LE président sortant Emmanuel Macron est à 26 % d'intentions de vote, la candidate du RN Marine Le Pen est à 22 % et le candidat insoumis Jean-Luc Mélenchon à ...
La candidate LR Valérie Pécresse s'est exprimée devant 1500 militants à Lyon et a exhorté les Français à "ne pas se faire voler l'élection". Elle a déclaré : "Il n'y a qu'un seul vote de droite dimanche. Il a aussi déclaré qu'après le second tour, la gauche devrait "reconstruire le plus large possible". Il attaque de front Marine Le Pen : "Je pense que Marine Le Pen a un programme social mensonger parce qu'elle ne le finance pas. Regardez depuis les municipales, le bulletin écologiste transforme nos villes", a assuré Yannick Jadot. Je suis le seul à pouvoir faire ce rassemblement. Il accuse par ailleurs Eric Zemmour d'avoir "complètement banalisé le discours de Marine Le Pen". Conclusion d'Emmanuel Macron sur la candidate du RN : "Ses fondamentaux n'ont pas changé : elle a un programme raciste, qui vise à cliver la société et d'une grande brutalité". Surtout si le pays a besoin d'un sursaut". La candidate RN Marine Le Pen a lancé un appel à l'union devant près de 3000 personnes au parc des expositions de Perpignan. "Si le peuple vote le peuple gagne. En une semaine, Emmanuel Macron a perdu deux points tandis que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ont en gagné deux chacun, selon le baromètre Opinion way, Les Echos, Radio Classique publié jeudi. Elle a le programme qui met le plus en danger les petits épargnants et les petites retraites. C'est le dernier jour pour jeter toutes leurs forces dans la bataille pour convaincre les Français. Après il sera trop tard. l'essentiel Les douze candidats à l'élection présidentielle vivent leur dernier jour de campagne, ce vendredi 8 avril, avant le premier tour dimanche.
Sur le dernier mois, les trois candidats enregistrent chacun une certaine hausse, rappellent néanmoins Les Échos, mais la plus importante reste au profit de ...
De son côté, Emmanuel Macron perdrait aussi 1 point, à 26% d'intentions de vote. Les dernières heures de la campagne présidentielle jusqu'au premier tour du scrutin ce dimanche 10 avril s'annoncent intenses. l'essentiel Jean-Luc Mélenchon poursuit sa folle remontée, selon le baromètre OpinionWay-KéaPartners pour "Les Échos" de ce jeudi 7 avril.
Le premier tour de l'élection présidentielle se déroulera ce dimanche 10 avril. 20 Minutes compile pour vous les résultats des derniers sondages de divers ...
À quelques jours du scrutin, il s’agit de notre dernier article sur les intentions de vote du premier tour. L’institut Harris-Interactive lui accorderait une petite progression de 33 % à 38 % d’intentions de vote selon ses derniers relevés. Concernant le président sortant, ce dernier conserve son avance dans les intentions de vote malgré les baisses qu’il a connues sur les dernières semaines. Même constat pour les instituts Elabe et Opinion Way qui place la candidate RN au même niveau dans les sondages. Les premiers résultats seront ensuite rendus disponibles à partir de 20h le soir même. 20 Minutes compile pour vous les résultats des derniers sondages de divers instituts
A trois jours de la présidentielle française, suivez toutes les dernières informations en direct sur la campagne des candidats.
A l'heure actuelle, le chef de l'Etat Emmanuel Macron reste en tête des sondages. Les Français se rendent aux urnes, ce dimanche 10 avril. A trois jours de la présidentielle française, suivez toutes les dernières informations en direct sur la campagne des candidats.
S'il reste le favori de la présidentielle, le chef de l'Etat n'a plus que 4 points d'avance au premier tour dans le baromètre OpinionWay-Kéa Partners pour ...
L'anti-macronisme enfle surtout à gauche, chez les électeurs de Jean-Luc Mélenchon, plus nombreux, à ce stade, à vouloir éviter un nouveau quinquennat Macron. « Cela peut changer dans l'entre-deux-tours », prévient Bruno Jeanbart : « Dans cette campagne, où l'on a tour à tour parlé de Zemmour, de Pécresse, de Macron et, aujourd'hui, de Mélenchon, Marine Le Pen est un peu passée sous les radars. Mais la bataille n'est pas sans enjeu, dans la perspective des législatives et d'une éventuelle « recomposition » à droite. L'avance du chef de l'Etat sortant sur celle qui se veut désormais une « femme d'Etat » - le slogan de campagne de Marine Le Pen - était de 13 points à la mi-mars. Avec Anne Hidalgo, à eux deux, ils totalisent 7 %. « Contre 15 % en octobre », note le vice-président d'OpinionWay. Et de ne pas vouloir être élus. L' « effet drapeau » dont il avait bénéficié à la faveur de la guerre en Ukraine s'est atténué, le pouvoir d'achat conservant une place prépondérante dans l'esprit des électeurs. Et son refus de rentrer de plain-pied dans la campagne irrite. Aujourd'hui, ils sont 31 %. Du côté de Jean-Luc Mélenchon, leur proportion est passée de 30 % à 37 %. En septembre 2020, ils étaient respectivement 53 % et 40 %. Elle n'a jamais été au coeur de la campagne. Mais la prudence s'impose. Un sondage n'est pas l'élection, plus encore sur fond d'incertitude quant au niveau de l'abstention , notamment des catégories populaires. Depuis 2017, les Français disent ne pas vouloir d'un match retour entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen . Par défaut, et après avoir cherché des alternatives, ils semblent pourtant s'y diriger. Et l'anti-macronisme prend de l'ampleur.
Exclusif - Selon notre sondage Odoxa - « l'Obs » - Mascaret, la patronne du RN, en forte progression, réduit encore l'écart avec le président candidat, ...
Une part non négligeable d’entre eux voterait même le Pen : 22 % des électeurs de Mélenchon selon Odoxa ! Du côté des électeurs de Pécresse, 24 % voteraient le Pen (contre 42 % pour Macron). Mais ce score est un peu « en trompe-l’œil », note Gaël Sliman, étant donné le grand nombre d’indécis. Parmi les électeurs assurant qu’ils voteront bien si un tel second tour se présentait, seulement 41 % voteront Macron et le savent déjà, 34 % voteront Le Pen et le savent déjà… et un électeur sur quatre est encore à convaincre. La polémique sur McKinsey et le recours aux cabinets de conseil porte aussi préjudice au président candidat : elle a détérioré son image pour 48 % des sondés, n’a rien modifié pour 30 % d’entre eux et 19 % n’en ont pas entendu parler. Derrière ce trio, tous les autres candidats sont relégués sous les 10 % et exclus du match pour la qualification au second tour : Eric Zemmour n’est plus qu’à 8 %, et Valérie Pécresse tombe à 7 %, ce qui serait un cataclysme pour la droite alors qu’après son investiture au sortir de la primaire, la patronne de l’Île-de-France était donnée au second tour. Un autre candidat connaît une dynamique similaire : Jean-Luc Mélenchon progresse dans les mêmes proportions, à 16 %, bénéficiant d’un vote utile à gauche (+ 24 points en trois semaines auprès des sympathisants PS). Mais selon notre sondage (réalisé sur internet les 5 et 6 avril auprès de 1 897 personnes), l’« insoumis » semble distancé pour jouer le second tour. Selon notre sondage Odoxa - « l’Obs » -Mascaret, réalisé à cinq jours du premier tour de la présidentielle, Emmanuel Macron est toujours en tête des intentions de vote au premier tour à 28 %, mais avec un point et demi de moins que lors de notre précédente enquête du 15 mars.
L'écart entre le président-candidat Macron et la candidate RN continue de se réduire à l'approche du premier tour, dans notre sondage quotidien.
Mélenchon plafonne ? Le candidat insoumis, le seul qui semble encore en capacité de se qualifier au second tour parmi tous les candidats de gauche, obtient 16,5 % des intentions de vote ce jeudi. Elle n’a jamais été aussi proche d’Emmanuel Macron, qui obtient 26,5 % des intentions de vote, soit quasiment 5 points de moins que mi-mars. 23 % des intentions de vote, soit 2,5 points supplémentaires en deux jours.
En cas de second tour opposant le président sortant à la candidate du Rassemblement national, l'écart se resserre.
Selon le baromètre, l'intérêt pour la présidentielle continue de remonter (+3 points) sur une semaine à 70%. Les intentions de vote ne constituent pas une prévision du résultat du scrutin. Marge d'erreur entre 1 et 2,2 points. J-3 avant le premier tour de l'élection présidentielle prévu ce dimanche.
Emmanuel Macron comptabilise, selon cette estimation, 26,5 % des intentions de votes, soit quasiment 5 points de moins qu'à la mi-mars. Son grand meeting de ...
Son grand meeting de samedi dernier à La Défense Arena ne semble donc pas avoir eu l'effet escompté sur l’électorat le concernant. 75 % des sondés ayant voté pour elle en 2017 comptent récidiver cette année. C’est 20 points de plus qu’il y a trois semaines. Ce jeudi elle s'est hissée à 23 % des intentions, soit 2,5 % points supplémentaires en deux jours.
Selon notre sondage, la candidate du RN gagne deux points pour atteindre les 23 % tandis que le président sortant perd un point (26 %).
À trois jours du premier tour de l'élection présidentielle, Marine Le Pen poursuit sa remontée sur le président sortant. L'écart entre les deux candidats se resserre également en cas de duel au second tour. Elle bénéficie notamment d’un socle solide d'électeurs : 82 % d'entre eux sont sûrs de leur choix.
En baisse dans les intentions de vote, le candidat d'extrême droite a assuré que « rien n'est joué » puisque « les sondages se sont toujours trompés depuis ...
Notamment parce que la liste des candidats qui se présenteront effectivement est inconnue, obligeant les sondeurs à tester de nombreuses hypothèses qui brouillent la lisibilité. Mais plus on se rapproche du premier tour, plus les résultats des différents instituts se sont avérés fiables dans le passé. Pour appuyer son propos, Eric Zemmour a cité l’exemple de l’élection présidentielle de 1995 : « A une semaine du scrutin, il y avait dix points entre Edouard Balladur et Jacques Chirac, ça a fini à un [point] et demi. Hormis la surprise de la présidentielle de 2002 et la qualification au second tour de Jean-Marie Le Pen qu’aucun institut n’avait anticipée, les sondages réalisés entre la publication de la liste officielle des candidats et le premier tour de l’élection présidentielle (soit une période d’environ un mois) ont toujours donné les deux qualifiés à l’avance.
LA QUESTION. «Les sondages ne correspondent pas à la réalité politique du pays. Ils se sont toujours trompés depuis la présidentielle de 1995», a critiqué Éric ...
«Les suffrages valent plus que les sondages», a répété le candidat Reconquête! en appelant ses électeurs à se mobiliser pour espérer créer la surprise. LA QUESTION. «Les sondages ne correspondent pas à la réalité politique du pays. Dans une vidéo publiée sur Twitter, son porte-parole, Guillaume Peltier, tente de surfer sur la même vague, accusant les sondages de ne pas refléter la réalité et de fausser le comportement des électeurs : «Si vous ne voulez pas faire partie du camp des ah si j'avais su [...] Votez Éric Zemmour!» Alors que le polémiste a fleureté avec les 18% d'intentions de vote en janvier, un renversement des résultats annoncés par les sondages est-il…
À trois jours du premier tour de l'élection présidentielle 2022, les sondages sur les intentions de vote des électeurs se succèdent.
Je pense que ce sont des outils d'argumentation pour les politiques et qu'ils ne sont pas du tout fiables et pertinents pour l'intérêt général. D'ailleurs, ils sont bien souvent financés par les politiques afin de se constituer une place forte dans un contexte électoral, ce qui fait la liaison entre les budgets de campagne inégaux des candidats. Je ne crois pas aux scores annoncés". Rendez-vous dimanche pour savoir si les scores des candidats colleron aux dernières estimations des sondeurs. Non, ils sont juste méfiants envers la méthodologie des sondages et leurs fréquentes erreurs d'appréciation (même si les scores des candidats au premier tour sont le plus souvent dans la marge d'erreur des enquêtes). Je regarde d'un œil les sondages". Eric, qui l'accompagne, admet que même en voulant les éviter, les sondages sont partout. Ceux qui sont à la traîne affirment que les sondages ne reflètent pas la réalité, que des surprises sont probables dans les urnes. "Je voterai dimanche, mais je ne pense pas que les sondages m'influencent, sauf peut-être inconsciemment.
DERNIER SONDAGE. Les dynamiques enregistrés ces derniers jours sur les intentions de vote sont clairement en faveur de Marine Le Pen. Voici le tout dernier ...
Le baromètre politique de Linternaute.com, effectué avec YouGov, donne du crédit à la perspective de voir Emmanuel Macron jouer les tout premiers rôles durant cette élection présidentielle. Selon notre sondage, aucun rival n'apparaît, aux yeux des Français, en mesure de faire un meilleur président de la République. Depuis quelques semaines, tous les sondages donnent en deuxième position Marine Le Pen, la candidate du Rassemblement national. L'institut Harris Interactive a placé Eric Zemmour devant la présidente du parti d'extrême droite à quelques reprises en octobre, tout comme Ipsos pour Le Monde, fin octobre et Ifop Fiducial pour LCI et Le Figaro début novembre. En cette dernière semaine de campagne avant le premier tour, l'hypothèse d'une victoire au 2e tour de Marine Le Pen n'est plus exclue, des sondages donnent les deux finalistes probables au coude-à-coude, dans la marge d'erreur. Voici le dernier sondage effectué sur le premier tour de l' élection présidentielle 2022. De nombreuses photographies de l'opinion sont effectuées, publiées, commentés, avec des résultats parfois - marginalement - contradictoires alors que l'appel aux urnes pour désigner le locataire de l'Elysée approche.
Mais le grand jeu politique a débuté depuis plusieurs mois, rythmé par les sondages d'intentions de vote. Leur diffusion sera d'ailleurs mise à l'arrêt entre le ...
Dans trois jours, les 48,7 millions de Françaises et Français inscrits et inscrites sur les listes électorales passeront aux urnes pour décider qui des 12 candidats et candidates officiels succédera à Emmanuel Macron à l’Élysée, ce dernier étant lui-même candidat à sa succession. Éléments de réponse. Mais le grand jeu politique a débuté depuis plusieurs mois, rythmé par les sondages d’intentions de vote.
A deux jours de la présidentielle française, suivez toutes les dernières informations en direct sur la campagne des candidats.
A l'heure actuelle, le chef de l'Etat Emmanuel Macron reste en tête des sondages. Les Français se rendent aux urnes, ce dimanche 10 avril. A deux jours de la présidentielle française, suivez toutes les dernières informations en direct sur la campagne des candidats.
A deux jours du premier tour de la présidentielle, l'écart se resserre entre le président sortant Emmanuel Macron et Marine Le Pen, la candidate RN, selon.
Les autres candidats sont globalement en baisse, Yannick Jadot est à 5%, Fabien Roussel du PCF à 3% à égalité avec Jean Lassalle. Nicolas Dupont-Aignan affiche 2% d’intentions de vote, à égalité avec Anne Hidalgo. Nathalie Arthaud et Philippe Poutou sont chacun à 1%, à deux jours de l’échéance. Autre fait notable, selon ce sondage, l’abstention qui semble se dessiner, autour de 30%. 71% des Français inscrits sur les listes électorales disent avoir l’intention de se rendre aux urnes. C’est la dernière ligne droite avant le 1er tour de la présidentielle, et Emmanuel Macron voit son avance se réduire. Une baisse constante ces derniers jours qui l’amène à 26% d’intentions de vote, seulement 4 points devant la candidate du RN Marine Le Pen. Elle aussi est en légère baisse, à 22%. Jean-Luc Mélenchon continue sa progression et affiche son meilleur score jamais enregistré depuis le début de la campagne, 17%. Suivent loin derrière Valérie Pécresse, la candidate LR à 9%, à égalité avec Eric Zemmour. A deux jours du premier tour de la présidentielle, l’écart se resserre entre le président sortant Emmanuel Macron et Marine Le Pen, la candidate RN, selon le baromètre OpinionWay-Kéa Partners pour Radio Classique et Les Echos.
Surprise au soir du 23 avril : Jacques Chirac et Lionel Jospin sont qualifiés pour le second tour mais le rapport de forces n'est pas du tout conforme aux ...
"Il y a des sondages en permanence, déplore Christian Brousse, directeur du très critique Observatoire des sondages. Le classement sera aussi respecté pour François Bayrou et Jean-Marie Le Pen, respectivement troisième et quatrième. Les instituts de sondage auront tout de même surévalué d'environ 3,5 points le vote Le Pen à quelques jours du premier tour. En avril 2002, dans le sprint final du premier tour, les sondages donnent tous Jacques Chirac et Lionel Jospin en tête, entre 18 à 19%, loin devant Jean-Marie Le Pen (12,5 à 14%). "Coup de tonnerre" le 21 avril : Jacques Chirac obtient 19,9%, mais c'est Jean-Marie Le Pen (16,9%) qui accède au deuxième tour, devançant Lionel Jospin (16,2%). Surprise au soir du 23 avril : Jacques Chirac et Lionel Jospin sont qualifiés pour le second tour mais le rapport de forces n'est pas du tout conforme aux projections: le candidat socialiste arrive en tête (17,7%) et Jacques Chirac ne devance son rival de droite que d'une courte tête (15,9% contre 14,1%). Les sondages se trompent-ils souvent ? Les candidats en mal de dynamique le crient haut et fort même si, depuis le séisme Le Pen de 2002, les résultats à la présidentielle ont assez peu différé des projections, malgré l'angle mort persistant de l'abstention.
De la surprise Lionel Jospin en 1995 au choc du 21 avril 2002, les études d'opinion sont régulièrement pointées du doigt pour leurs supposées erreurs ...
La semaine avant le premier tour, Hollande se situe entre 24 % et 28 % des intentions de vote – il sera en tête avec 28,63 %. Même marge d’erreur pour Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen (bien que légèrement sous-évaluée), Jean-Luc Mélenchon et François Bayrou. «Une marge d’erreur qu’on répète à chaque fois», dit Brice Teinturier. «En 2017, il n’y a pas eu de difficultés particulières alors même que la proximité entre les candidats était grande, explique Frédéric Micheau. La campagne avait été longue, il y avait un effet dégagisme, l’opinion était mobilisée. Ce sont des éléments de nature à ce que le rapport de force se cristallise.» Favori des sondages des mois durant, Edouard Balladur, alors Premier ministre de François Mitterrand et candidat dissident de la droite contre Jacques Chirac, est coiffé au poteau par le candidat du PS, Lionel Jospin. Ainsi au premier tour, le 23 avril, le Premier ministre RPR arrive troisième (18,58 %). Jacques Chirac, lui, arrive en tête (23,3 %), suivi de Lionel Jospin (20,84 %). Début avril, Libé parlait d’un «trio de tête». Le 12, un «second tour Chirac-Jospin» se dessine. Mais la possibilité d’un second tour n’est pas évoquée. «Jean-Marie Le Pen s’enivre déjà des sondages qui, pour les derniers, lui accordent 13 % et même 14 % d’intentions de vote», souligne le Monde, le 18 avril. «En 2017, les sondages ont été extraordinairement justes, se félicite Brice Teinturier. Ce que nous avons dit deux jours avant le scrutin était exact à 0,5 point près pour chacun des candidats.» Et pour cause. Sur Canal +, Marine Le Pen clame haut et fort que «les instituts de sondage disent n’importe quoi». La candidate du FN veut croire à une «surprise». Le 15 avril, Nicolas Sarkozy et François Hollande, eux, s’affrontent par meetings interposés. Le candidat socialiste est favori. Il est suivi de la candidate PS Ségolène Royal, qualifiée pour le second tour (25,87 %) et donnée entre 22,5 % et 26 % les jours précédant le vote. Une marge d’erreur également présente pour le candidat UDF François Bayrou, arrivé troisième (18,57 %) et donné entre 15 et 19,5 %. «Si la place de Chirac au second tour semble assurée, le match Jospin-Balladur demeure ouvert», lit-on dans les archives de Libération. L’avant-veille du 23 avril, une unique étude de la Sofres plaçait Jospin en tête (20,5 %), suivi de Chirac (24 %) et Balladur (16,5). Tiercé gagnant. «Si la tendance […] se confirme, l’extrême droite risque de dépasser dimanche son niveau déjà élevé de 1995 (15 %)», lit-on le 19 avril. Le 22 avril 2007, au soir du premier tour, Nicolas Sarkozy sort en tête (31,18 %). Six instituts le créditaient, le 18 et le 20 avril, entre 27 % et 30 % d’intentions de vote. A Lyon, jeudi soir, une Valérie Pécresse à la peine dit vouloir «faire mentir tous les sondages […] qui se sont toujours trompés». La veille, à Reims, c’était au tour de l’ancien Premier ministre Edouard Philippe d’affirmer que la «valeur prédictive des sondages est nulle». «Les sondages se sont toujours trompés depuis 1995», grinçait de son côté Eric Zemmour mardi soir sur le plateau de France 2.
Emmanuel Macron (La République en Marche), Marine Le Pen (Rassemblement national), Jean-Luc Mélenchon (La France Insoumise), Valérie Pécresse (Les ...
Derrière lui, se trouvent Valérie Pécresse (9,5%) et Eric Zemmour (8,5%). Marine Le Pen enregistrerait pour sa part 47%. A noter que la marge d'erreur est d'environ 3,3 points. Elle n'augmente que d'un point et obtient ainsi 23% des intentions de vote. "C'est loin d'être le scénario le plus probable, mais il n'est plus statiquement impossible", a expliqué Céline Bracq, directrice générale d'Odoxa, à L'Obs. La règle concerne également les sondages dont les résultats ne pourront être publiés que jusqu'à ce vendredi soir en France. Ces derniers jours, les médias ont donc été nombreux à présenter des chiffres et pronostics, dans lesquels se dégage une nette tendance. RTL a publié, ce vendredi matin, un sondage dans lequel Macron reste en tête, mais voit l'écart avec sa principale rivale Marine Le Pen se réduire. Le président sortant est ainsi crédité de 26% des intentions de vote et perd donc un point par rapport au précédent sondage BVA pour RTL et Orange. La candidate du Rassemblement national récolte pour sa part 23% des intentions de vote (+2 points par rapport au précédent sondage). Elle est suivie par le candidat de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon (17,5% des intentions de vote), qui a gagné deux points par rapport au précédent sondage.
Selon un sondage OpinionWay pour Le Figaro, 27% des Français font confiance à la candidate du Rassemblement national pour lutter contre la corruption.
Les électeurs de Marine Le Pen au premier tour de l'élection présidentielle de 2017 sont les plus nombreux à partager ce sentiment d'une corruption plus fréquente en France (40%, contre 16% des électeurs d' Emmanuel Macron). La plupart des Français (86%) pensent que la lutte contre la corruption devrait être une priorité. Par conséquent, ils réclament un durcissement des sanctions dans ce domaine. C'est plus qu'Emmanuel Macron (25%), Jean-Luc Mélenchon (22%) ou Eric Zemmour (18%). Près d'un Français sur 10 ferait confiance à Jean Lassalle (12%), Valérie Pécresse (11%), Philippe Poutou (10%) et Fabien Roussel (9%). Plus en retrait, Yannick Jadot (7%), Nicolas Dupont-Aignan (6%), Nathalie Arthaud (4%) et Anne Hidalgo (4%) peinent à convaincre.
Que disent les sondages à deux jours du premier tour ? Quelle place pourrait occuper l'abstention dans l'élection présidentielle ? Posez dès maintenant vos ...
Avant que Valérie Pécresse puis la candidate socialiste, Anne Hidalgo, ne soient interrogées lors du journal de TF1, à partir de 20 heures. Suivi des déplacements et des prises de parole des candidats, analyse de leurs propositions, tchats avec des journalistes du Monde et des spécialistes… Ultime journée de campagne.
Les sondages se sont toujours trompés depuis vingt-cinq ans », a déclaré vendredi dans la matinale de CNEWS Eric Zemmour, candidat à la présidentielle du ...
Malgré son enthousiasme, Eric Zemmour ne cesse de dégringoler dans les sondages parus depuis fin février. En cause notamment, sa prise de position polémiste sur le sort des réfugiés ukrainiens qu'il a appelé à accueillir en Pologne, plutôt qu'en France ou encore les «Macron assassin» scandés par une partie de ses militans à son meeting du Trocadéro, le 27 mars. Il a ainsi cité l'exemple du premier tour de l'élection présidentielle de 1995. A l'époque, un sondage publié une semaine avant le scrutin annonçait un écart de dix points entre Jacques Chirac et Edouard Balladur. «Cela s'est terminé avec un point et demi en faveur de Jacques Chirac. Il ne faut donc surtout pas croire les sondages», a rappelé Eric Zemmour.
Emmanuel Macron (La République en Marche), Marine Le Pen (Rassemblement national), Jean-Luc Mélenchon (La France Insoumise), Valérie Pécresse (Les ...
Marine Le Pen enregistrerait pour sa part 47%. A noter que la marge d'erreur est d'environ 3,3 points. Elle n'augmente que d'un point et obtient ainsi 23% des intentions de vote. Derrière lui, se trouvent Valérie Pécresse (9,5%) et Eric Zemmour (8,5%). "C'est loin d'être le scénario le plus probable, mais il n'est plus statiquement impossible", a expliqué Céline Bracq, directrice générale d'Odoxa, à L'Obs. Dans un sondage Ifop Fiducial pour LCI, Paris Match et Sud Radio, l'écart est d'autant plus serré entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Le président français domine la course à l'Elysée avec 26% d'intentions de vote (-0,5 par rapport au précédent sondage), mais est suivi de près par la candidate RN, qui récolte 24% d'intentions de votes (pas de changement par rapport au précédent). En troisième position, on retrouve Jean-Luc Mélenchon (17%, -0,5 points), suivi de Valérie Pécresse (9% - pas de changement par rapport au précédent sondage) et d'Eric Zemmour (9% - -0,5 par rapport au précédent sondage). RTL a publié, ce vendredi matin, un sondage dans lequel Macron reste en tête, mais voit l'écart avec sa principale rivale Marine Le Pen se réduire. Le président sortant est ainsi crédité de 26% des intentions de vote et perd donc un point par rapport au précédent sondage BVA pour RTL et Orange. La candidate du Rassemblement national récolte pour sa part 23% des intentions de vote (+2 points par rapport au précédent sondage). Elle est suivie par le candidat de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon (17,5% des intentions de vote), qui a gagné deux points par rapport au précédent sondage.
A deux jours du premier tour de l'élection présidentielle, dimanche, « l'Obs » revient sur la dynamique des candidats dans les enquêtes d'opinion, ...
Elle est passée de 8 % des intentions de vote en octobre à 2 % selon les dernières estimations, confirmant la crise dans laquelle s’est embourbé le PS. Elle est passée de 8 % des intentions de vote en octobre à 2 % selon les dernières estimations, confirmant la crise dans laquelle s’est embourbé le PS.de la candidate socialiste n’aura fait que baisser. La faute à un Eric Zemmour qui marche copieusement sur ses plates-bandes, et passe de 11 % des intentions de vote en septembre à 17 % en novembre. De tous les candidats de gauche, Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) a toujours été le plus plébiscité dans les sondages. De 28 % des intentions de vote à l’été 2021, la candidate d’extrême droite passe à moins de 17 % en octobre. De juin à mars, Emmanuel Macron oscille entre 24 % et 28 % des intentions de vote au premier tour.
Marine le Pen n'est qu'à 3,5 points d'Emmanuel Macron, selon la dernière vague du baromètre des intentions de vote réalisée par Ipsos-Sopra Steria pour ...
Ce sondage Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd'hui en France publié le 8 avril s'appuie sur un échantillon total de 1 709 personnes inscrites sur les listes électorales, constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Autre barre symbolique, et décisive pour le remboursement des frais de campagne, celle des 5%. Alors qu'il était au-dessus le 12 mars, avec 6,5%, Yannick Jadot est aujourd'hui pile à 5% des intentions de vote. Ce baromètre est réalisé pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd'hui en France jusqu'au premier tour de la présidentielle et s'appuie sur la méthodologie du "rolling poll", ou sondage roulant. Les positions se stabilisent entre les deux candidats les mieux placés, selon notre baromètre quotidien Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd'hui en France, mis à jour vendredi 8 avril pour la dernière fois avant le premier tour de la présidentielle 2022. Alors qu'elle était à 11% le 12 mars, elle sous les 10% depuis le 29 mars. Tout d'abord, les positions mesurées dans le trio de tête sont figées dans cet ordre depuis la vague du 18 mars.
Quelles sont les intentions de vote à la présidentielle 2022 pour les premier et second tours ? Quel est l'intérêt pour la campagne électorale ?
Il s'agit de l'un des écarts les plus faibles depuis que la première mesure de ce second tour, le 23 septembre. En revanche, pour eux, le podium est sans surprise bien différent et complété par la protection sociale (62 %) et les inégalités sociales (58 %). Alors qu'il était au même niveau que Jean-Luc Mélenchon au tout début de notre baromètre (8 % pour le candidat EELV, 9 % pour l'Insoumis en octobre dernier), l'eurodéputé écologiste n'a pas su tirer son épingle du jeu dans une campagne où l'enjeu environnemental a été éclipsé par les crises sanitaire, économique et géopolitique. Les Français perçoivent cette dynamique : 18 % d'entre eux estiment que Jean-Luc Mélenchon est le candidat qui a marqué le plus de points au cours de la semaine passée, faisant ainsi jeu égal avec Emmanuel Macron (21 %). Alors qu'ils ont un temps rivalisé avec Marine Le Pen pour accéder au second tour, ces deux candidats ne recueillent aujourd'hui plus que 9 % des intentions de vote. Néanmoins, contrairement à Marine Le Pen, la progression de Jean-Luc Mélenchon dans les sondages ne s'accompagne pas d'un souhait de victoire du député de Marseille à la hausse : 13 %, un score stable depuis plusieurs semaines. Cependant, elle se trouve encore largement devancée par le président sortant (59 %), même si Emmanuel Macron enregistre sa plus forte baisse sur cet indicateur depuis le début de notre baromètre (-3 points). A l'inverse, Emmanuel Macron chute de 6 points (21 %) et occupe cette semaine la seconde place après avoir été pendant cinq semaines consécutives (soit à partir du début de la guerre en Ukraine) sur la première marche du podium. Ce score, proche des intentions de vote en sa faveur, n'a cessé de progresser depuis la mi-février (13 % alors). Il s'agit des scores les plus élevés de la candidate d'extrême-droite depuis le début de notre baromètre. Se voulant porte-drapeau du pouvoir d'achat, Marine Le Pen a su satisfaire ses électeurs : 47 % estiment que la campagne a permis d'aborder les sujets importants. 44 % des électeurs de Jean-Luc Mélenchon jugent que la campagne aura été utile pour les aider à choisir leur candidat.
Le sondage Elabe Opinion pour BFMTV, L'Express et SFR crédite Emmanuel Macron de 26% et Marine Le Pen de 25% d'intentions de vote au premier tour de l'élection ...
L'élection du président de la République a lieu 20 jours au moins et 35 jours au plus avant la fin du mandat du président en exercice. Les dates officielles de l'élection présidentielle sont les suivantes : le premier tour a lieu le dimanche 10 et le 2e tour a lieu le dimanche 24 avril 2022. Depuis la réforme constitutionnelle de 1962, le président de la République est élu au suffrage universel direct. La candidate du RN à l'élection présidentielle s'est offerte un détour par Narbonne, dans l'Aude, pour ce dernier jour de campagne. Le 10 avril les électeurs auront le choix de voter pour Nathalie Arthaud, Fabien Roussel, Emmanuel Macron, Jean Lassalle, Marine Le Pen, Éric Zemmour, Jean-Luc Mélenchon, Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Valérie Pécresse, Philippe Poutou et Nicolas Dupont-Aignan. Mais aussi à affirmer que, parmi les candidatures majeures à ce scrutin, deux d’entre elles, celles de Marine Le Pen et d’Eric Zemmour, sont incompatibles avec tous nos principes, tout autant qu’elles sont contraires aux valeurs républicaines, à l’intérêt national et à l’image de la France." "Les écologistes n’ont jamais eu aucune ambiguïté vis-à-vis de l’extrême-droite", a affirmé Jadot à la presse, à Lyon, où il se rendait pour visiter la plus grande chaufferie biomasse du pays. La campagne officielle du premier tour de l'élection présidentielle 2022 se clôture ce vendredi 8 avril à minuit. La candidate était en visite dans les vignes de Cairanne, dans le Vaucluse. L'occasion de revenir devant la presse sur ses déclarations du matin, affirmant qu'elle ne donnerait pas de consigne au deuxième tour. Le documentariste, qui a notamment réalisé Demain et Animal, avait rendu public son soutien au candidat insoumis plus tôt dans la journée. Jean-Luc Mélenchon n'a pas manqué de lui adresser des remerciements sur son compte Twitter : "Merci à Cyril Dion pour son soutien. - Valérie Pécresse a affirmé que si elle n'est pas qualifiée pour le second tour de l'élection présidentielle, elle ne donnera aucune consigne aux électeurs pour voter, se contentant d'indiquer son propre vote. Les résultats des sondages ont invariablement donné Emmanuel Macron et Marine Le Pen en tête des intentions de vote, mais rien n'est joué dans cette présidentielle 2022.
Le président-candidat LREM et la candidate RN ressortent nettement en tête de notre dernier sondage quotidien publié avant le premier tour.
Le Pen et Macron très proches en cas de second tour. L’indice de participation est de 72 %, stable pour le troisième jour consécutif mais en hausse par rapport à la fin du mois de mars (67 %). Il reste cependant loin des 77,8 % des électeurs qui avaient voté au premier tour en 2017. Voici le rapport de force qui ressort de notre sondage, avec des taux stables par rapport à jeudi. Pécresse et Zemmour sous les 10 %. La candidate LR et celui Reconquête ! ont perdu beaucoup de poids électoral ces dernières semaines. Marine Le Pen n’a jamais été aussi proche d’Emmanuel Macron, l’écart étant inférieur de 5 points par rapport à celui mi-mars. Il affiche lui aussi une nette progression depuis la mi-mars, puisqu’il était estimé à cette époque à seulement 11 % des voix.
Le vote des agriculteurs est très convoité en France. Selon deux sondages récents, ils pencheraient vers Emmanuel Macron au premier tour après avoir ...
En effet, le monde agricole fait partie des secteurs les plus touchés par les conséquences de la guerre en Ukraine. Ce dernier ne descend pas sous les 8% alors qu’il stagne en dessous de 3% dans les sondages généralistes. La gauche radicale ne s’en sort pas mieux : Jean-Luc Mélenchon par exemple ne dépasse pas les 10%, et perd 5 points. Seul Eric Zemmour est parvenu à convaincre : il se plaçait même devant Macron fin février avant de retomber à 12% lors de la dernière remontée marconiste, en talonnant Valérie Pécresse (13%) en perte de vitesse. Si Mme Pécresse et M. Macron sont plébiscités par les agriculteurs, il en va différemment de l’extrême droite. Une étude menée entre le 14 février et le 6 mars pour le Baromètre agricole Terre-net Datagri renseigne d’abord sur une donnée importante : la participation. Et pourtant, si les exploitants ne représentent aujourd’hui qu’environ 1,5% du corps électoral, le monde agricole dans son ensemble pèse davantage.