Interviewé par Femme Actuelle ce lundi 14 mars 2022, l'avocat de la cousine de Delphine Jubillar a expliqué que Cédric Jubillar, principal suspect...
Pour le moment, l’éventuelle condamnation pour meurtre de Cédric Jubillar ne semble pas encore se profiler à l'horizon. La Dépêche a révélé ce mardi 15 mars 2022 que les tâches retrouvées dans la Peugeot 306 d’un ami du suspect ne sont pas du sang, comme le supposait la police. (…) Ce qu’on a dans ce dossier Jubillar, ce sont des petits cailloux, comme dans 'Le Petit Poucet'. On a des petits cailloux de vérité, des petits éléments qui pris isolément sont susceptibles d’entraîner une condamnation pour meurtre. Alors que l’un de nos confrères du magazine a demandé à l’avocat s’il pensait que l’on pouvait encore "attendre quelque chose de Cédric Jubillar", qui est en prison depuis 9 mois et qui vient de déposer sa cinquième demande de remise en liberté, Maître Philippe Pressecq a répondu qu’il "n’est pas exclu qu’il puisse craquer et avouer". "Il y a une chose qui est claire : c’est que Delphine Jubillar était la femme de sa vie. Ce garçon crie son amour pour Delphine. Pour moi, on est sur ce qu’on appelait avant un crime passionnel." Or, si l’ancien artisan peintre-plaquiste a jusque-là contesté toute implication dans l’affaire, c’est parce que selon l’avocat, il "a intérêt à nier (...) dans la mesure où il n’y a pas de corps, ni d’élément frappant et flagrant qui peut l’incriminer". En effet, les enquêteurs peinent à trouver des preuves accablantes, leurs trois semaines de fouilles en janvier 2022 s’étant avérées infructueuses. Si les recherches ont démarré très vite après qu’elle n’a plus donné signe de vie, les enquêteurs ne l’ont toujours pas retrouvée. Plus le temps passe, plus la famille de la jeune femme perd espoir, ne croyant plus qu’elle soit en vie.
RMC Story diffuse ce vendredi 18 mars, en collaboration avec Le Parisien-Aujourd'hui en France, un film où certains protagonistes de l'affaire s'expriment ...
Cette production télévisée du Parisien avec Studio Fact n’est pas la première. Notre journal a déjà co-réalisé plusieurs films et reportages, consacrés notamment à l’affaire de la « Boulangerie Pichard » ou « Loup Blanc, l’étrange gourou » pour le magazine 66 minutes (M 6), ainsi que pour le magazine Complément d’Enquêtes (France 2). » Ces témoignages exclusifs font la force de ce film captivant qui raconte l’affaire Jubillar depuis le premier coup de téléphone de Cédric aux gendarmes pour signaler la disparition de Delphine. Comme Anne, la meilleure amie, qui n’avait jamais accepté de parler et qui glisse doucement que « plus rien n’est pareil désormais ».
Ce mardi, le mari de Delphine Jubillar faisait appel du rejet de sa quatrième demande de remise en liberté. Alors que le parquet général a requis à nouveau ...
« C’est long mais nécessaire. Il y a toujours ces drones qui font des recherches aussi, c’est important pour les enfants qui sont en quête de vérité, il faut qu’ils puissent faire leur deuil. En revanche, Me Emmanuelle Franck regrette que les juges d’instruction n’aient pas plus poussé les expertises concernant le téléphone de l’infirmière, grâce aux données Google qui ont pu être récupérées. Un portable qui s’est déclenché à plusieurs reprises dans la nuit du 15 au 16 décembre. Que ce soit peu après minuit, lorsque l’application WhatsApp a fonctionné, puis vers 1h30 lors du déclenchement de la caméra ou encore à 6h52 lorsque l’accès au bureau du téléphone a été déverrouillé. « C’est un horaire qui nous intéresse car à cette heure-là, Cédric Jubillar est avec les gendarmes. « Il y a des traces de sang, mais pas humain, rien, pas d’ADN exploitable. « A ce jour, il est faux de dire qu’il y aurait eu des traces de sang retrouvées dans un quelconque véhicule. Les investigations dans celui du copain ont montré qu’il y avait sept traces de fluides biologiques. On sait aussi qu’il n’a pas les codes de déverrouillage du téléphone de Delphine car elle les avait changés quelques jours auparavant. En fait les enquêteurs ne savent pas », a lâché le pénaliste à l’issue de l’audience qui a duré près de trois heures.
Ronan Folgoas est journaliste au Parisien et il publie un livre sur l'affaire Jubillar. Une enquête sur laquelle il travaille depuis des mois dans le Tarn.
Mais c'est vrai que c'est aussi quelqu'un qui ne manifeste pas, en tout cas auprès de moi, sa tristesse, sa souffrance d'avoir perdu sa femme. Ronan Folgoas sera en signature à la librairie Privat à Toulouse le vendredi 18 mars en fin de journée. Il sera le samedi 19 au matin à Lavaur à la librairie Attitude, et l’après-midi à Albi. Il retrace aussi minute par minute la journée du 15 décembre de Delphine Jubillar. L’auteur retrace aussi dans cet ouvrage les enfances de Cédric et Delphine. Il a une certaine agilité intellectuelle, il est vif, il est drôle. Par moments, il manie aussi l'autodérision. C'était quelqu'un avec lequel on ne s'ennuie jamais. "Cédric Jubillar, était quelqu'un d'assez attachant par certains côtés. C'est difficile à dire maintenant, compte tenu des charges qui pèsent contre lui, mais c'est quelqu'un avec lequel il était agréable aussi de converser. Cédric Jubillar, le mari de Delphine aujourd'hui emprisonné et seul suspect.
Dans un extrait du livre Le Mystère Jubillar, dévoilé par Le Parisien ce mercredi 16 mars, le journaliste Ronan Folgoas revient sur le bouleversement de ...
"Comme elle me l'expliquera, quelques jours plus tard, elle commence à croire que son fils est peut-être coupable du meurtre de sa femme", a-t-il lancé. Pour sa part, questionné par un gendarme au sujet des propos tenus par sa mère, Cédric Jubillar a réagi de façon relativement neutre : "Normal. Avec tout ce que vous lui avez dit, c'est normal qu'elle croie que c'est moi." Elle en est ressortie complètement chavirée", a indiqué le journaliste, qui a eu l'occasion de lui parler. Écrit par le journaliste Ronan Folgoas, l'ouvrage retrace l'affaire la plus médiatisée du moment, qui concerne Delphine Jubillar, l'infirmière et mère de famille de Cagnac-les-Mines (Tarn) qui n'a pas donné de nouvelles depuis plus d'un an.
Selon les analyses, les supposées traces de sang découvertes dans la voiture d'un ami de Cédric Jubillar étaient en réalité des traces de sueur Cette piste ...
Selon leur dernière déclaration, les cris de femme entendus étaient en réalité des cris « pour séparer des chiens qui se battent ». La recherche de sang s’est avérée négative après le passage du bluestar et d’autres compléments pour détecter les éléments sanguins. Delphine Jubillar aurait-elle été transportée dans cette voiture la nuit de sa disparition, entre le 15 et 16 décembre 2020 ? Aujourd’hui, cette hypothèse semble s’effondrer. Selon les analyses, ces présumées tâches de sang n’ont rien à voir avec de l’hémoglobine, rapporte « La Dépêche du midi ».
Ce mardi 15 mars, le parquet général a requis le maintien en détention de Cédric Jubillar, le mari de Delphine. La chambre de l'instruction de la cour ...
Le mari de Delphine Jubillar et principal suspect dans le meurtre de sa femme, incarcéré depuis le 18 juin 2021, reste en prison. Le plaquiste de 34 ans nie d'ailleurs toute implication dans la disparition de son épouse. Il reste présumé innocent. Ce mardi 15 mars, le parquet général a requis le maintien en détention de Cédric Jubillar, le mari de Delphine. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse rendra sa décision le 22 mars.
L'absence de sang dans la voiture censée avoir transporté le corps de Delphine Jubillar, à Cagnac-les-Mines, « est une piste qui s'effondre », martèlent les ...
Ses « contradictions » et ses « mensonges » sur la réalité d’un divorce conflictuel, contrairement à ce qu’il pouvait affirmer, constituent la trame de l’accusation qui a requis, par le biais de l’avocat général, le maintien en détention du mari de Delphine Jubillar. Au cours de leur dernière déclaration, on apprend que ces « cris de femmes » sont en fait des cris « pour séparer des chiens qui se battent ». C’est un mini-coup de tonnerre dans ce dossier qui accumule les rebondissements en tout genre.
C'est un nouveau rebondissement dans l'affaire Delphine Jubillar. L'infirmière de Cagnac-les-Mines, disparue désormais depuis deux ans, serait-elle sur le.
Les enquêteurs s’intéressent alors sur un suspect qui jusqu’alors ne les avait pas tant intéressés : le mari de Delphine, Cédric Jubillar. Cédric est peintre-plaquiste, tandis que Delphine est infirmière de nuit à Albi. L’espoir de la retrouver vivante s’amenuise de jour en jour. Objeko tient cependant à vous rappeler que le mari de Delphine Jubillar est toujours présumé innocent, jusqu’à preuve du contraire. Delphine Jubillar et son mari Cédric n’étaient pas un couple aussi fusionnel qu’on aurait pu le penser. À ce jour, la mère de famille est toujours portée disparue. C’est son mari, Cédric Jubillar, qui lance l’alerte. Très rapidement, une opération de recherche de grande envergure est menée pour retrouver la jeune maman. Certes, ils étaient en train de divorcer mais ce geste après la disparition est très suspicieux. Et il est de même possible qu’elle soit toujours en vie. Il est cependant tout à fait possible que l’infirmière et mère de deux enfants se soit volatilisée bien loin de son domicile conjugal. Ils ont donc décidé d’employer les dernières technologies pour les aider à retrouver le corps de l’infirmière disparue. Cédric Jubillar est le suspect numéro 1 dans la disparition de sa femme.
Ce mardi 15 mars, les avocats de Cédric Jubillar demandent sa libération. Cécile raconte les souvenirs partagés avec celui qu'elle a connu quelques semaines ...
En fait, il avait compris qu'on n'était pas là pour lui parler de l'histoire, de la disparition", assure-t-elle. Durant ces semaines qui ont précédé l'arrestation de Cédric, Cécile l'a vu en colère. "Les journalistes, les flics... Qu'est-ce que c'est que cette histoire !". Et si Cédric Jubillar est remis en liberté, Cécile promet qu'elle sera là pour l'aider. La première rencontre, c'était quelques jours seulement après la disparition de Delphine Jubillar. "Les joues creusées, il était mal. Il n'y a rien. Mais souriant parce qu'il avait sa petite dans les bras, je veux dire il souriait à sa fille quoi", se souvient-elle.