La victime roulait à vive allure à moto-cross sur une avenue de Paray-Vieille-Poste lorsque l'accident s'est produit ce dimanche. Le pronostic vital du ...
Un grave accident de la route s’est produit ce dimanche à Paray-Vieille-Poste, en Essonne. Vers 17 heures, avenue d’Alsace-Lorraine, le pilote d’une moto-cross non homologuée a perdu le contrôle de son véhicule, tout seul, en roulant à vive allure. Le jeune homme, âgé de 24 ans, a percuté un arbre. La circulation a été partiellement interrompue sur l’artère du centre-ville de Paray-Vieille-Poste où se sont produits les faits.
Après un nouvel incident ce samedi, le club des Hauts-de-Seine, qui compte 1200 licenciés, a pris la décision de suspendre les entraînements de ce mercredi ...
« Certains parents n’acceptent pas que leur fils soit remplaçant et ont des attitudes déplacées, déclare le président acébébiste de la section foot Pascal Quatrehomme. On soutient nos coachs. C’est le énième dérapage depuis le début de saison qui a vu notamment des bagarres entre parents de deux clubs, une maman qui insulte des coachs, un père qui entre sur le terrain à la pause ou à la fin d’un match pour demander des explications à un éducateur, ou encore des parents qui s’apprêtent à en venir aux mains sur un plateau de joueurs de la catégorie… U7 (moins de 7 ans) ! On veut marquer le coup en réunissant tous les éducateurs ce mercredi.
À quelques jours de son exécution au Texas, la mère de famille, qui clame son innocence depuis 2007, reçoit le soutien de nombreuses personnalités.
Le soutien de personnalités comme Kim Kardashian et un mouvement qui s’étend au-delà des frontières des Etats-Unis : les appels à la clémence se multiplient en faveur de Melissa Lucio, condamnée à mort pour le meurtre de sa fille. Aucun des enfants de Melissa ne l’avait accusée d’être violente. En 2007, sa fille Mariah, âgée de 2 ans, est retrouvée morte chez elle, couverte de bleus, quelques jours après avoir chuté dans des escaliers.
Dans les villes menacées par l'invasion russe, les habitants et les soldats ukrainiens saluent le soutien actif des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'Union ...
Abstention forte, poussées de Macron et Le Pen, carton de Mélenchon dans les grandes villes, disparition du vote LR : voici huit cartes pour comprendre les ...
Avec 4,8 % des suffrages exprimés au total, elle reste selon nos calculs sous la barre des 5 % en zone rurale, et est encore plus à la peine dans les villes de plus de 100 000 habitants. En Bretagne (32,8 %) et en Pays de la Loire (32,3 %), il est arrivé en tête dans la plupart des communes. Dans l’Ouest, elle ne fait que 5,02 % dans les Pays de la Loire, où elle est sixième, là où François Fillon avait terminé 2e. Malgré ce troisième échec à la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon a toutefois amélioré sa performance de 2017 et fait tomber plusieurs grandes agglomérations. Arrivé en tête dans seulement 3000 communes, il a réuni 31 % des suffrages dans les villes de plus de 100 000 habitants, loin devant ses adversaires. À Lyon (Rhône), trophée des municipales de 2020, il ne recueille que 7,7 % des voix. Son score dans les zones rurales, et dans les villes isolées progresse, et il prend un bulletin sur quatre dans toutes les régions de France métropolitaine, sauf en Paca et en Occitanie. « Le président Macron sort grandi de ce premier tour car pas beaucoup de présidents ont vu leur score augmenter d’une élection à l’autre », explique Christophe Boutin. Le premier tour de l’élection présidentielle a eu lieu ce dimanche, et c’est Emmanuel Macron qui est arrivé en tête avec 27,8 % des voix devant Marine Le Pen (23,2 %) et Jean-Luc Mélenchon (22 %). Dans un scrutin marqué par une forte abstention, le président sortant a donc mieux résisté que prévu, tandis que la droite et la gauche ont quasiment disparu de la carte. Elle avance également ses pions en région Centre, et sur le littoral atlantique et en Bretagne où elle enregistre une forte augmentation du nombre de bulletins en sa faveur. Comme on le voit assez distinctement, le président sortant fait un véritable hold-up dans l’ouest de la France… Et dans l’ouest de l’Île-de-France. Partout, sauf en Occitanie, il prend un bulletin sur quatre. « La campagne a été perturbée par la crise en Ukraine et le fait que la campagne a pu être passée sous silence », explique aussi Christophe Boutin, professeur de droit public à l’université de Caen-Normandie et politologue. L’Occitanie, la Nouvelle-Aquitaine, et la Bretagne (comme en 2017 pour cette dernière) ont le mieux voté, avec un taux de participation supérieur à 78 %. Entre la pandémie de Covid-19 qui n’en finit pas et la guerre en Ukraine, la campagne a eu du mal à prendre, alors que beaucoup jugeaient également le scrutin joué d’avance. L ’abstention a atteint de nouveau ce dimanche au premier tour de la présidentielle un niveau extrêmement haut, avec 26,3 % d’électeurs n’ayant pas fait le déplacement. C’est bien plus qu’en 2017 (22,2 %), mais on reste sous les 28,4 % enregistrés, le 21 avril 2002.
Des gens qui attendent parfois deux heures pour voter, quand d'autres mettent à peine 5 minutes. La situation est très contrastée dans la capitale.
Quand il y a eu un souci dans un bureau avec une file jusque dans la rue, c’est qu’il manquait un assesseur ou que ceux présents n’étaient pas rompus à cet exercice. Au moins 1h de queue pour voter dans ce bureau de vote du 18ème à Paris. Des gens abandonnent. » Une analyse confirmée par son alter ego du XVIIe arrondissement, Geoffroy Boulard. « Dans le nouveau quartier Martin Luther-King, dans un bureau à Pereire, ou encore à Carnot, il y a eu des attentes impressionnantes. Sauf que dans certains bureaux, on se retrouve avec un président et un assesseur, qui doivent bien prendre des pauses dans la journée qui dure tout de même de 7h30 à 22h30. « C’est la première fois que je constate de telles attentes dans le XIe. L’explication est simple : nous manquons de bénévoles pour tenir les bureaux de vote. La raison ? Un souci dans beaucoup d’arrondissements de ressources humaines.
Dans certains bureaux de vote parisiens, les électeurs ont dû patienter près de deux heures pour pouvoir glisser leur bulletin dans l'urne.
Lorsque les chars russes investissent sa ville fin février, cette universitaire ukrainienne filme en cachette. Avec sa grand-mère Olena, 94 ans, et son fils ...