Des activistes ukrainiens ont identifié Azatbek Omurbekov comme le responsable des unités russes présentes dans la ville située au nord de Kiev, ...
Ils disent aussi avoir essayé de l’appeler : ce sont des proches qui étaient au bout du fil, affirmant qu’ils n’avaient aucune nouvelle de lui depuis plusieurs jours. Ces derniers, connus du grand public pour leurs masques de Guy Fawkes, ont ainsi récemment publié une liste de noms : tous appartenant à ce bataillon 51 460. Et c’est un groupe d’Ukrainiens qui est remonté jusqu’au nom de Omurbekov.
Selon des activistes ukrainiens, Azatbek Omurbekov est le lieutenant-colonel à la tête des opérations menées par l'armée russe à Boutcha.
Ou alors ça a été fait de manière très structurée, parce que ça venait d'une volonté de l'état-major avec un 'état final recherché', comme on dit dans l'armée, et alors là les responsabilités ne sont plus du tout les mêmes", précise-t-il au micro de BFMTV. "C'est le chef d'une unité qui est suffisamment petite pour que son chef soit au moins au courant de ce qui se passe partout, il a forcément une part de responsabilité, plus ou moins grande, mais forcément une part", estime Michel Goya, consultant défense de BFMTV. Certains l'appellent le "boucher de Boutcha". Le lieutenant-colonel russe Azatbek Omurbekov est identifié par le site InformNapalm, un site d'activistes ukrainiens, comme l'homme à la tête des opérations menées par l'armée russe à Boutcha, où des centaines de corps de civils exécutés ont été retrouvés.
Le chef du bataillon russe soupçonné d'avoir commis le massacre de Boutcha en Ukraine a été identifié par des activistes ukrainiens et estoniens. Sa brigade est ...
J'ai hâte de retourner en Ukraine et de couper à nouveau quelques oreilles". Juste avant de repartir en Ukraine pour cette "opération militaire spéciale" décidée par Vladimir Poutine, il a été béni par l'Église orthodoxe. le monde a découvert avec horreur les possibles exactions commises par l'armée de Vladimir Poutine à Boutcha, où près de 300 civils ont été tués. "On a bien travaillé à Boutcha, a-t-il écrit sur son profil. en Crimée et dans le Donbass. Guerre en Ukraine: ce que l'on sait sur le soldat russe surnommé le "boucher de Boutcha"Le 07/04 à 10h41 MàJ 07/04 à 11h12
Selon des activistes ukrainiens, ce lieutenant-colonel serait le responsable du massacre de civils à Boutcha près de Kiev Les images de civils morts ...
Il a même été béni par l’Eglise orthodoxe fin 2021, juste avant le début de l’invasion en Ukraine. « Ce ne sont pas nos armes les plus importantes, l’histoire montre que la plupart de nos batailles se gagnent avec nos âmes », a-t-il déclaré devant l’évêque lors de sa bénédiction. Installés à Boutcha pendant plus d’un mois jusqu’au 30 mars dernier, ils se seraient repliés près de la ville de Belgorod, côté russe de la frontière, selon les services de renseignement. Selon des habitants de cette ville située près de Kiev, les soldats russes qui l’ont occupé pendant plusieurs semaines ont terrorisé la population et massacré les civils avant de partir.
Parmi les auteurs russes des massacres de civils à l'ouest de Kiev, figurerait notamment le lieutenant-colonel Azatbek Omurbekov.
Pour la première fois de l'histoire, les auteurs de crimes de guerre ne sont plus anonymes. «Je dirai juste que rien qu'en observant les images, quand vous voyez des gens ligotés, avec une balle dans la tête, cela semble terriblement planifié, prémédité», ajoute l'officiel du Pentagone, sous couvert de l'anonymat. Au lieu de cela, ils se sont retrouvés en butte à des civils hostiles et ont réagi brutalement, en tuant comme à Boutcha tous les hommes en âge de se battre et en violant les femmes. D'autres unités, de passage à Boutcha, ont peut-être perpétré certains des meurtres, mais ne sont pas aussi précisément ciblées que la 64e brigade. Des enfants … Ils ont ligoté des enfants, et les ont abattus comme des chiens», témoigne le journaliste ukrainien, Evgeny Spirin. D'autres corps sont piégés. Un autre a été décapité post-mortem. Dès que je vous retrouve, je vous couperai tous la tête».
Après la découverte du massacre de plusieurs centaines de civils dans la ville de Boutcha, des volontaires ukrainiens se sont mis en quête de retrouver le ...
C'est avec ce bataillon, composé de près de 1600 hommes qu'il aurait été installé à Boutcha pendant plus d'un mois jusqu'à ce que la ville soit reprise par les forces ukrainiennes. En attendant l'avancement des enquêtes de la communauté internationale, les Ukrainiens ont voulu en savoir plus sur les circonstances de ces massacres. Il n'est pas possible de savoir si c'est bien cet homme qui a commandité ces massacres. Des activistes ont ainsi donné un nom et mis un visage sur ces exactions. Occupée pendant plusieurs semaines par les forces russes qui cherchaient à atteindre la capitale ukrainienne, Boutcha est devenue, depuis le week-end dernier, une ville martyre. l'essentiel Après la découverte du massacre de plusieurs centaines de civils dans la ville de Boutcha, des volontaires ukrainiens se sont mis en quête de retrouver le responsable et ont mis un visage sur celui qu'ils ont surnommé "le boucher de Boutcha".
Ce lientenant-colonel d'une quarantaine d'années a été identifié par des volontaires ukrainiens qui ont également livré son adresse mail et postale.
Selon le maire de Boutcha, Anatoly Fedorouk, 280 personnes ont dû être enterrées ces derniers jours dans des "fosses communes" de cette ville, le nombre de cadavres s'accumulant. L'une d'elles était couchée près d'un vélo et une autre avait des sacs à provisions à côté d'elle. Un cadavre avait les mains liées dans le dos. Ce qui ne l'aurait visiblement pas empêché de s'en servir contre des civils à Boutcha. Le lieutenant-colonel, âgé d'une quarantaine d'années, a occupé Boutcha avec son bataillon d'environ 1 600 hommes, avant de se replier en Russie. Et le temps est venu de chercher les coupables. Et les Ukrainiens mènent en parallèle leurs investigations sur place.
Des activistes ukrainiens ont identifié, ce mercredi, Azatbeck Omurbekov, lieutenant-colonel russe, comme étant l'un des probables responsables du massacre ...
Les activistes ukrainiens auraient tenté de rentrer en contact téléphonique avec le présumé "boucher de Boutcha", sans succès. Ses proches ont indiqué qu'ils seraient sans nouvelles de lui depuis plusieurs jours. La communauté internationale a d'ailleurs lancé plusieurs appels pour traduire les coupables devant le tribunal pénal international (TPI) pour crimes de guerre. Si Moscou nie être à l'origine de ces crimes, depuis, des preuves matérielles ont été apportées notamment par la presse.
Na de terugtrekking van Russische troepen uit Boetsja kwam de gruwel van de oorlog echt aan het licht. De Oekraïense president Volodimir Zelenski beschuldigt ...
Na de terugtrekking van Russische troepen uit Boetsja kwam de gruwel van de oorlog pas echt aan het licht. De Oekraïense president Volodimir Zelenski ...
De wereld heeft geschokt gereageerd op de gruweldaden die in Boetsja hebben plaatsgevonden. In de zoektocht naar daders heeft het Oekraïense minist...
De wereld heeft geschokt gereageerd op de gruweldaden die in Boetsja hebben plaatsgevonden. In de zoektocht naar daders heeft het Oekraïense ministerie van ...
Le commandant russe, âgé d'une quarantaine d'années, est soupçonné d'avoir organisé les meurtres de masse à Boutcha, au nord ouest de Kiev.
Et cela sera reconnu par le monde comme un génocide ». Interrogé sur la poursuite des négociations de paix avec Moscou, le président ukrainien a répondu qu'il poursuivait ses efforts « diplomatiques et militaires ». Selon le maire, Anatoly Fedorouk, près de 300 civils auraient été abattus d’une balle dans la tête puis enterrés dans des fosses communes. Un massacre qualifié de « génocide » par Volodmyr Zelensky, et qui porte désormais un visage: celui d’Azatbek Omurbekov. L’homme, âgé d’une quarantaine d’année, est commandant de la 64e brigade séparée de fusiliers motorisés. Il a été béni par un évêque de l'église orthodoxe, quelques semaines seulement avant le début de l'invasion russe.
Le monde a réagi avec effroi aux atrocités qui ont eu lieu à Boutcha. Dans la recherche des auteurs, le ministère ukrainien de la Défense a fait un premier ...
[VIDÉO] ▶️ Après le massacre de Boutcha, où des centaines de civils ont été tués, la traque des coupables est lancée. Azatbek Omurbekov est soupçonné ...
Comme le rapporte The Times, Omurbekov a été décoré par le vice-ministre russe de la Défense, Dmitri Boulgakov, pour services exceptionnels en 2014. Ce soldat vétéran, commandant de la 64e brigade séparée de fusiliers motorisés, qui a participé à l'occupation de Boutcha, est soupçonné d'avoir orchestré le viol, le pillage et le massacre de centaines de civils ukrainiens. InformNapalm a révélé, sur son compte Telegram, l'adresse, le numéro de téléphone et le mail d'Azatbek Omurbekov, soupçonné d'avoir ordonné les crimes de guerre "totalement inhumains" dénoncés par le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiy Reznikov. Âgé d'environ 40 ans, il est le commandant de l'unité 51460, basée dans une ville à l'extérieur de Khabarovsk, dans l'Extrême-Orient russe. Un "crime de guerre" que Kiev a attribué à la Russie. Ce que Moscou a réfuté en bloc, malgré des images satellite remettant en cause sa version. Et l'un des probables commanditaires de la tuerie de Boutcha a, semble-t-il, été identifié : Azatbek Omurbekov. InformNapalm, une initiative de volontaires ukrainiens qui surveille les activités de l'armée et des services spéciaux de Vladimir Poutine, a utilisé des renseignements en source ouverte pour remonter la trace du lieutenant-colonel russe. Des dénégations russes que Volodymyr Zelensky a repoussées. Devant le Conseil de sécurité de l'ONU, le président ukrainien, marqué par l'horreur de Boutcha où il s'est rendu en personne, a réaffirmé, mardi 5 avril, vouloir de "traduire en justice les militaires russes et ceux qui leur ont donné des ordres". "Les coupables doivent rendre des comptes" pour "les pires crimes de guerre", commis depuis la Seconde Guerre mondiale, a-t-il lancé, répétant son intention de punir les auteurs de ce "génocide".
Un commandant RUSSE surnommé le "boucher de Bucha" après avoir supervisé le viol et le meurtre d'Ukrainiens innocents a récemment été béni par l'Église.
Ils attachaient des enfants. Le journaliste ukrainien Evgeny Spirin a parlé de la cruauté déchirante que les hommes de Poutine ont infligée aux civils, en particulier aux femmes et aux enfants. Il est le commandant de la 64e brigade de fusiliers motorisés séparés, qui a laissé une traînée de mort et de destruction dans leur sillage avant leur retraite. Le commandant a déclaré après la cérémonie : « L’histoire montre que nous livrons la plupart de nos batailles avec nos âmes. Le lieutenant-colonel Azatbek Omurbekov a été nommé et humilié suite à la conduite « totalement inhumaine » des troupes lors de l’occupation de la ville. Un commandant RUSSE surnommé le « boucher de Bucha » après avoir supervisé le viol et le meurtre d’Ukrainiens innocents a récemment été béni par l’Église orthodoxe.
Le nom d'Azatbek Omurbekov circule déjà beaucoup sur les réseaux sociaux. Il s'agit d'un officier russe, soupçonné d'être le responsable des massacres ...
Le ministère ukrainien de la Défense a publié les noms des soldats russes qui occupaient Boutcha lorsque les massacres ont eu lieu.
Samedi, le maire de Boutcha avait déclaré que près de 300 personnes avaient dû être enterrées dans des fosses communes. Selon ce document, le lieutenant-colonel Azatbek Omurbekov était le commandant de l’unité qui occupait Boutcha. Il pourrait donc être le responsable de ce bain de sang. La diffusion dans les médias internationaux de photos prises à Boutcha et montrant des corps dans la rue, certains les mains liées dans le dos ou partiellement brûlés, ainsi que des fosses communes, a provoqué une vague de condamnation internationale.
Des militants ukrainiens affirment avoir identifiés quels soldats russes et quel chef militaire se trouvaient à Boutcha lorsque des centaines de civils ont ...
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, a évoqué sur BFMTV un bilan de "plus de 400" victimes dans la ville ukrainienne et indiqué que les autorités s'attendent "très certainement à dénombrer "plus de 1000" civils tués à Boutcha et dans ses environs. Identifié comme le chef de la 64e brigade d'infanteries motorisées de l'armée russe, l'homme âgé d'une quarantaine d'années est considéré par InformNapalm - un site mené par des activistes ukrainiens qui enquêtent sur les crimes de guerre - comme le responsable des crimes de guerre à Boutcha. Il est déjà surnommé par certains comme le "boucher de Boutcha". Le lieutenant-colonel russe Azatbek Omurbekov est cité par un site d'information ukrainien comme le militaire à la tête des opérations menées dans la ville de Boutcha au cours du mois de mars.