Le président du groupe n'exclut pas le rachat d'actifs renouvelables d'EDF.
Nous avons fixé deux priorités: accélérer le développement des énergies renouvelables, ce qui nécessite beaucoup de moyens, ainsi que celui des infrastructures énergétiques, notamment les réseaux énergétiques des villes et des agglomérations.» «Engie est dans une bien meilleure situation qu’il y a quatre ans, vante son président, Jean-Pierre Clamadieu, dont l’assemblée générale d’Engie doit renouveler ce jeudi le mandat. À lire aussi TotalEnergies et Engie pâtissent de leurs liens avec la Russie
Alors que le mandat de Jean-Pierre Clamadieu s'apprête à être renouvelé aujourd'hui en assemblée générale, le patron de l'énergéticien français donne ce ...
Jean-Pierre Clamadieu tient la aussi une position assez ferme: "Rien ne nous oblige à payer en roubles, dit-il. Une problématique à court terme, puisque Vladimir Poutine demande désormais aux énergéticiens de payer Gazprom en roubles. C'est LE dossier qui va occuper le début de son second mandat qui débute en pleine crise énergétique. Et Jean-Pierre Clamadieu le dit très clairement dans cette interview: "Engie peut se passer du gaz russe". Il affirme que le gaz russe représente 20% de l'approvisionnement du groupe français.
Pendant ce temps Tom Laperche, vainqueur des deux précédentes éditions de la Solo Maître Coq et champion de France en titre, est très, très impressionnant. Il a ...
Après 24 heures de mer sur la Solo Maître Coq, le tenant du titre, Tom Laperche, emmène la flotte des 33 concurrents. Dans un flux de nord d'une quinzaine ...
C’est une première en solitaire pour le skipper de « Région Normandie », qui s’est entraîné tout l’hiver au Pôle Finistère Course au large de Port-la-Forêt et qui a déjà bien appliqué ce qu’il a appris l’an passé avec Alex Loison sur les courses en double. À l’avant, c’est un Tom Laperche en forme qui mène. En effet, à l’abord de Belle-Île, un coin qu’il connaît bien, le Trinitain a pris quelques longueurs d’avance après un long bord de près depuis l’île de Ré. Mais il est suivi comme son ombre par son ancien coéquipier sur la Transat Concarneau - Saint-Barth, Loïs Berrehar. Bien décidé à lui mener la vie dure. Après un bord au portant qui les a menés jusqu’à l’île de Ré où Basile Bourgnon s’est échoué sans gravité avant de reprendre sa route.
PARIS, 20 avril (Reuters) - Le président d'Engie ENGIE.PA , Jean-Pierre Clamadieu, a déclaré dans un entretien au Figaro publié mercredi sur le site ...
Devenez membre gratuitement "À ce jour, le sujet n'est pas réglé", a-t-il fait savoir. Devenez membre gratuitement
PARIS (Reuters) - Le président d'Engie (EPA:ENGIE), Jean-Pierre Clamadieu, a déclaré dans un entretien au Figaro publié mercredi sur le site internet du ...
Nous n'avons en tout état de cause aucune raison de prendre sur nous le risque de change ou de rompre l'équilibre du contrat", a-t-il poursuivi. "À ce jour, le sujet n'est pas réglé", a-t-il fait savoir. "L'État, actionnaire très majoritaire d'EDF, devrait dans les prochaines semaines fixer le cadre lui permettant de se consacrer à la priorité essentielle que constitue le nucléaire. Nous verrons alors si cela se traduit ou non par des opportunités (...) Nous sommes dans une situation où nous pouvons saisir les opportunités si elles se présentent", a-t-il dit. D'après son patron, "Engie peut se passer du gaz russe, qui représente 20 % de son approvisionnement". "L'Europe dans son ensemble serait sans doute capable de remplacer la moitié du gaz russe", a ajouté Jean-Pierre Clamadieu. "L'autre moitié serait amortie par des arrêts et des réductions de consommation supportés par le secteur industriel". "La question se pose pour le prochain règlement, qui surviendra en mai. PARIS (Reuters) - Le président d'Engie (EPA: ENGIE), Jean-Pierre Clamadieu, a déclaré dans un entretien au Figaro publié mercredi sur le site internet du quotidien que le groupe français pouvait se "passer du gaz russe", alors que le président russe Vladimir Poutine a demandé le mois dernier des paiements en roubles.
De voorzitter van Engie, Jean-Pierre Clamadieu, waarschuwt in een interview met de Franse krant 'Le Figaro' dat de onderhandelingen met de Belgische ...
Le pape François s'est associé à l'appel lancé par le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, pour demander une trêve en Ukraine le...
Le débat Emmanuel Macron - Marine Le Pen d'hier soir, la situation à l'est de l'Ukraine et une mystérieuse épidémie d'hépatites infantiles.
Comme traumatisée par 2017, à chaque offensive de son rival, la candidate du RN se bride et se force à ne pas rendre les coups qui lui sont portés. Il admet… Cette fois-ci, les choses étaient apaisées. Pas d'impression de déjà-vu cette année, même si les protagonistes étaient les mêmes. En 2022, Marine Le Pen était plus calme, plus concentrée, sur la défensive face à un Emmanuel Macron en attaque. Du côté de la météo, pas de mystère au moins, la sagesse populaire assène que «tel temps à la saint-Anselme, tel temps pendant une semaine». Bonne fête aux Anselme et bonne journée à tous!
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Depuis jeudi 14 avril, deux villes au sud-ouest de Stockholm sont le théâtre d'affrontements entre les forces de l'ordre et des ...
Ces règlements de comptes ont fait dix-huit victimes seulement durant les trois premiers mois de l'année, un niveau inédit. La Suède serait le pays qui connaît le taux de fusillades meurtrières le plus élevé en Europe. Le problème de la violence fait partie des enjeux politiques mis en avant depuis longtemps en Suède. L'opposition de droite accuse systématiquement le parti social-démocrate (au pouvoir depuis huit ans) de trop de laxisme et d'inaction, apparemment non sans raison. Rasmus Paludan a une relation compliquée avec les instances judiciaires et policières au Danemark et en Suède. Il est régulièrement mis en cause pour incitation à la haine. Le 28 août 2020, des émeutes avaient déjà éclaté après la diffusion d'une vidéo de deux membres du même groupe d'extrême droite, brûlant un coran devant une mosquée à Malmö : Rasmus Paludan avait été empêché d'entrer en Suède et interdit de territoire pour deux ans. Rasmus Paludan s'oppose à l'islam en général, qu'il estime incompatible avec la démocratie occidentale. Car en certains lieux, les émeutes ont eu lieu alors que Rasmus Paludan ne s'y est même pas présenté. On entend très peu de voix qui s'élèvent pour l'interdire. En revanche, beaucoup s'étonnent que la police ne soit pas intervenue en amont pour stopper Paludan. Les autorités peuvent interdire de telles manifestations si elles considèrent qu'elles présentent des risques évidents de troubles à l'ordre public, de mise en danger d'autrui ou, bien sûr, si l'acte lui-même peut être considéré comme une incitation à la haine d'un groupe de personnes. Il s'est présenté aux élections parlementaires au Danemark en 2019, où il avait obtenu 1,8% des votes. Selon un bilan provisoire, 26 policiers et une dizaine de passants ont été blessés, des dizaines de voitures ont été brûlées et la destruction de biens collectifs s'évalue à au moins un million d'euros. À l'échelle de la Suède, c'est beaucoup. Les émeutes ont ainsi mis en lumière une partie de la population qui ne semble pas vouloir obéir totalement aux lois suédoises, mais à un autre système de «valeurs». Ces violences folles ont bien davantage choqué la société suédoise, les médias, et, bien sûr, les élus, y compris le gouvernement social-démocrate, que le fait qu'un politicien marginal d'extrême droite vient brûler le Coran, ce qui est un acte légal en Suède. Aux yeux de beaucoup, ce chaos révèle que les forces de l'ordre ne sont plus capables de faire respecter l'État de droit dans certains quartiers. En ce moment, même les « élites culturelles » de gauche en Suède défendent le droit formel de brûler le Coran, au nom de l'État de droit, puisque c'est celui-ci qui leur semble être en jeu. Henrik LINDELL. - Avant d'évoquer la provocation anti-islam d'un homme politique d'extrême droite marginal qui a déclenché les troubles, je pense qu'il faut d'abord insister sur la gravité des émeutes et leur condamnation sans ambiguïté par toute la classe politique.