cadeau, Charles IX ...
Et il porte bonheur ! Mais il n’a pas de lien direct avec la Fête du Travail. Touché par ce cadeau, Charles IX décide d’en faire une nouvelle coutume et d’offrir du muguet le 1er mai à chacune des dames de la cour. D’où vient cette tradition d’offrir du muguet le 1er mai ? Différentes versions circulent ! Mais elle remonterait à la Renaissance en France. En 1560, le roi Charles IX et sa mère Catherine de Médicis se rendent dans le sud du royaume.
Le pouvoir d'achat aussi à la "une" des préoccupations du syndicat socialiste. A l'occasion du 1er mai, la FGTB,...
Et puis il faudrait que le gouvernement ne se contente pas de mettre sur la table une enveloppe ridicule. Pour Thierry Bodson, "cette norme salariale devrait être indicative et pas impérative, ce qui permettrait dès lors de négocier différemment selon les secteurs selon qu’ils soient en bonne ou en mauvaise santé. Actuellement, c’est le même carcan salarial selon que l’on négocie chez Pfizer ou chez un coiffeur". "Certains secteurs – pas tous – font de gros bénéfices, ce serait la moindre des choses qu’ils compensent totalement.
Ecolo a plaidé dimanche pour des mesures qui soulagent les ménages face au coût de la vie. Il réclame notamment une...
"Il faut revenir à la loi de 1996 et supprimer celle de 2017, et permettre une négociation dans les secteurs. "On est dans une situation de crise et une grande partie de la population est en grande difficulté. Parfois, les factures de régularisation de consommation d’énergie représentent pas loin d’un mois de salaire. Le MR devient-il le parti qui protège les plus riches ?" s’est demandé Jean-Marc Nollet.
A gauche comme à droite, les discours du 1er mai ont été dominés par la question du pouvoir d'achat. PS, Ecolo et PTB demandent un impôt sur la fortune, ...
Gérald Darmanin a dénoncé dimanche les "violences inacceptables" commises par des "casseurs" habillés de noir et venus "perturber les manifestations du 1er ...
Des feux de poubelles ont été constatés. Plusieurs dizaines d'agences bancaires, immobilières, de sociétés d'assurances ainsi qu'un magasin de produits bio ont subi le même sort tout au long du parcours. Cette agression, largement relayée sur les réseaux sociaux, a suscité une vive indignation.
Une centaine de milliers de personnes ont défilé dimanche partout en France à l'occasion du 1er-Mai, dans un contexte très politique après l'élection ...
Les mots d'ordre syndicaux étaient la hausse des salaires, le maintien des services publics et de la protection sociale, et une politique de transition écologique.La réforme des retraites était aussi l'un des points de crispation de cette journée, une semaine après la réélection d'Emmanuel Macron, a souligné le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, pour qui une nouvelle mobilisation est envisageable dès "avant la rentrée, parce que le niveau de mécontentement sur les retraites ou les salaires est très fort". "Nous sommes opposés résolument (...) à toute forme de recul de l'âge de la retraite", a martelé de son côté le secrétaire général de FO, Yves Veyrier. Ce 1er mai revêtait aussi une signification particulière pour la gauche, dans le contexte de négociations difficiles pour parvenir à un accord en vue des législatives. Jean-Luc Mélenchon a pris la parole sur une estrade au moment où le cortège parisien s'ébranlait, exhortant à un accord "cette nuit".Ailleurs en France, des manifestations ont rassemblé 1.900 personnes à Bordeaux, 3.600 à Marseille, 3.500 à Toulouse, 4.000 à Lyon, 1.500 à Strasbourg ou Saint-Étienne, 2.000 à Lille selon les chiffres de la police. La CFDT, premier syndicat de France, a fait sans surprise bande à part, en organisant un "1er mai engagé pour le climat" et pour des augmentations de salaire. Incapable de garantir le droit de manifester en paix. Le ministère de l'Intérieur a fait état de 116.500 manifestants contre 106.650 en 2021. Plus d'une centaine de milliers de personnes ont défilé dimanche partout en France à l'occasion du 1er-Mai, une mobilisation en hausse dans un contexte très politique après la présidentielle, et plusieurs cortèges ont été émaillés d'incidents, en particulier à Paris, conduisant le ministre de l'Intérieur à dénoncer des violences "inacceptables".La mobilisation a été supérieure à celle de l'an dernier dans l'ensemble de la France, où la CGT a revendiqué 210.000 manifestants, contre 170.000 l'an dernier. Selon un premier bilan du parquet à 19H00, 50 personnes étaient alors en garde à vue à Paris.Les violences "parasites" du 1er-Mai "invisibilisent les syndicats et servent de propagande à nos pires adversaires", a tweeté le leader de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, qui s'en est pris au préfet de police Didier Lallement, "incapable de garantir le droit de manifester en paix" selon lui. Selon un premier bilan du parquet à 19H00, 50 personnes étaient alors en garde à vue à Paris. Dans la capitale, la manifestation, entamée vers 14h30 place de la République, s'est dispersée place de la Nation peu après 18H00. La CGT a revendiqué 50.000 manifestants, tandis qu'ils étaient 21.000 selon une comptabilisation du cabinet Occurrence pour un collectif de médias dont l'AFP, et 24.000 selon le ministère, qui en avait recensé 17.000 l'an dernier.Si le gros des troupes, à l'appel de l'intersyndicale CGT-Unsa-FSU-Solidaires a pu défiler dans le calme à Paris, des tensions sont très vite apparues entre des manifestants très mobiles vêtus de noir, détachés du cortège principal, et les forces de l'ordre. Vitrines brisées, murs tagués: des dizaines d'agences bancaires ou immobilières, de sociétés d'assurance, mais aussi un magasin bio et un restaurant McDonald's ont été vandalisés, et des affrontements ont émaillé le parcours avec des grenades lacrymogènes répondant à des jets de projectiles. Au total, 255 points de rassemblement étaient prévus dans le pays, selon la CGT. Vitrines brisées, murs tagués: des dizaines d'agences bancaires ou immobilières, de sociétés d'assurance, mais aussi un magasin bio et un restaurant McDonald's ont été vandalisés, et des affrontements ont émaillé le parcours avec des grenades lacrymogènes répondant à des jets de projectiles. Le préfet de police savait. Plus d'une centaine de milliers de personnes ont défilé dimanche partout en France à l'occasion du 1er-Mai, une mobilisation en hausse dans un contexte très politique après la présidentielle, et plusieurs cortèges ont été émaillés d'incidents, en particulier à Paris, conduisant le ministre de l'Intérieur à dénoncer des violences "inacceptables".
Des dégradations, de voitures et de magasins notamment, ont été commises dimanche à Bruxelles en marge d'une manifestation à l'occasion de la fête du ...
Nous regrettons profondément » que de tels actes aient été posés, a déploré la porte-parole de la police de Bruxelles-Capitale/Ixelles, Ilse Van de Keere. Des manifestants se sont rendus depuis Saint-Gilles vers le centre de Bruxelles, via les rues Haute et Duquesnoy, vers la place de l’Albertine où l’action a pris fin. Des arrêts de bus ont aussi été endommagés.
Avec l'inflation, les revendications pour le pouvoir d'achat ont été au coeur des traditionnelles manifestations du 1er-mai dimanche à travers le ...
Le rassemblement s'est déroulé à La Havane en présence du président Miguel Diaz-Canel et du leader révolutionnaire Raul Castro. A Madrid, ils étaient environ 10.000 manifestants, selon un porte-parole du gouvernement, à défiler pour réclamer des hausses de salaires et des mesures face à l'inflation. Une grande bannière affirmait: "1er mai. A Cuba, à l'appel du gouvernement, des centaines de milliers de Cubains, portant des masques, ont défilé dans les principales villes, au moment où l'île est confrontée à de graves pénuries et une hausse des prix. D'autres manifestations ont eu lieu à travers l'Espagne et en Andorre, où la hausse du coût de la vie, du prix des logements et la perte du pouvoir d'achat ont été là aussi au centre des revendications. Des milliers de personnes ont manifesté à Athènes, réclamant davantage de mesures de soutien du pouvoir d'achat, face à l'inflation qui a atteint 9,4% en avril en Grèce. Avec l'inflation, les revendications pour le pouvoir d'achat ont été au coeur des traditionnelles manifestations du 1er-mai dimanche à travers le monde qui ont été marquées par des incidents en France et des arrestations en Turquie.