Le Parlement pakistanais a voté la destitution du Premier ministre Imran Khan dans la nuit de samedi à dimanche, à l'issue de plusieurs semaines de crise ...
Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été renversé dimanche par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, ...
Et son gouvernement pourrait n'avoir qu'une courte durée de vie. Vendredi soir, M. Khan avait assuré dans une adresse à la Nation avoir "accepté le jugement de la Cour suprême" exigeant la tenue de ce vote sur la motion de censure. Dans un énième rebondissement, le président de l'Assemblée et son adjoint, alliés indéfectibles de M. Khan depuis le début de la crise, ont démissionné sous la pression, après avoir fait tout leur possible pour empêcher la tenue du vote. Toute la journée, ses soutiens ont cherché à retarder l'inéluctable, même s'ils savaient déjà ne plus avoir la majorité, certains des alliés dans la coalition au pouvoir du parti de M. Khan, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), ayant fait défection depuis plusieurs jours. La motion a été "approuvée" par 174 des 342 députés, a annoncé le président par intérim de la chambre, Sardar Ayaz Sadiq. Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été renversé dimanche par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, à l'issue de plusieurs semaines de crise politique.
Le Parlement pakistanais a approuvé dimanche (samedi soir heure belge) une motion de censure visant le Premier ministre Imran Khan et démettant celui-ci de ...
Imran Khan a accusé les Etats-Unis d’avoir cherché à le renverser avec la complicité de l’opposition pakistanaise. Mais la conjoncture économique et ses mauvais choix ont fini par le rattraper. Ses efforts pour positionner le Pakistan en acteur régional incontournable n’ont guère porté non plus. Mais la Cour suprême a jugé tout le processus inconstitutionnel. Point positif, les envois de devises vers le Pakistan par sa diaspora atteignent des niveaux records. Islamabad s’est encore plus rapproché de la Chine. Et la visite officielle à Moscou d’Imran Khan le jour même du déclenchement de la guerre en Ukraine lui a valu nombre de moqueries. Leur retour triomphal a d’abord été interprété comme une victoire pour le Pakistan, accusé de longue date de les soutenir, et pour celui qui a été affublé du sobriquet de «Taliban Khan» pour n’avoir jamais cessé de prôner le dialogue avec eux. La détérioration de la sécurité, en particulier depuis la prise du pouvoir par les talibans en Afghanistan mi-août, a aussi contribué à ses difficultés. M. Khan a suscité la colère des Occidentaux en se rendant en visite officielle à Moscou le jour même du déclenchement de la guerre en Ukraine. Il avait aussi été l’un des rares dirigeants mondiaux à assister à la cérémonie d’ouverture des jeux Olympiques d’hiver à Pékin, boycottée par plusieurs pays afin de dénoncer les violations des droits humains en Chine. L’analyste politique Rafiullah Kakar suggère une double-approche consistant en des mesures destinées à «bâtir la confiance» et favoriser «la réconciliation politique» au Baloutchistan, tout en cessant «une fois pour toute» de prendre des pincettes avec le TTP. Les difficultés économiques, une recrudescence des attentats et une relation orageuse avec les Etats-Unis figureront en haut de la liste de ses priorités. La motion a été « approuvée » par 174 des 342 députés, a annoncé le président par intérim de la chambre, Sardar Ayaz Sadiq. Imran Khan est le premier chef de gouvernement pakistanais à chuter sur un vote de défiance.
Président adjoint du Parti du peuple pakistanais PPP, Bilawal Bhutto Zardari est issu d'une imposante lignée. Il est le fils de Benazir Bhutto, ...
Il a quitté ses fonctions en 2013. Le maulana (un titre honorifique dans l'islam), leader de la Jamiat Ulema-e-Islam (JUI-F), est un vétéran de la politique pakistanaise, capable de mobiliser des dizaines de milliers d'étudiants d'écoles coraniques. Eduqué à l'université d'Oxford au Royaume-Uni et âgé de 33 ans, il est considéré comme un progressiste, à l'image de Benazir. Il s'est souvent exprimé en faveur des droits des femmes et des minorités. Il est lui-même un poids lourd de la politique pakistanaise, ayant dirigé le gouvernement provincial du Pendjab (centre-est), le fief électoral de son parti et la province la plus peuplée du pays. Il est considéré comme le leader de l'opposition le plus compatible avec les intérêts de la toute puissante armée. L'opposition est parvenue à briser la cohésion de la coalition qu'avait formée M. Khan autour de son parti, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), pour remporter les élections en 2018.
Het Pakistaanse parlement heeft premier Imran Khan (69) uit zijn ambt gestemd. Bij een motie van wantrouwen stemden 174 van de 342 parlementsleden tegen de ...
Khan, een populist, en langdurig de ster allrounder van het Pakistaans cricketteam, was aan de macht gekomen met een programma tegen corruptie en voor uitbouw van een islamitische welvaartstaat. Ook had de bevolking zwaar te lijden van inflatie.Maandag zal over de opvolging van Imran Khan worden beslist. Dat maakte de parlementsvoorzitter in de nacht van zaterdag op zondag (lokale tijd) in Islamabad bekend.Donderdag had het Hooggerechtshof beslist dat Khan voorbije zondag het parlement onwettig had laten ontbinden en dat een stemming over een motie van wantrouwen zaterdag moest plaatsvinden.Uiteindelijk werd het nipt, met een meerderheid van slechts 2 stemmen voor de motie van wantrouwen.Er is sinds de oprichting van Pakistan in 1947 nog nooit een premier geweest die zijn of haar ambtstermijn volledig heeft uitgedaan. Verwacht wordt dat Shehbaz Sharif, leider van de moslimpartij PML-N en jongere broer van ex-premier Nawaz Sharif, de nieuwe eerste minister zal worden. Khan, die in 2018 aan zijn termijn van vijf jaar was begonnen, kampte met politieke overlopers en dissidenten die zijn meerderheid deden verdwijnen. Er is sinds de oprichting van Pakistan in 1947 nog nooit een premier geweest die zijn of haar ambtstermijn volledig heeft uitgedaan.
Het Pakistaanse parlement heeft premier Imran Khan uit zijn ambt gestemd. Bij een motie van wantrouwen stemden 174 van de 342 parlementsleden tegen de ...
Pakistan is voor de voedselbevoorrading erg afhankelijk van graan uit Oekraïne en Rusland. Wat Pakistan niet heeft, is politieke stabiliteit. Traditioneel is Pakistan een bondgenoot van de Verenigde Staten en van China, maar ook van Saudi-Arabië en de andere Golfstaten. Onder Imran Khan zijn ook de banden met Turkije en Rusland aangehaald. Die had daarop een motie van wantrouwen ingediend in het parlement. De voor één keer verenigde oppositie pikte dat niet, en stapte naar het Hooggerechtshof. Dat gaf hen afgelopen donderdag gelijk. Khan was niet aanwezig in het Lagerhuis op het moment van de stemming. Bij een motie van wantrouwen stemden 174 van de 342 parlementsleden tegen de voormalige cricketster.
Shehbaz Sharif, le leader de la Ligue musulmane du Pakistan, devrait être confirmé lundi par l'Assemblée pour rempl.
«Nous mettrons du baume sur les plaies de la Nation», a immédiatement promis Shehbaz Sharif, devant le reste de l'opposition extatique. Un autre parlementaire a pris leur place et la motion a dès lors pu être soumise au vote peu après minuit, non sans que les députés PTI aient décidé de quitter la chambre. Et son gouvernement pourrait n'avoir qu'une courte durée de vie. Imran Khan, célèbre pour avoir mené l’équipe nationale de cricket à sa seule victoire en Coupe du monde en 1992, a tout tenté jusqu'à la dernière minute pour se maintenir au pouvoir. Elle a été «approuvée» par 174 des 342 députés, a annoncé le président par intérim de la chambre, Sardar Ayaz Sadiq. Les échanges houleux ont continué en soirée, alors que les rumeurs les plus folles agitaient la capitale Islamabad, placée sous très forte surveillance sécuritaire.
Premier Imran Khan van Pakistan heeft een motie van wantrouwen van de oppositie niet overleefd. Hij werd zoals al werd verwacht door het parlement ...
Aangenomen wordt dat Khan destijds aan de macht is gekomen door steun van het leger. Volgens hem is er sprake van een Amerikaans complot, bedoeld om hem aan de kant te zetten. Over de motie was de voorbije week veel te doen.
Een politieke crisis in Pakistan, met een premier die vecht tot het laatste moment om politiek te overleven. Die haalt er zelfs zijn glorieuze verleden als ...
Het Pakistaanse parlement heeft het vertrouwen in premier Imran Khan opgezegd. In de nacht van zaterdag op zondag steunden 174 van de 342 afgevaardigden een ...
De aanhangers van de regeringspartijen wachtten het resultaat niet af en verlieten voortijdig de vergaderzaal. De toegangswegen naar het parlementsgebouw waren al dagenlang geblokkeerd door containers uit angst voor gewelddadige protesten. De Pakistaanse bevolking wachtte sinds de vroege morgenuren gespannen de stemming af. Dat heeft de plaatsvervangend voorzitter van het Lagerhuis bekendgemaakt. ISLAMABAD - Het Pakistaanse parlement heeft het vertrouwen in premier Imran Khan opgezegd. In de nacht van zaterdag op zondag steunden 174 van de 342 afgevaardigden een motie van wantrouwen tegen het voormalig cricketidool.
Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été renversé dimanche par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, à l'issue de ...
Et son gouvernement pourrait n'avoir qu'une courte durée de vie. Vendredi soir, M. Khan avait assuré dans une adresse à la Nation avoir "accepté le jugement de la Cour suprême" exigeant la tenue de ce vote sur la motion de censure. La plus haute instance judiciaire du pays avait ordonné que l'Assemblée soit restaurée et que le vote sur la motion de censure ait lieu. Dans un énième rebondissement, le président de l'Assemblée et son adjoint, alliés indéfectibles de M. Khan depuis le début de la crise, ont démissionné sous la pression, après avoir fait tout leur possible pour empêcher la tenue du vote. Déjà ajournée en fin de matinée, la séance l'a été une nouvelle fois en fin d'après-midi, le président de l'Assemblée demandant aux députés de revenir après l'"iftar", le repas du soir rompant le jeûne du ramadan. Toute la journée de samedi, ses soutiens ont cherché à retarder l'inéluctable, même s'ils savaient déjà ne plus avoir la majorité, certains des alliés dans la coalition au pouvoir du parti de M. Khan, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), ayant fait défection depuis plusieurs jours.
Het Pakistaanse parlement heeft premier Imran Khan uit zijn ambt gestemd. Bij een motie van wantrouwen stemden 174 van de 342 parlementsleden tegen de ...
Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été démis de ses fonctions samedi par une motion de défiance déposée par l'opposition pourtant minoritaire au ...
Le vote de samedi intervient après que la Cour suprême du Pakistan a jugé, plus tôt dans la semaine, que M. Khan avait agi de manière inconstitutionnelle en prononçant la dissolution du Parlement après une première tentative de le démettre de ses fonctions. M. Qaiser a invité un haut responsable de l'opposition, Ayaz Sadiq, à présider la session extraordinaire, dénonçant au passage une "conspiration étrangère" visant à évincer le chef du gouvernement. Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été démis de ses fonctions samedi par une motion de défiance déposée par l'opposition pourtant minoritaire au sein de l'Assemblée nationale.
Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été renversé dimanche par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, ...
Nous mettrons du baume sur les plaies de la Nation", a immédiatement promis Shehbaz Sharif, devant le reste de l'opposition extatique.Ces blessures sont béantes tant les événements des dernières semaines et cette ultime journée irrationnelle ont exacerbé les divisions de la société pakistanaise.Vendredi soir, M. Khan avait assuré dans une adresse à la Nation avoir "accepté le jugement de la Cour suprême" exigeant la tenue de ce vote sur la motion de censure.La Cour avait considéré que ses alliés avaient agi illégalement en refusant dimanche dernier de soumettre cette motion au vote, au motif qu'elle résultait d'une "ingérence étrangère", et en décidant de dissoudre l'Assemblée, ce qui ouvrait la voie à des élections anticipées sous trois mois.Conspiration américaine La plus haute instance judiciaire du pays avait ordonné que l'Assemblée soit restaurée et que le vote sur la motion de censure ait lieu.Dans son discours de vendredi, Imran Khan avait répété ses accusations des derniers jours, encore ressassées samedi par M. Qureshi, selon lesquelles il avait été la victime d'une conspiration ourdie par les Etats-Unis.Il a accusé de trahison la PML-N et le Parti du peuple pakistanais (PPP), les deux partis qui ont dominé avec l'armée la vie politique nationale pendant des décennies, pour avoir selon lui intrigué avec les Etats-Unis afin d'obtenir son départ. Washington a nié toute implication.A l'en croire, les Etats-Unis, déjà offusqués de ses critiques répétées à l'encontre de la politique américaine en Irak ou en Afghanistan, ont été ulcérés par sa visite à Moscou le jour même du déclenchement de la guerre en Ukraine.Quel que soit le nom du successeur d'Imran Khan, une lourde tâche l'attend. Les défis sont nombreux, à commencer par une économie en berne et la multiplication des attaques menées par le Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP), les talibans pakistanais. Aucun Premier ministre n'est jamais allé au bout de son mandat au Pakistan, depuis l'indépendance du pays en 1947, mais Imran Khan, au pouvoir depuis 2018, est le premier à tomber sur un vote de défiance.La motion a été "approuvée" par 174 des 342 députés, a annoncé le président par intérim de la chambre, Sardar Ayaz Sadiq.Shehbaz Sharif, le leader de la Ligue musulmane du Pakistan (PML-N) et frère cadet de Nawaz Sharif, qui fut trois fois Premier ministre, lui succédera selon toute vraisemblance à la tête de cette république islamique de 220 millions d'habitants dotée de l'arme nucléaire. Il devrait être confirmé lundi à ce poste par l'Assemblée.Imran Khan, 69 ans, célèbre pour avoir mené l'équipe nationale de cricket, sport roi dans le pays, à sa seule victoire en Coupe du monde en 1992, a tout tenté jusqu'à la dernière minute pour se maintenir au pouvoir.Toute la journée de samedi, ses soutiens ont cherché à retarder l'inéluctable, même s'ils savaient déjà ne plus avoir la majorité, certains des alliés dans la coalition au pouvoir du parti de M. Khan, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), ayant fait défection depuis plusieurs jours.Les deux camps n'ont cessé de s'invectiver, le ministre des Affaires étrangères, Shah Mehmood Qureshi, passant notamment une bonne partie de l'après-midi au pupitre pour défendre la position du gouvernement, dans un bel exercice d'obstruction parlementaire.Déjà ajournée en fin de matinée, la séance l'a été une nouvelle fois en fin d'après-midi, le président de l'Assemblée demandant aux députés de revenir après l'"iftar", le repas du soir rompant le jeûne du ramadan.De folles rumeurs Les échanges houleux ont continué en soirée, alors que les rumeurs les plus folles agitaient la capitale Islamabad, placée sous très forte surveillance sécuritaire.Dans un énième rebondissement, le président de l'Assemblée et son adjoint, alliés indéfectibles de M. Khan depuis le début de la crise, ont démissionné sous la pression, après avoir fait tout leur possible pour empêcher la tenue du vote.Un autre parlementaire a pris leur place et la motion a dès lors pu être soumise au vote peu après minuit, non sans que les députés PTI aient décidé de quitter la chambre." L'opposition s'était par le passé dite favorable à des législatives anticipées, mais seulement après avoir obtenu le départ de M. Khan. Ces élections doivent impérativement être convoquées d'ici octobre 2023, mais une fois au pouvoir elle sera en mesure de fixer le calendrier électoral lui convenant le mieux.L'armée, clé du pouvoir politique dans ce pays qui a passé plus de trois décennies sous un régime militaire, et qui avait été accusée de soutenir M. Khan en 2018, n'est pas publiquement intervenue ces derniers jours. Et son gouvernement pourrait n'avoir qu'une courte durée de vie. L'armée, clé du pouvoir politique dans ce pays qui a passé plus de trois décennies sous un régime militaire, et qui avait été accusée de soutenir M. Khan en 2018, n'est pas publiquement intervenue ces derniers jours. L'opposition s'était par le passé dite favorable à des législatives anticipées, mais seulement après avoir obtenu le départ de M. Khan. Ces élections doivent impérativement être convoquées d'ici octobre 2023, mais une fois au pouvoir elle sera en mesure de fixer le calendrier électoral lui convenant le mieux. Vendredi soir, M. Khan avait assuré dans une adresse à la Nation avoir "accepté le jugement de la Cour suprême" exigeant la tenue de ce vote sur la motion de censure. Il a accusé de trahison la PML-N et le Parti du peuple pakistanais (PPP), les deux partis qui ont dominé avec l'armée la vie politique nationale pendant des décennies, pour avoir selon lui intrigué avec les Etats-Unis afin d'obtenir son départ. Washington a nié toute implication. Dans un énième rebondissement, le président de l'Assemblée et son adjoint, alliés indéfectibles de M. Khan depuis le début de la crise, ont démissionné sous la pression, après avoir fait tout leur possible pour empêcher la tenue du vote. Toute la journée de samedi, ses soutiens ont cherché à retarder l'inéluctable, même s'ils savaient déjà ne plus avoir la majorité, certains des alliés dans la coalition au pouvoir du parti de M. Khan, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), ayant fait défection depuis plusieurs jours. Déjà ajournée en fin de matinée, la séance l'a été une nouvelle fois en fin d'après-midi, le président de l'Assemblée demandant aux députés de revenir après l'"iftar", le repas du soir rompant le jeûne du ramadan. Aucun Premier ministre n'est jamais allé au bout de son mandat au Pakistan, depuis l'indépendance du pays en 1947, mais Imran Khan, au pouvoir depuis 2018, est le premier à tomber sur un vote de défiance.
Imran Khan (69), de premier van Pakistan, is uit zijn ambt gestemd door het Pakistaanse parlement. Bij een motie van wantrouwen stemden 174 van de 342 ...
La motion a été approuvée par 174 des 342 députés. Imran Khan est le premier chef de gouvernement pakistanais à chuter à la suite d'un vote de défiance.
Mais après plusieurs années d’un calme relatif, les attentats ont repris de plus belle depuis août, menés notamment par les talibans pakistanais du Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP). Imran Khan a aussi pâti de la dégradation probable de ses liens avec l’armée, qui était accusée d’avoir interféré en sa faveur en 2018, même si celle-ci est restée silencieuse ces derniers jours. La forte inflation, la dépréciation de la roupie depuis juillet et le creusement de la dette l’ont affaibli. Ses efforts pour positionner le Pakistan en acteur régional incontournable n’ont guère porté non plus. Mais la conjoncture économique et ses mauvais choix ont fini par le rattraper. Malgré deux ajournements dans la journée, la manœuvre de M. Khan pour se maintenir au pouvoir au Pakistan a échoué. Le pays a été largement épargné (30 000 morts).
Premier ministre depuis 2018, le célèbre joueur de cricket Imran Khan va laisser sa place après le vote d'une motion de censure par l'Assemblée dimanche.
Il avait même suscité la colère des Occidentaux par sa visite officielle à Moscou le jour même du déclenchement de la guerre en Ukraine. Si Washington a fermement nié toute ingérence dans les affaires pakistanaises, le prochain gouvernement aura fort à faire pour renouer les liens avec cet important fournisseur d'armes. Virulente, l'opposition conduite par Shebaz Sharif reproche à Imran Khan d'avoir échoué à redresser l'économie, mise à mal par la pandémie de coronavirus, et de ne pas avoir tenu ses promesses en matière de transparence et de contrôle de l'action du gouvernement. Dirigeant sévère, réputé pour ses emportements passionnés, il est connu pour citer des poèmes révolutionnaires dans ses discours et ses réunions publiques, et ses collègues le considèrent comme un bourreau de travail. Dès vendredi soir, Imran Khan avait capitulé, assurant dans une adresse à la Nation avoir « accepté le jugement de la Cour suprême » exigeant la tenue de ce vote. Au pouvoir depuis 2018 , Imran Khan, 69 ans, célèbre pour avoir mené l'équipe nationale de cricket, sport roi dans le pays, à sa seule victoire en Coupe du monde en 1992, a tout tenté jusqu'à la dernière minute pour se maintenir au pouvoir. Premier ministre depuis 2018, le célèbre joueur de cricket Imran Khan va laisser sa place après le vote d'une motion de censure par l'Assemblée dimanche.
Het Pakistaanse parlement heeft het vertrouwen in premier Imran Khan opgezegd. In de nacht van zaterdag op zondag steunden 174 van de 342 afgevaardigden een ...
Le Premier ministre a perdu le pouvoir après une motion de censure. Ses difficultés à tenir ses promesses, son intransigeance et l'inflation ont eu raison ...
Mais abandonné par ses alliés et une partie des députés de son parti, le PTI, le Premier ministre s'est incliné. La motion a été adoptée à 174 voix sur 342 dans la nuit de samedi à dimanche. C'est une première dans l'histoire du Pakistan. Jamais un chef de gouvernement n'avait perdu la confiance des députés. Ses difficultés à tenir ses promesses, son intransigeance et l’inflation ont eu raison de lui.De notre correspondant en Asie du Sud,
In Pakistan is premier Imran Khan uit zijn functie gezet door het parlement. Na een controversiële stemming heeft het parlement zaterdag beslist dat ze.
Met Khan uit het zicht, keert het land zich waarschijnlijk richting een beleid dat meer vriendschappelijke relaties met de VS wil onderhouden. Volgens Khan is zijn afzetting het werk van een internationale samenzwering. De stemming vond zaterdagavond opnieuw plaats, een meerderheid in het parlement zegde daarmee hun vertrouwen in de premier op.
Après plusieurs semaines de crise politique au Pakistan, le Premier ministre Imran Khan a été renversé dimanche par une motion de censure votée au Parlement ...
Mais la conjoncture économique et ses mauvais choix ont fini par le rattraper. Ses efforts pour positionner le Pakistan en acteur régional incontournable n'ont guère porté non plus. Mais la Cour suprême a jugé tout le processus inconstitutionnel. Comme chef du gouvernement, il a d'abord capitalisé sur son image d'incorruptible et la lassitude de la société à l'égard des partis traditionnels, qui ont monopolisé le pouvoir pendant des décennies avec l'armée. La motion a été "approuvée" par 174 des 342 députés, a annoncé le président par intérim de la chambre, Sardar Ayaz Sadiq. Imran Khan est le premier chef de gouvernement pakistanais à chuter sur un vote de défiance. Ses jours à la tête du Pakistan étaient comptés : le Premier ministre, Imran Khan, a été renversé dimanche 10 avril par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, à l'issue de plusieurs semaines de crise politique.