Eurasie

2022 - 4 - 5

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"La Russie veut construire une Eurasie de Lisbonne à Vladivostok ... (lalibre.be)

Dmitri Medvedev, ancien président russe, a également qualifié le massacre de Boutcha de "fake news".

M. Medvedev a qualifié ces atrocités de "fausses", ayant mûri dans "l'imagination cynique de la propagande ukrainienne". Dans un message rendu public sur Telegram ce mardi matin et relayé par nos confrères de Het Laatste Nieuws, l'homme d'Etat a tout d'abord démenti les exactions russes commises à Marioupol, et, plus récemment, à Boutcha. Pour rappel, plus de 400 corps sans vie de civils ont été retrouvés gisant à même le sol ou enterrés à la hâte dans des fosses communes. "La Russie veut construire une Eurasie de Lisbonne à Vladivostok": les déclarations inquiétantes de Dmitri Medvedev

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«La Russie veut l'Eurasie de Lisbonne à Vladivostok»: les ... (Charente Libre)

Dmitri Medvedev, ancien président russe, a également qualifié le massacre de Boutcha de « fake news », accusant l'Ukraine de mise en scène.

Selon lui, « les troupes ukrainiennes seraient même prêtes à tuer leurs propres civils pour donner cette impression ». Les troupes ukrainiennes seraient même prêtes à tuer leurs propres civils. Ce mardi matin, Dmitri Medvedev, ancien président russe et fidèle allié de Vladimir Poutine, a posté un inquiétant message rendu public sur Telegram, relayé par le quotidien La Libre Belgique citant Het Laatste Nieuwssur.

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“La Russie veut une Eurasie qui irait de Lisbonne à Vladivostok”, l ... (7sur7)

L'objectif de la Russie est une grande Eurasie, qui s'étendrait de Lisbonne à Vladivostok.” Voilà ce qu'a déclaré Dmitri Medvedev, ancien président russe et ...

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"La Russie veut construire une Eurasie de Lisbonne à Vladivostok ... (dh.be)

Dmitri Medvedev, ancien président russe, a également qualifié le massacre de Boutcha de "fake news".

Des déclarations qui ont rapidement suscité l'effroi de la communauté internationale mais que n'a pas encore publiquement confirmées l'ancien président russe. Des déclarations qui ont rapidement suscité l'effroi de la communauté internationale mais que n'a pas encore publiquement confirmées l'ancien président russe. relayé par nos confrères de Het Laatste Nieuws, l'homme d'Etat a tout d'abord démenti les exactions russes commises à Marioupol, et, plus récemment, à Boutcha. Pour rappel, plus de 400 corps sans vie de civils ont été retrouvés gisant à même le sol ou enterrés à la hâte dans des fosses communes.

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