L'Ukraine a accusé dimanche l'armée russe d'avoir commis un "massacre" à Boutcha, une petite ville au nord-ouest de Kiev...
Plusieurs d'entre eux étaient dans des sacs mortuaires noirs et ceux que l'on pouvait voir portaient des vêtements civils. Un autre se trouvait près de la gare, sous une couverture. Boutcha a été occupée par l'armée russe dès le 27 février, restant inaccessible pendant plus d'un mois.
De nombreux cadavres ont été découverts dans une ville libérée près de Kiev, témoignant de crimes de guerre.
Les corps de 57 personnes ont été retrouvés dans une fosse commune à Boutcha, dans la région de Kiev, alors que des corps jonchent les rues.
Parmi les civils tués se trouveraient également Olha Sukherko, à la tête du village de Motyzhin, avec toute sa famille. Une dizaine de cadavres étaient visibles, certains seulement partiellement inhumés. «Ici, dans cette longue tombe, 57 personnes sont enterrées», a dit M. Kaplytchnyi, qui organisait la récupération des corps. Les corps sont dans les rues. «Nous avons trouvé des fosses communes. Nous devons les arrêter et les mettre dehors. Nous devons les arrêter et les mettre dehors.
Aucune impunité pour les crimes de guerre. Tel est le message qui résonnait dimanche dans les rangs du gouvernement fédéral après la découverte de nombreux ...
Aucune impunité pour les crimes de guerre. Europol et les services de police se chargent quant à eux de coordonner les procédures pour recueillir les déclarations de victimes ou de témoins de crimes de guerre en Ukraine. Aucune impunité pour les crimes de guerre.
Des dizaines de cadavres ont été découverts dans cette ville située au nord-ouest de Kiev, dont l'armée russe s'est retirée il y a quelques jours.
Elle a assuré que le Royaume-Uni soutiendrait « pleinement toute enquête par la Cour pénale internationale » et appelé une nouvelle fois à « accroître les sanctions » contre la Russie. J’exige de nouvelles sanctions dévastatrices du G7 MAINTENANT », appelant à un « embargo sur le pétrole, le gaz et le charbon », la fermeture de tous « les ports aux navires et aux marchandises russes » et la « déconnexion de toutes les banques russes de Swift ». Un peu plus tôt dans la journée, le ministre des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, avait précisé que Paris allait travailler avec l’Ukraine et la Cour pénale internationale pour que ces actes « ne restent pas impunis et que leurs responsables soient jugés et condamnés ». Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accusé la Russie de « génocide ». « Oui, c’est un génocide. L’élimination de toute la nation et des gens. » L’UE a déjà adopté plusieurs trains de sanctions contre Moscou depuis l’offensive en Ukraine, ciblant massivement des entreprises, des banques, des hauts responsables, des oligarques, et interdisant l’exportation de biens vers la Russie. Ce massacre « était délibéré, a dénoncé le ministre ukrainien des affaires étrangères, Dmytro Kuleba, dimanche sur Twitter. Les Russes veulent éliminer autant d’Ukrainiens qu’ils le peuvent. « Les images qui nous parviennent de Boutcha, ville libérée près de Kiev, sont insoutenables. Nous avons trouvé des gens avec les mains et les jambes ligotées (…) avec des impacts de balles à l’arrière de la tête », a de son côté déclaré à la BBC le porte-parole du président ukrainien, Serguiï Nikiforovil, affirmant qu’il s’agissait « clairement de civils ». Au moins deux d’entre elles présentaient de larges blessures à la tête. La peau des visages avait un aspect cireux, laissant penser que les cadavres étaient là depuis au moins plusieurs jours. Plusieurs d’entre eux étaient dans des sacs mortuaires noirs et ceux qui étaient visibles portaient des vêtements civils. Quelques journalistes, dont ceux de l’Agence France-Presse (AFP), ont pu pénétrer à Boutcha samedi, découvrant les cadavres d’au moins vingt-deux personnes portant des vêtements civils dans des rues, sans pouvoir déterminer dans l’immédiat la cause de leur mort. Plusieurs pays ont accusé la Russie d’être responsables d’exactions, ce que Moscou a démenti, dimanche.
Dimanche 3 avril, à Boutcha (Ukraine), à 30 kilomètres au nord-ouest de Kiev, des dizaines de corps de civils ont été découverts. Les premiers témoignages ...
C’est l’une des banlieues de Kiev (Ukraine) où les combats ont été les plus acharnés et rapprochés. Dans une rue, sur 300 mètres, une vingtaine de corps de civils fauchés par la guerre longent le sol. À Boutcha (Ukraine), une commune de 36 000 habitants, le fracas des bombes n’a jamais cessé durant plus d’un mois, jour et nuit, quotidiennement. Les habitants sont tétanisés, et veulent que tout le monde sache ce qui est arrivé ici.
Les corps de 57 personnes ont été retrouvés dans une fosse commune à Boutcha, ville de la région de Kiev reprise cette semaine par les forces ukrainiennes, ...
L’AFP avait vu samedi les cadavres d’au moins vingt hommes portant des vêtements civils gisant dans une rue de Boutcha, reconquise cette semaine par les troupes ukrainiennes. Les corps de 57 personnes ont été retrouvés dans une fosse commune à Boutcha, ville de la région de Kiev reprise cette semaine par les forces ukrainiennes, a déclaré dimanche Serhii Kaplytchny, le chef des secours locaux, en montrant à l’AFP ce site. Les corps de 57 personnes ont été retrouvés dans une fosse commune à Boutcha, ville de la région de Kiev reprise cette semaine par les forces ukrainiennes, a déclaré dimanche Serhii Kaplytchny, le chef des secours locaux, en montrant à l’AFP ce site.
Aucune impunité pour les crimes de guerre. Tel est le message qui résonnait dimanche dans les rangs du gouvernement fédéral après la découverte de nombreux ...
Aucune impunité pour les crimes de guerre. Aucune impunité pour les crimes de guerre. Vladimir Poutine devra répondre de ces crimes devant la justice internationale", a-t-il dit. Elle servira de passerelle entre les enquêtes des Etats membres de l'Union européenne et l'enquête de la Cour pénale internationale. Notre responsabilité est de mettre fin à l'impunité de ces crimes de guerre, a-t-il souligné. Lundi passé, sept d'entre eux se sont accordés sur la façon de procéder en compagnie du commissaire européen à la Justice, Didier Reynders. L'Agence européenne pour la coopération judiciaire Eurojust a annoncé la mise sur pied une équipe d'enquêteurs chargée de recueillir des preuves d'éventuels crimes de guerre ou de crime contre l'humanité.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fustigé les troupes russes composées selon lui de meurtriers, tortionnaires, violeurs, pilleurs après ...
L'annonce jeudi par Moscou d'obliger les acheteurs de pays "inamicaux" à payer le gaz russe en roubles depuis des comptes en Russie pourrait avoir changé la donne. Le porte-parole du président ukrainien, Serguiï Nikiforovil, a pour sa part déclaré à la BBC: "Nous avons trouvé des fosses communes. Plus de 500.000 personnes sont retournées en Ukraine depuis le début de l'invasion russe, a annoncé dimanche le ministère ukrainien de l'Intérieur. Du côté de Moscou, on anticipe déjà un éventuel alourdissement des sanctions. Les Occidentaux ont dénoncé des "crimes de guerre" ou réclamé une enquête pour établir les faits. Et il y a les fosses communes.
Aucune impunité pour les crimes de guerre. Tel est le message qui résonnait dimanche dans les rangs du gouvernement fédéral après la découverte de nombreux ...
La Russie a demandé une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU pour statuer sur les « provocations haineuses » commises selon elle par l'Ukraine à Boutcha, où ...
Les Occidentaux ont dénoncé des « crimes de guerre » ou réclamé une enquête pour établir les faits. « Personne n’y croit », a-t-elle ajouté. Moscou a démenti avoir tué des civils.
A Boutcha, une ville au nord-ouest de Kiev, des civils jonchent les rues. Des corps sont enfouis dans une fosse commune. Dans la guerre d'Ukraine, qui est ...
Le président français Emmanuel Macron, qui s’était pourtant distancié des propos de son homologue américain Joe Biden, lequel avait traité Vladimir Poutine de «boucher», a dénoncé les images «insoutenables» de «civils lâchement assassinés» et déclaré que les «autorités russes devront répondre de ces crimes». Pour le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, ces images sont «un coup de poing dans l’estomac. […] Nous ne pouvons normaliser cela.» Le président ukrainien Volodymyr Zelensky accuse Moscou de commettre un «génocide» en Ukraine. Des images qu’on ne pensait plus voir sur sol européen, en Ukraine. A Boutcha, une ville au nord-ouest de Kiev, des civils jonchent les rues. Paris et Washington condamnent sévèrement ces actes d’atrocité qu’ils attribuent à la Russie. Historienne et sociologue des médias, Valérie Gorin commente cet épisode tragique de la guerre en Ukraine
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fustigé les troupes russes composées selon lui de "meurtriers, tortionnaires, violeurs, pilleurs" après le ...
Les Etats-Unis ont interdit l'importation de pétrole et de gaz russes peu après l'invasion de l'Ukraine, mais pas l'UE qui s'approvisionnait en Russie à hauteur de 40% environ en 2021. L'AFP a vu samedi les cadavres d'au moins 22 personnes portant des vêtements civils dans des rues à Boutcha, tuées d'"une balle dans la nuque", aux dires du maire, Anatoli Fedorouk, à l'AFP. Et il y a les fosses communes. La pression porte ainsi notamment sur les hydrocarbures, importante ressource financière pour la Russie. Dès samedi, les Etats baltes avaient annoncé la cessation de leur importation de gaz russe, et le président lituanien Gitanas Nauseda, avait appelé le reste de l'UE à les suivre. "Pendant la période au cours de laquelle cette localité était sous le contrôle des forces armées russes, pas un seul résident local n'a souffert d'actions violentes", a déclaré le ministère russe de la Défense, affirmant que les images de cadavres étaient "une nouvelle production du régime de Kiev pour les médias occidentaux". La Russie a même demandé une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU pour statuer sur les "provocations haineuses" commises selon elle par "des radicaux ukrainiens" à Boutcha. "Le mal absolu est venu sur notre terre. Nous avons trouvé des gens avec les mains et les jambes ligotées (...) avec des impacts de balles à l'arrière de la tête", et il s'agissait "clairement de civils". Les Occidentaux ont dénoncé des "crimes de guerre" ou réclamé une enquête pour établir les faits.
Des civils de Boutcha témoignent de l'horreur vécue dans cette ville de la banlieue de Kiev au moment de l'invasion russe, alors que la communauté ...
Anatoli Fedorouk a lui aussi été témoin direct de ce qui s'est passé à Boutcha. Le maire de la ville ne savait plus quoi faire des 350 cadavres qu'il a découverts. Samedi soir, il les a inhumés à la hâte près de l'église. "Nous n'arrivons même plus à les compter", raconte Anatoliy Kushnirchuk, aumônier de l'armée, qui s'est chargé de l'inhumation. Il décrit des actes barbares et documentés qui, clairement, relèvent de crimes de guerre. Dans ce conflit, Artem a perdu deux amis : Vitali, qui avait pris les armes, et Sacha, fauché par un obus alors qu'il ramenait de l'eau à une vieille dame. Les soldats russes voyaient bien qu'il y avait des enfants. Le jeune Ukrainien décrit des hommes parfois très jeunes qui, pendant plus d'un mois, ont terrorisé une population réfugiée dans les sous-sols, les caves ou les abris de fortune. Les yeux cernés et rougis par le manque de sommeil, Artem laisse transparaître une colère contenue. Il y avait aussi un blindé. Il passait et tirait sur les voitures.
Ce week-end, le monde a découvert avec indignation l'ampleur des scènes macabres dans les villes dévastées par les combats après le départ des forces russes ...
Les yeux cernés, rougis par le manque de sommeil, Artem témoigne de ces violences. Une ville en particulier témoigne de ces atrocités : Boutcha, au nord-ouest de Kiev, dont les rues sont jonchées de cadavres – à tel point que trois fosses communes ont été creusées près des églises pour les enterrer. Il raconte l'horreur subie par les civils dans cette ville qui témoigne des atrocités commises.
Le ministère russe de la Défense dément avoir tué des civils à Boutcha, dans la banlieue de Kiev, la capitale de l'Ukraine. Les images macabres de corps ...
Seuls quelques dirigeants européens, le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki et son homologue espagnol Pedro Sanchez, ont jusqu'ici avancé ce terme pour ...
ÉDITORIAL. La découverte de centaines de cadavres de civils ukrainiens dans les environs de Kiev suscite l'indignation. La justice internationale doit ...
Moscou, comme on pouvait s’y attendre, a démenti toute responsabilité de ses troupes dans ces exactions et affirmé qu’il s’agissait d’une « provocation » orchestrée par les autorités ukrainiennes à l’intention des médias occidentaux. Celles qui sont apparues sur leurs écrans dimanche ont fait franchir à cette guerre un nouveau palier, celui de la barbarie : images de civils exécutés d’une balle dans la nuque, parfois les mains liées dans le dos, ou abattus sur leur bicyclette, images de corps calcinés après avoir été criblés de balles, images de fosses communes débordant de cadavres. Editorial du « Monde ». Il y a parfois dans les guerres une bataille plus sanglante que les autres, un massacre plus cruel ou plus massif que les précédents qui provoque un électrochoc sur l’opinion publique.
L'Ukraine accuse l'armée russe d'avoir commis un "massacre" à Boutcha, des images montrent des cadavres civils. Que s'est-il passé dans la banlieue de Kiev?
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé dimanche la Russie de commettre un "génocide" en Ukraine, au lendemain de cette découverte (suite ci-dessous) ...
Après le retrait russe de la petite ville de Boutcha, près de Kiev, l'armée ukrainienne a découvert les cadavres d'au moins 410 civils.
Attention, les images peuvent choquer. Attention, les images peuvent choquer. Attention, les images peuvent choquer. Dites la vérité sur la guerre sur vos réseaux sociaux, à la télé. Soutenez-nous de toutes les manières possibles, toutes sauf le silence. «J'ai pris connaissance des informations faisant état d'exactions massives commises par les forces russes dans des villes ukrainiennes qu'elles occupaient ces dernières semaines, en particulier dans la localité de Boutcha. Je condamne avec la plus grande fermeté de tels actes constitutifs, s'ils sont confirmés, de crimes de guerre», a estimé le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian dans un communiqué transmis à l'AFP dimanche. Dans les rues de Boutcha, d'où l'armée russe s'est récemment retirée, les soldats ukrainiens et les habitants ont découvert des scènes insoutenables et «un massacre délibéré», selon les mots du gouvernement : des civils abattus, abandonnés à même le sol ou dans des fosses communes -au moins 410, selon un bilan encore très provisoire, dressé à mesure que l'armée ukrainienne reprend le contrôle de cette ville de l'oblast de Kiev, à une soixantaine de kilomètres de la capitale.
Cadavres de civils aux poings liés, fosses communes improvisées... Ces images de Boutcha ont fait le tour du monde ce...
Volodymyr Zelensky, qui s'est rendu sur place ce lundi, parle quant à lui de "génocide". De son côté, le président français Emmanuel Macron a appelé à de nouvelles sanctions envers la Russie suite à ces crimes. Parrallèlement, les affrontements continuent dans d'autres villes du pays. Le Premier ministre polonais, lui, a également officiellement utilisé le terme "génocide" afin de qualifier les perpétrées à Boutcha.
Cadavres de civils aux poings liés, fosses communes improvisées... Ces images de Boutcha ont fait le tour du monde ce...
Volodymyr Zelensky, qui s'est rendu sur place ce lundi, parle quant à lui de "génocide". De son côté, le président français Emmanuel Macron a appelé à de nouvelles sanctions envers la Russie suite à ces crimes. Parrallèlement, les affrontements continuent dans d'autres villes du pays. Le Premier ministre polonais, lui, a également officiellement utilisé le terme "génocide" afin de qualifier les perpétrées à Boutcha.
De nombreux cadavres ont été découverts dans une ville libérée près de Kiev, témoignant de crimes de guerre.
Les troupes russes sont accusées d'atrocités contre des civils à Boutcha, des centaines de corps gisent dans des fosses communes et à même les rues.
Plus de 500.000 personnes sont retournées en Ukraine depuis le début de l’invasion russe, a annoncé dimanche le ministère ukrainien de l’Intérieur. Du côté de Moscou, on anticipe déjà un éventuel alourdissement des sanctions. Comme bien d’autres, il est angoissé, car « les bombardements peuvent commencer à tout moment ». Le nombre total de morts reste encore incertain. Dans le sud du pays, huit personnes ont été tuées et 34 blessées dans des bombardements russes dimanche sur les villes d’Otchakiv et de Mykolaïv, a indiqué lundi le Parquet ukrainien. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fustigé les « meurtriers, tortionnaires, violeurs, pilleurs » russes, après le retrait russe de Boutcha, dans la banlieue nord-ouest de Kiev, et la découverte sur place de ces de corps de civils dans des fosses communes ou dans les rues.
Le président ukrainien est allé à Boutcha, ville où l'armée russe est accusée d'avoir commis un « massacre » sur la population civile.
M. Reznikov a pointé du doigt la responsabilité des troupes russes qui occupaient la ville depuis des semaines et a comparé leurs actions à celles perpétrées en Ukraine par les SS (Schutzstaffel) durant la Seconde Guerre mondiale. Tous. Chacun d’entre eux recevra ce qu’il ’mérite’ en temps voulu », a-t-il écrit sur Facebook. Le président ukrainien est allé à Boutcha, ville où l’armée russe est accusée d’avoir commis un « massacre » sur la population civile.
Le président Volodymyr Zelensky s'est rendu lundi à Boutcha, ville proche de Kiev récemment reprise par les troupes...
Les images et informations en provenance de Boutcha ont provoqué un tollé international et la promesse de nouvelles sanctions à l'encontre de la Russie. L'AFP y a vu samedi les cadavres d'au moins 22 personnes portant des vêtements civils dans des rues. On ne pouvait dans l'immédiat déterminer la cause de leur mort, mais deux personnes présentaient une large blessure à la tête.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est rendu lundi à Boutcha, ville proche de Kiev récemment reprise par les troupes ukrainiennes où l'armée russe est ...
L’AFP y a vu samedi les cadavres d’au moins 22 personnes portant des vêtements civils dans des rues. La petite ville située au nord-ouest de Kiev a été occupée par l’armée russe dès le 27 février, restant inaccessible pendant plus d’un mois. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est rendu lundi à Boutcha, ville proche de Kiev récemment reprise par les troupes ukrainiennes où l’armée russe est accusée d’avoir commis un « massacre » sur la population civile.
Le président américain Joe Biden a déclaré lundi vouloir un "procès pour crimes de guerre" après la découverte de nombreux corps portant des vêtements ...