Erbil (Agence Fides) - Le Patriarcat chaldéen déplore le lancement de missiles qui, dimanche 13 mars, a semé la terreur parmi la population d'Erbil et, ...
Les élections législatives du 10 octobre 2021 ont vu une nette affirmation de l'alliance électorale dirigée par le leader chiite Muqtada al Sadr, qui occupe désormais 73 des 329 sièges disponibles au parlement. AFRIQUE/EGYPTE - Le Patriarche Raï, sur le sol égyptien, relance la "neutralité" libanaise Dans leur message de revendication, les Pasdaran font référence à la présence d'une "délégation militaire israélienne secrète" sur la base américaine concernée. Après la revendication, les autorités de Bagdad ont convoqué l'ambassadeur d'Iran pour exprimer leur protestation officielle au sujet de l'attaque, tandis que deux des plus importants partis irakiens, l'alliance électorale "Saeroun" (qui appartient au leader chiite Muqtada al Sadr) et le Parti démocratique du Kurdistan, ont demandé la formation d'une commission d'enquête pour confirmer ou infirmer la présence présumée d'équipes israéliennes à Erbil.
Les autorités du Kurdistan irakien (nord) avaient auparavant indiqué que "12 missiles balistiques" tirés "hors des frontières de l'Irak, et plus précisément de ...
A Erbil, la dernière attaque du genre remonte à septembre, quand des "drones armés" ont visé l'aéroport. Ziryan Wazir était dans son taxi quand les frappes ont eu lieu. Sur leur site Sepah News, les Gardiens de la Révoulution islamique ont affirmé que "le +centre stratégique de la conspiration et du vice des sionistes+ avait été visé par de puissants missiles de pointe".
L'Iran a averti lundi qu'il ne tolérera pas les "menaces" venant de l'Irak voisin, au lendemain d'une attaque de missiles...
"L'Iran ne tolérera pas la présence près de ses frontières d'un centre de sabotage, de complot et d'expédition de groupes terroristes" visant la République islamique, a prévenu lundi le porte-parole, faisant référence à l'Irak voisin. Dimanche, les Gardiens de la Révolution, armée idéologique de l'Iran, ont affirmé avoir visé un "centre stratégique" appartenant à son ennemi juré Israël situé à Erbil, la capitale de la région autonome du Kurdistan irakien. L'Iran a averti lundi qu'il ne tolérera pas les "menaces" venant de l'Irak voisin, au lendemain d'une attaque de missiles revendiquée par les Gardiens de la Révolution iraniens contre une cible au Kurdistan irakien présentée comme un "centre stratégique" d'Israël.
Revendiqué par Téhéran, le tir de missiles balistiques sur la capitale du Kurdistan irakien, le 13 mars, intervient dans un contexte régional tendu exacerbé ...
Les pasdaran ont revendiqué hier être derrière la douzaine de missiles balistiques tirés contre la capitale régionale du Kurdistan irakien.
Le parti kurde KDP, formation dominante à Erbil, s’est effectivement allié avec M. Sadr, qui s’est engagé à former un gouvernement « de majorité », par opposition à un gouvernement de « consensus ». « La formation du gouvernement irakien ne joue pas un rôle très important dans ce qui se passe. D’après le ministère kurde de... Une initiative qui pourrait, entre autres, s’expliquer par le fait que Riyad a procédé samedi à des exécutions massives qui auraient visé notamment près de 41 musulmans chiites. Il faut surtout prendre en compte une vue d’ensemble, celle de la constellation régionale relative au deal sur le nucléaire », avance Lahib Higel. Or, de telles assurances pourraient, aux yeux de Washington et de ses alliés européens, saper l’impact des mesures punitives imposées par l’Occident à la Russie depuis plusieurs jours. D’après le ministère kurde de l’Intérieur, les missiles ont visé le nouveau bâtiment du consulat américain, causant des dégâts matériels et blessant un civil.
Les autorités du Kurdistan irakien (nord) avaient auparavant indiqué que « 12 missiles balistiques » tirés « hors des frontières de l'Irak, et plus précisément ...
Les Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique d’Iran, ont revendiqué dimanche les tirs de missiles sur Erbil, dans le Kurdistan irakien. De son côté, Paris a condamné « avec la plus grande fermeté » les tirs de missiles. Sur leur site Sepah News, les Gardiens de la Révolution islamique ont affirmé que « le «centre stratégique de la conspiration et du vice des sionistes» avait été visé par de puissants missiles de pointe ». Réagissant aux accusations de Téhéran, les autorités du Kurdistan ont ensuite déclaré dans un communiqué que le site visé était un « site civil », fustigeant « une justification visant uniquement à dissimuler ce crime ». « Il s’agit d’allégations sans fondements », a assuré dimanche le gouverneur d’Erbil, lors d’une conférence de presse : « Il n’y a pas de sites israéliens dans cette région, il n’y a que le nouveau bâtiment du consulat américain ».