L'actuelle marie du VIIe arrondissement de Paris fait la tournée des plateaux de télévision chaque soir d'élection.
Un « loser » et un « déserteur » qui est « condamné pour emplois fictifs »… Rachida Dati n’avait par exemple pas apprécié que le directeur de campagne de Valérie Pécresse, Patrick Stefanini, la dénigre sur un plateau de télévision, quelques semaines avant le premier tour. L’actuelle maire du VIIe arrondissement de Paris fait la tournée des plateaux de télévision chaque soir d’élection, qu’elle anime avec son sens de la repartie ou de l’incident. Emmanuel Macron vient de remporter le second tour de l’élection présidentielle.
Anne-Claire Coudray, aux côtés de Gilles Bouleau, a présenté sur TF1 une édition spéciale pour commenter les résultats de cette élection en attendant le très ...
Anne-Claire Coudray, aux côtés de Gilles Bouleau, a présenté sur TF1 une édition spéciale pour commenter les résultats de cette élection en attendant le très attendu discours du président élu depuis le Champs-de-Mars, à Paris. Sur le plateau de TF1, Rachida Dati était présente. Mais dérangée par l'une des remarques de la journaliste, l'ancienne Ministre de la Justice lui a fait savoir. Elle déclare alors qu'une "nouvelle campagne" s'annonce pour les prochaines semaines à venir. Lors du premier tour à l'élection présidentielle, Rachida Dati avait déjà fait parler d'elle en s'emportant contre Anne-Sophie Lapix. Cette fois-ci, la journaliste de TF1 voulait savoir comment la femme politique envisageait les élections législatives prévues en juin. Au vu du score réalisé par l'extrême-droite, Rachida Dati est inquiète pour les prochaines élections et pour l'avenir du pays. "Aujourd'hui il y a une possibilité d'avoir un vote enfin d'adhésion, pas un vote par défaut. Ce qu'il s'annonce aujourd'hui, c'est de lancer ces législatives", poursuit celle qui espère la présence "de parlementaires solides pour porter la politique". Dans la foulée, Anne-Claire Coudray demande à Gabriel Attal si cette réponse ne serait pas "une main tendue". Une question déplacée pour l'ex-députée européenne. "Non mais attendez, je ne vous ai pas demandé de décoder mes propos. L'actuel chef de l'État Emmanuel Macron se retrouvait face à la présidente du Rassemblement National Marine Le Pen. À 20 heures précises ce soir, les résultats sont tombés. Avec plus de 58 % des suffrages, Emmanuel Macron a été élu par les Français pour effectuer un second mandat.
Venue sur TF1 pour commenter la réélection d'Emmanuel Macron, Rachida Dati a encore poussé un coup de gueule. Interrogée sur la possibilité de rejo...
Malgré la victoire du chef de liste LREM, Rachida Dati met en garde les partisans d’Emmanuel Macron. "À l’Assemblée il faudra des parlementaires responsables et constructifs. Pour Rachida Dati, l’explication de cette fracture en France n’est que la conséquence de l’échec de ses cinq premières années d’Emmanuel Macron à l’Élysée. "Vous n’avez pas répondu à leurs préoccupations et à leurs attentes", souligne la mère de famille. Afin de mettre les choses au clair, Rachida Dati a souhaité défendre directement ses propos à Gabriel Attal. "J’ai appelé à la responsabilité pour pouvoir pour qu’on puisse régler ce qui n’a pas été le cas pendant ce quinquennat", déclare-t-elle au porte-parole du gouvernement.
La maire LR du VIIe arrondissement de Paris a étrillé les journalistes, relativisé la victoire d'Emmanuel Macron et fini sur un clash inaudible avec la ...
“Je peux parler?” demande Clémentine Autain. “Vous cherchiez une réponse vous l’avez!”, répond Dati. Je n’ai pas besoin de vous, je n’ai besoin de personne!” Et il ne faut pas vous satisfaire du score de ce soir”, lâche-t-elle. De quoi doucher l’enthousiasme des représentants de la Macronie. Il n’aura pas le temps de répondre. “Attendez, je ne vous ai pas demandé de décoder mes propos! Si j’ai besoin de faire une offre, je le fais. Autant d’échanges piquants qui ont donné envie de la revoir.
Ce dimanche 24 avril, Rachida Dati et Clémentine Autain faisaient partie des personnalités politiques invitées à l'antenne de TF1 pour commenter le...
La droite est un parti de gouvernement, ce n'est pas un parti d'opposition ou d'affrontement (...) J'en appelle à la responsabilité des Français. Aujourd'hui, il y a une possibilité d'avoir un vote enfin d'adhésion, pas par défaut. Ce qu'il s'annonce aujourd'hui, c'est de lancer ces législatives", a souligné Rachida Dati face à Gabriel Attal. Quelques instants plus tard, cette dernière a été prise à partie par Clémentine Autain : "C'est impressionnant ce à quoi nous venons d'assister entre Gabriel Attal et Rachida Dati. Parce qu'en réalité, le paysage politique dans cette présidentielle s'est profondément reconfiguré", a observé la députée. On existe à l'Assemblée ! Il y a quand même plus de 100 députés !", a-t-elle tenu à rappeler. "Il y a trois blocs : le bloc de la majorité, dont nous ne voulons plus, l'extrême-droite qui vient d'être battue ce soir, et un troisième bloc a émergé, celui de l'union populaire", a-t-elle détaillé, avant de se faire interrompre par Rachida Dati : "Merci pour nous hein. Il ne faut pas la chercher... Vous venez de faire quasiment une offre de service", lui a-t-elle fait remarquer. Une remarque qui a profondément agacé son interlocutrice : "Non écoutez, Mme Autain, non mais ça va ! Je n'ai pas besoin de vous, j'ai besoin de personne !", s'est exclamée l'ex-Garde des Sceaux. Et d'ajouter : "Moi je vais vous dire, l'offre de service que je fais, c'est aux Français (...) Vous n'avez pas à traduire ou à interpréter mes propos", s'est-elle exclamée face à Clémentine Autain, avant de se faire recadrer par Anne-Claire Coudray, en charge d'arbitrer les échanges en plateau.
Rapidement on s'aperçoit que toute les chaines ont un écusson de l'abstention estimée : c'est probablement l'information politique la plus importante avant 20h ...
Il est le président le moins bien élu depuis Pompidou : la joie sur les visages est mesurée. On espèrerait que cela soit révélateur d’une humilité naissante. Après une longue attente et un retard de 40 minutes sur l’horaire annoncé, Emmanuel Macron et sa femme avancent vers leur podium du Champs-de-Mars, entourés d’un groupe de jeunes : comme un appel à cette frange de Français qui lui a massivement tourné le dos. » Le journaliste relance : « Mais vous ne disiez pas que vous ne vous vous sentiez pas représenté ? » L’employé réitère : « Non, ça ne m’intéresse pas. Le compte à rebours démarre à 5 minutes du résultat des urnes. Sur France 2, une journaliste micro à la main fait le tour en boucle de la place de la Concorde à l’arrière d’une moto presse : « C’est là que Marine Le Pen a prévu de faire la fête si elle gagne mais là au moment où je vous parle, il ne se passe rien », clame-t-elle. Sur TF1 et France 2, le téléspectateur est tancé, telle une balle de tennis, d’un terrain à l’autre : des lieux de rendez-vous des candidats d’où l'on scrute l’arrivée des proches, le nombre de personnes présentes aux bureaux de votes où l’on montre fièrement la table blanche où seront dépouillés les enveloppes.
Rapidement on s'aperçoit que toute les chaines ont un écusson de l'abstention estimée : c'est probablement l'information politique la plus importante avant 20h ...
Il est le président le moins bien élu depuis Pompidou : la joie sur les visages est mesurée. On espèrerait que cela soit révélateur d’une humilité naissante. Après une longue attente et un retard de 40 minutes sur l’horaire annoncé, Emmanuel Macron et sa femme avancent vers leur podium du Champs-de-Mars, entourés d’un groupe de jeunes : comme un appel à cette frange de Français qui lui a massivement tourné le dos. » Le journaliste relance : « Mais vous ne disiez pas que vous ne vous vous sentiez pas représenté ? » L’employé réitère : « Non, ça ne m’intéresse pas. Le compte à rebours démarre à 5 minutes du résultat des urnes. Sur France 2, une journaliste micro à la main fait le tour en boucle de la place de la Concorde à l’arrière d’une moto presse : « C’est là que Marine Le Pen a prévu de faire la fête si elle gagne mais là au moment où je vous parle, il ne se passe rien », clame-t-elle. Sur TF1 et France 2, le téléspectateur est tancé, telle une balle de tennis, d’un terrain à l’autre : des lieux de rendez-vous des candidats d’où l'on scrute l’arrivée des proches, le nombre de personnes présentes aux bureaux de votes où l’on montre fièrement la table blanche où seront dépouillés les enveloppes.
Rachida Dati était sur le plateau de TF1, dimanche 24 avril 2022, pour commenter les résultats du second tour de l'élection présidentielle.
"Tata Rachida Dati elle porte des Nike Sacai dans le plus grand des calmes sur TF1", "Le comportement de Rachida Dati est inadmissible et sa façon de s'adresser aux gens est hallucinante, qu'on la mette avec ses nikes sur l'autoroute", "Petite paire de Nike Sacai bleue. "Attendez, je ne vous ai pas demandé de décoder mes propos! L'ancienne ministre de la Justice était très en forme lors de la soirée électorale. Lorsqu'on lui a demandé si un ralliement entre Les Républicains et le parti d'Emmanuel Macron était envisagé, elle n'a pas fait dans la dentelle.
Ce dimanche 24 avril 2022, Rachida Dati était sur le plateau de TF1 pour commenter la réélection d'Emmanuel Macron. Agacée par les questions de la ...
Réduction des inégalités, on en est loin, sur le régalien, on en est encore loin". Et celle-ci de conclure : "À l’Assemblée il faudra des parlementaires responsables et constructifs. "Il y a la victoire d’Emmanuel Macron avec trois écueils quand même […]. Il y a un taux d’abstention extrêmement fort, un vote utile et aujourd’hui un Rassemblement National à 42 % donc ça interroge." Pour commenter cette victoire mais aussi pour expliquer la défaite de Marine Le Pen, les chaînes de télévision font appel à plusieurs personnalités politiques.
Lors de la soirée du second tour des présidentielles ce 24 avril 2022 sur TF1, Rachida Dati a dégainé des punchlines acides à ses interlocuteurs, fidèle à ...
Le show de TMC Quotidien a compilé les sorties de Rachida Dati avec un montage électrique : Rachida Dati était l'une des invitées politiques de TF1 pour débattre lors de la soirée électorale du second tour des présidentielles ce dimanche 24 avril 2022. Vous êtes responsable d'une grande partie du séparatisme en France, il faut que vous l'entendiez ça !"
VIDÉO - Face à la députée Clémentine Autain, l'ancienne ministre de la Justice s'est montrée particulièrement virulente lors de la soirée électorale.
La présentatrice demande ensuite: «Vous voudriez rejoindre la majorité?». Rachida Dati élude le sujet. L’ancienne ministre de la justice lui coupe la parole. «Pourquoi ne pourrais-je pas être élue dans le 7e?», répète en boucle l’ancienne députée européenne. «Arrêtez d’aboyer. Je peux finir une phrase?», demande Clémentine Autain. La discussion, à partir de ce point, devient inaudible, Rachida Dati ne lâchant pas le micro. Clémentine Autain pointe l’incapacité de la droite à réparer les inégalités sociales. «Non mais je ne vous ai pas demandé de décoder mes propos! Rachida Dati était l’invitée de plusieurs plateaux de télévisions ce dimanche 24 avril.
Ce dimanche 24 avril, la victoire d'Emmanuel Macron à la présidentielle a été l'occasion pour Rachida Dati et Clémentine Autain de s'écharper sur B...
Stop, stop", a réagi la parlementaire, tentant tant bien que mal de s'exprimer. Rachida Dati et Clémentine Autain étaient visiblement prêtes à en découdre en cette édition spéciale présidentielle. Durant la même soirée mais sur TF1, l'ex-garde des Sceaux et l'Insoumise ont eu une autre altercation. La discussion a tourné court quand la députée a évoqué l'élection de Rachida Dati dans le très chic VIIe arrondissement de la capitale ("alors vos leçons sur les quartiers populaires et les inégalités sociales…" Pour Rachida Dati, la gauche "n'a pas le monopole du social". "Vous êtes responsable d'une grande partie du séparatisme en France !", a lancé l'avocate de 56 ans, lors de la soirée électorale sur BFMTV. L'occasion pour Clémentine Autain de rappeler les fonctions gouvernementales de l'ex-ministre de la Justice. Des piques qui n'ont pas empêché son interlocutrice de s'époumoner sur le plateau, malgré les efforts du présentateur pour distribuer la parole.